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Le gouvernement polonais a annoncé jeudi 2 novembre la prolongation jusqu’au 22 novembre des contrôles aux frontières mis en place début octobre pour lutter contre l’immigration clandestine. Ses voisins slovaque et tchèque ont pris la même décision mercredi.
Cette mesure avait été introduite le 4 octobre, initialement pour dix jours, en Pologne, en République tchèque ainsi qu’en Autriche. Les trois pays avaient ensuite prolongé une première fois ce dispositif, jusqu’à ce jeudi 2 novembre. Le vice-ministre de l’Intérieur polonais Maciej Wasik souligne que depuis un mois, “ces contrôles ont donné des résultats”.
Lundi, le nouveau gouvernement slovaque a envoyé des centaines de policiers et de soldats supplémentaires à sa frontière avec la Hongrie pour lutter contre l’augmentation de l’immigration clandestine. Début septembre, le pays avait déjà pris une mesure similaire en procédant au déploiement de 500 soldats à cette même frontière hongroise jusqu’à la fin de l’année.
Début juillet, les européistes s’indignaient que le gouvernement polonais organise un référendum sur le programme de relocalisation des migrants de l’Union européenne. Ce vote a eu lieu en même temps que les élections législatives, qui ont vu la défaite du PIS au pouvoir. Néanmoins, les Polonais se sont prononcés contre ce programme de délocalisation des immigrés et, étonnamment, la presse n’en parle pas…
Intervention complètement inutile du Président de la République ce soir sur BFMTV : baratin sur l'immigration, incantations sur une modération des marges des industriels, refus de baisser les taxes sur le carburant, fermeture des centrales à charbons (comme si c'était une priorité), plus de voitures électriques et de pompes à chaleur (que les Français ne peuvent pas se payer), laïus convenu sur le Niger et l'Arménie.
Traduction : Français, vous n'avez pas fini d'en chier !
Un prêtre, comme le Pape (qui n'est Pape que parce qu'il est prêtre, comme le rappelait Jean-Paul II, à Paris même, dans Notre-Dame)...
Mais un prêtre qui a les pieds sur terre, beaucoup plus que le Pape !
"Qui veut faire l'ange fait la bête", disait Pascal, avec raison. Les propos et la politique insensée du Pape sur les envahisseurs, qu'il appelle "migrants" comme toutes les ONG islamo-gauchistes (à quoi il réduit ou veut réduire l'Eglise catholique) ne sont heureusement pas partagés par tout le monde : ici, le père Viot, par exemple, tient des propos beaucoup plus raisonnables, et "raccord" avec la réalité (comme en dit aujourd'hui dans le jargon) :
"...Il faut empêcher les gens de monter sur les bateaux de la mort... c'est à la racine qu'il faut prendre le problème, nous ne pouvons pas accueillir tout le monde sinon, nous aurons une guerre civile..."
Juste une nuance, mais de taille : ce ne sera pas une "guerre civile" mais une "guerre de libération nationale", ce qui est tout à fait différent...
Le pape François débute ce vendredi 22 septembre, dans la cité phocéenne, et non en France a-t-il spécifié, sa visite de deux jours sous les auspices des Rencontres Méditerranéennes pour « promouvoir des chemins de collaboration et d’intégration autour de la Méditerranée, avec un accent particulier sur le phénomène de la migration ». L’ex-territorialité de Marseille est décrétée, manière inconvenante de se mêler de la politique migratoire de la France sans déroger à son devoir de réserve.
Le message immigrationniste que doit faire passer cette visite bergoglienne
Le premier acte sur le sol français de pape noir, après avoir débarqué en milieu d’après-midi et une rencontre avec le clergé, aura été de se rendre au monument aux marins et migrants disparus en mer, pour rendre hommage aux réfugiés morts en Méditerranée. Tout un symbole politique qui révèle le message immigrationniste que doit faire passer cette visite bergoglienne.
