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  • À Strasbourg, mobilisation contre l’expulsion de migrants : la Ville se dit prête à annuler le feu d’artifice du 14-Juillet si les migrants ne sont pas relogés

    Publié par Guy Jovelin le 12 juillet 2022

    Un campement de migrants, installé dans le parc de l’Étoile à Strasbourg, doit évacuer avant mardi soir en vue de l’organisation du feu d’artifice du 14-Juillet. Sans solution de relogement, des demandeurs d’asile et leurs soutiens ont manifesté leur inquiétude, lundi matin, sous les fenêtres de l’Eurométropole.

    Une tente, puis deux, puis trois… sont arrivées fin mai dans le parc de l’Étoile, face à la mairie de Strasbourg. Actuellement, une centaine de migrants venus de Macédoine, de Tchétchénie, de Géorgie, d’Albanie, de Syrie, d’Afghanistan y sont réunis dans des conditions d’hygiène et de sécurité très difficiles.

    «  Samedi matin, la police municipale est venue prévenir ces gens qu’ils doivent être partis avant mardi à 18 heures  », rappelle Gabriel Cardoen, un militant engagé auprès des personnes en situation précaire. « Ils ont appelé en panique, ils ne comprenaient pas pourquoi ils devaient partir, ni où ils devaient aller. »

    La raison de cette évacuation précipitée : le feu d’artifice du 14-Juillet. Avant les festivités de jeudi soir, les artificiers doivent installer les fusées à proximité de la place de l’Étoile. Pour éviter d’éventuelles retombées, la grande place, qui relie le centre-ville et le quartier de Neudorf, devrait alors être fermée au public par des barrières.

    (…) Une nouvelle fois, l’élue a renvoyé la responsabilité de l’hébergement d’urgence à la préfecture, arguant cependant d’un « dialogue permanent » et « constructif » entre la Ville et les services de l’État. « On ne veut pas d’évacuation sèche, il faut un hébergement d’urgence suivi d’un relogement », prévient Marie-Dominique Dreyssé, prête à envisager l’annulation des illuminations du 14-Juillet. « Si le campement est là, il n’y aura pas de feu d’artifice. »

    (…) DNA via fdesouche

  • En Seine-Maritime, le préfet recommande de mettre voitures et poubelles à l’abri en prévision du 14-Juillet

    Publié par Guy Jovelin le 12 juillet 2022

     

    À quelques jours du 14 juillet 2022, le préfet de la Seine-Maritime adresse quelques recommandations face aux risques de violences urbaines. Précisions.

    C’est malheureusement un phénomène devenu habituel. Le 14 juillet 2022, les autorités anticipent de possibles « violences urbaines ». C’est pourquoi le préfet de la Seine-Maritime adresse quelques recommandations aux populations.

    Dans un communiqué, Pierre-André Durand recommande « les mesures préventives de bon sens » face au risque de violences et dégradations, comme les feux de voitures. Le préfet préconise ainsi aux administrations entreprises et particuliers, dans la mesure du possible, de garer son véhicule à l’intérieur, de rentrer les poubelles et de ne pas laisser d’encombrants sur la voie publique.

    Ces recommandations s’accompagnent de diverses interdictions concernant la consommation d’alcool ou bien la vente d’artifices de divertissement et de produits chimiques, inflammables ou explosifs.

    Actu.fr via fdesouche

  • Biden signe un décret pro-avortement et veut légaliser le meurtre d’enfants jusqu’à la naissance

    Publié par Guy Jovelin le 12juillet 2022

    En réponse à la décision de la Cour suprême annulant la sentence Roe vs Wade, la décision de 1973 qui légalisait le meurtre d’enfants à naître dans tous les Etats-Unis, Joe Biden a signé le 8 juillet un décret exécutif pour soutenir l’accès à l’avortement aux États-Unis. La mesure aura cependant un impact limité. Les démocrates espèrent une victoire lors des élections de mi-mandat pour faire passer une loi autorisant l’avortement jusqu’à la naissance. Mais la popularité de Biden est au plus bas. Pendant ce temps, le silence complice de la Maison Blanche se poursuit sur les attaques contre les églises et les centres pro-vie (une dizaine rien que la semaine dernière) et sur les menaces contre les juges conservateurs.

    Sous la pression de ses camarades du parti à la Chambre et au Sénat, des multinationales avorteuses, des philanthropes à la Soros et des gouverneurs démocrates de certains États, Joe Biden a signé le décret exécutif « sur la protection de l’accès aux services de soins de santé reproductive », formalisant des instructions aux départements de la Justice et de la Santé et les Services sociaux pour contrer les tentatives visant à limiter la capacité des femmes à accéder aux médicaments abortifs approuvés par le gouvernement fédéral ou à voyager à travers les frontières de l’État, pour accéder aux services des cliniques d’avortement.

    Etaient présents à la signature du décret, la vice-présidente Kamala Harris, le secrétaire du ministère de la Santé Xavier Becerra et le procureur général adjoint Lisa Monaco. Le décret exécutif oblige également les agences à s’efforcer d’éduquer les prestataires de services médicaux et les assureurs sur la manière et le moment où ils sont tenus de partager des informations privilégiées sur les patients avec les autorités, afin de protéger les femmes qui recherchent ou utilisent les « services » d’avortement. Biden appelle également la Federal Trade Commission à prendre des mesures pour protéger la vie privée de celles qui cherchent des informations sur l’avortement et à créer un groupe de travail inter-institutions pour coordonner les efforts fédéraux visant à garantir l’accès à l’avortement. Le président des Etats-Unis a également demandé à son personnel de réunir des avocats bénévoles pour fournir aux femmes et aux avorteurs une assistance juridique gratuite afin de les aider à surmonter les nouvelles restrictions imposées étatiques après l’arrêt de la Cour suprême.

    Dans son discours, ouvrant de facto la campagne pour les élections de novembre prochain, Biden a attaqué de front la Cour suprême et ses juges :

    « Ce n’était pas une décision fondée sur la Constitution… Nous ne pouvons pas permettre qu’une Cour suprême incontrôlable, qui travaille en collaboration avec des éléments extrémistes du Parti Républicain, nous enlève la liberté. »

    Il a demandé aux citoyens de voter pour les candidats du Parti démocrate parce que seul le Congrès pourrait adopter une loi qui annule toutes les dispositions pro-vie au niveau des États fédérés individuels et libéralise l’avortement jusqu’à la naissance :

    « Nous avons besoin de deux autres sénateurs pro-choix supplémentaires et d’une Chambre pro-choix pour codifier la sentence Roe. »

    Les réactions au discours et au décret de Biden ont été fortes. Le président de l’organisation d’avortement Naral Pro-Choice America, Mini Timmaraju, a qualifié l’ordonnance de Biden de « première étape importante dans la restauration des droits retirés à des millions d’Américains par la Cour suprême ». Au lieu de cela, la présidente du groupe pro-vie Susan B. Anthony Pro-Life America, Marjorie Dannenfelser, a condamné le décret de Biden, affirmant que le président « a une fois de plus cédé au lobby extrême de l’avortement, déterminé à mettre tout le poids du gouvernement fédéral derrière la promotion de l’avortement ».

    Ni un mot ni une ligne ne sont sortis de la Maison Blanche pour calmer les esprits, pas même une parole pour condamner la persistance des menaces contre les juges. Quelques heures plus tôt à peine, le juge Brett Kavanaugh avait été contraint de sortir par la porte dérobée d’un restaurant de Washington, suite aux menaces d’une patrouille de jeunes avorteurs. Biden n’a rien dit non plus sur les gangs violents d’anarcho-avorteurs qui poursuivent leur action dévastatrice : 10 églises et centres pro-vie pillés la semaine dernière. Il s’agit du Birthright Pregnancy Center à St. Paul, Minnesota ; de Care Net de la Puget Sound Pregnancy Clinic à Kenmore, Washington ; de Clearway Clinic et Problem Pregnancy, tous deux à Worcester, Massachusetts. Les lieux de culte vandalisés étaient trois églises catholiques de Chippewa Falls (Holy Ghost, Notre Dame, St. Charles Borromeo) ; l’église catholique Saint-Pierre à Bloomer, Wisconsin ; l’église missionnaire évangélique de la Bible et une salle des Témoins de Jéhovah, toutes deux à Sumner, Washington.

    Après la déclaration de guerre de Soros à la démocratie américaine, et l’interview non moins belliqueuse accordée au Guardian par Alexis McGill Johnson, PDG de Planned Parenthood, qui s’est engagé à investir 150 millions de dollars pour les candidats à l’avortement en novembre prochain, Biden et les dirigeants du Parti démocrate ont décidé de prendre parti, en vue des élections de novembre, en faveur de la libéralisation complète du meurtre d’enfants conçus et totalement contre tout principe de séparation des pouvoirs.

    Malheureusement pour Biden, comme le préviennent plusieurs stratèges électoraux démocrates, les citoyens ressentent les affres de la crise. La cote de popularité du numéro un de la Maison Blanche chute dramatiquement (il est le pire président depuis 1953) et les derniers sondages sont de plus en plus favorables aux limites et interdictions de l’avortement, avec une nette majorité de citoyens (90%) s’opposant à la proposition du Parti Democrate de légaliser l’avortement jusqu’à la naissance.

    « Maintenant, après les décisions et un nouvel engagement explicite de Biden, quel soin pastoral le Vatican et les évêques américains adopteront-ils envers Hérode et ses frères ? » se demande un journaliste italien .