Alors qu’à Lampedusa, toute petite ile italienne au large de la Sicile, en 5 jours, 15550 clandestins africains y ont débarqués en toute illégalité, que les Français savent qu’une majorité de ces aspirants à un Eldorado européen illusoire va arriver chez eux, alors que les églises sont vides de fidèles, vendues ou détruites faute d’argent, François vient scander son leitmotiv depuis qu’il est monté sur le trône de Pierre : non le retour à la foi catholique, mais l’accueil des « migrants » extra-européens et bien souvent mahométans, envers et contre tout.
Le Pape affirme qu’il se rend en France pour réfléchir aux défis de l’accueil et de l’intégration
La signification politique du voyage du Saint-Père en France n’échappe à personne, son choix de la ville de Marseille, plaque tournante d’une immigration sans frein, en est la preuve éclatante. Pour confirmer cette interprétation, le télégramme envoyé par le Pontife lui-même à Sergio Mattarella, le président de la République italienne, l’explicite : le Pape affirme qu’il se rend en France pour « réfléchir aux défis de l’accueil et de l’intégration ».
Précisément les questions qui enflamment et divisent le débat public en France, accentué par l’actualité qui met en évidence les difficultés d’un certain modèle d’intégration permissive. Mais il ne fait guère de doute que le pape des migrants ne changera pas d’idéologie malgré l’échec patent, et aux conséquences toujours plus dévastatrices, de la politique immigrationniste pratiquée par les politiciens du système depuis des décennies.
L’Institut Montaigne est une sorte de think tank ultra libéral qui publie des notes, certes pas toutes inintéressantes, mais toutes sous focale libérale et peu ou prou droit de l’hommiste. C’est ainsi que l’Observatoire de l’immigration a tenu à répondre à l’une de ses notes concernant l’immigration. Et ce n’est pas un luxe.
Dans cette note l’Institut Montaigne (pauvre Montaigne !) défend l’idée selon laquelle une augmentation de l’immigration serait en mesure de répondre à la perspective du déclin de la population de notre pays. L’Observatoire de l’immigration tenait à lui répondre.
L'Institut Montaigne fait tout d'abord un constat globalement correct de la situation démographique de la France, mais euphémise les changements démographiques résultant des flux migratoires records reçus ces dernières années, ainsi que des naissances qui en sont issues. Nous apportons des données statistiques complémentaires pour mieux appréhender la réalité derrière les chiffres - par exemple : 4 millions de personnes ont acquis la nationalité française depuis 1982, dont 2 millions depuis 2005 – ce qui fait « fondre » mécaniquement le nombre et la part des étrangers recensés par la statistique publique.
Concernant le bilan économique de l'immigration, la nouvelle majeure de cette note est la suivante : même un laboratoire d’idées tel que l'Institut Montaigne, historiquement favorable à l’ouverture migratoire et culturelle, initiateur de la Charte de la Diversité à destination des entreprises et importateur majeur du concept de discrimination positive dans notre pays, n’est plus en mesure de soutenir l’idée selon laquelle l’immigration bénéficie à l’économie française. Là aussi nous apportons des données objectivables additionnelles, telles que : la moitié (49%) des ménages d’origine algérienne vivait en HLM en 2018, soit presque quatre fois plus que les ménages non-immigrés (13%) ; ou encore 41,6% des Algériens de plus de 15 ans vivant en France étaient chômeurs ou inactifs (ni en emploi, ni en études, ni en retraite) en 2017, selon les données INSEE consolidées par le ministère de l’Intérieur.
Enfin, face au fatalisme migratoire de l'Institut Montaigne, nous abordons l'alternative d'une politique familiale ambitieuse pour faire remonter le taux de fécondité en France au-delà du seuil de renouvellement des générations (2,05 enfants par femme) contre 1,8 actuellement. Pour rappel, selon les différentes enquêtes menées à ce sujet (par LES Eurobaromètres et le Réseau national des Observatoires des familles), le nombre idéal d’enfants souhaités par nos compatriotes se situe entre 2,3 et 2,7.