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • L’idéologie du genre dans les colonies de vacances

    Publié par Guy Jovelin le 12 juillet 2022

    L’idéologie du genre dans les colonies de vacances
    L’idéologie du genre dans les colonies de vacances

    Des amis lecteurs nous envoient copie d’une lettre qu’ils ont reçue d’une colonie de vacances (écriture inclusive comprise naturellement!). Précisons que ce texte ahurissant concerne des adolescents de 13 à 17 ans:

    Se pose alors la question des règles qui encadrent le choix de la composition des chambres par les jeunes, et notamment celle de laisser ou non la possibilité d’une mixité de genre.

    Aujourd’hui, la loi dispose que : « Les accueils avec hébergement doivent être organisés de façon à permettre aux filles et aux garçons âgés de plus de six ans de dormir dans des lieux séparés. Chaque mineur hébergé doit disposer d’un moyen de couchage individuel » à l’article R227-6 du Code de l’action sociale et des familles.

    Il faut comprendre de cette disposition que la loi n’impose pas la séparation des filles et des garçons dans les chambres, mais impose que l’organisation des locaux rende cette séparation possible.

    A […], nous nous sommes interrogés sur l’origine de cette non-mixité suggérée mais pas imposée

    • Pourquoi afficher une certaine volonté de regrouper les filles entre elles et les garçons entre eux 7 Est-ce purement un héritage des écoles de filles et écoles de garçons d’antan ?

    Si oui, est-ce qu’il n’est pas temps de reconsidérer cette tradition ?

    • Est-ce le résultat d’une peur de permettre des relations sexuelles entre jeunes sur les séjours ?

    Mais tous les jeunes que nous recevons en séjour ne sont pas hétérosexuel-le-s... Et cela reviendrait à nier le travail d’éducation à la sexualité et de prévention effectué par les équipes pédagogiques.

    • Est-ce parce qu’on part du principe que les garçons se sentiront plus en sécurité entre eux et les filles entre elles ?

    Mais notre expérience nous prouve que c’est loin d’être systématiquement le cas.

    Nous n’avons pas forcément de réponse à toutes les problématiques que ces questionnements soulèvent, mais ce que nous savons c’est que nous souhaitons par-dessus tout permettre à chaque enfant que nous accueillonsde se sentir en sécurité pour pouvoir grandir et s’émanciper pendant nos séjours.

    Nous serons quoi qu’il en soit à l’écoute des demandes et des besoins de chacun­ e, au-delà d’une règle soufflée mais non posée par la réglementation. Ce qui nous semble le plus important, c’est que chacun-e trouve dans sa chambre un espace sécurisant et adapté au besoin qu’elle ou il en a.

    En outre, promouvoir et affirmer son militantisme autour de la mixité sociale en colonies de vacances, c’est aussi faire le constat que la barrière posée il y a longtemps entre les filles et les garçons n’est plus qu’un filet de pêche bien ajouré. Que la notion même de fille ou de garçon est aujourd’hui remise en cause par les besoins individuels dechaque personne.

     

    Source : lesalonbeige

  • Montpellier : Une femme attablée en terrasse poignardée en plein centre-ville par un migrant clandestin Erythréen

    Publié par Guy Jovelin le 11 juillet 2022

    Montpellier : Une femme attablée en terrasse poignardée en plein centre-ville

    Une femme de 47 ans a été violemment agressée lundi en fin de matinée alors qu’elle était attablée à une terrasse sur l’esplanade Charles-de-Gaulle, en plein centre de Montpellier, à quelques mètres de la place de la Comédie. La victime se trouvait avec sa sœur âgée de 38 ans et sa nièce de deux ans lorsque, pour une raison encore indéterminée, un homme s’est approché d’elle et lui a porté un coup de couteau dans le flanc.

    Il a ensuite tenté de frapper la sœur qui n’a dû son salut qu’à l’intervention des autres clients. Transportée dans une clinique de Saint-Jean-de-Védas, la victime serait hors de danger, selon la préfecture.

    L’auteur du coup de couteau a été interpellé dans la foulée par un équipage de la Bac (Brigade Anticriminalité). Âgé de 26 ans, il s’agirait d’un homme de nationalité érythréenne, immédiatement placé en garde à vue. Il serait en situation irrégulière selon le préfet de l’Hérault Hugues Moutouh. « Nous ne montrerons aucune faiblesse vis-à-vis des délinquants, qui plus est lorsqu’ils sont en situation irrégulière et n’ont rien à faire sur le territoire national. Conformément aux instructions du ministre de l’Intérieur, tout sera fait pour que la loi s’applique dans toute sa rigueur et qu’à l’issue de sa peine, cet étranger soit expulsé ».

    www.20minutes.fr via fdesouche