GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1405

  • Jean-François Buil, père d’un soldat tué en Afghanistan : “Ce sont des gens qui vivent avec 800 ans de retard, ils resteront toujours avec 800 ans de retard. 89 soldats français sont morts pour rien”

    Publié par Guy Jovelin le 18 août 2021

    Jean François Buil, un habitant de Saint Augulin en Charente-Maritime crie sa colère devant le retrait des occidentaux d’Afghanistan où les talibans ont repris le pouvoir. Son fils Damien a laissé sa vie dans une embuscade à Uzbin il y a 13 ans avec neuf autres soldats français.

    Jean-François Buil crie sa colère et son désespoir depuis bientôt 13 ans. Depuis le 18 aoüt 2008, date à laquelle son fils est mort dans une embuscade des talibans à Uzbin, avec 9 autres de ses camarades de l’armée française. “J‘ai toujours dit que nos soldats, les 89 soldats français étaient morts pour rien” confie-t-il à nouveau ce lundi, depuis son domicile de Saint Aigulin. 

    Mais ces derniers jours, devant sa télé, en voyant la progression des talibans et le retrait des américains puis la fuite des occidentaux ce lundi sa colère a encore augmenté : “Je confirme, ils sont bien morts pour rien ainsi que les 3 ou 4 000 américains, et puis tous les soldats de l’OTAN qui son morts“. 

    (…)

    Pour Jean-François Buil l’armée française n’aurait jamais du intervenir en Afghanistan : “Les américains viennent, fracassent tout et nous, avec l’OTAN on suit à cause du 11 septembre 2001” et au final c’est “une mission zéro, catastrophique” dit-il. “Ce sont des gens qui vivent avec 800 ans de retard et ils resteront toujours avec 800 ans de retard, c’est un pays de tribus“. 

    France Bleu via fdesouche

  • « On s’est fait menacer au téléphone, menacés de mort » : la pharmacie de la Négresse à Biarritz, change de nom

    Publié par Guy Jovelin le 18 août 2021

    La pharmacie “La Négresse” ne s’appellera plus ainsi. Le propriétaire a décidé de changé de nom, une décision que salue l’association “Mémoire et Partages” qui dénonce depuis des années la dénomination du quartier.

    […]

     

    Il y a quinze jours, la pharmacie a fait recouvrir la partie “de la Négresse” de sa devanture. “Et nous allons changer d’ici la fin de l’année” explique Thierry Ramon, propriétaire de la pharmacie depuis 15 ans. “On veut arrêter toutes ces polémiques. On a autre chose à faire que de se battre sur ce nom là”. En effet, le propriétaire de la pharmacie recevait régulièrement des menaces à ce sujet “On s’est fait menacer au téléphone, menacés de mort, je trouve que ça a quand même un petit peu loin, donc  on a décidé de changer”.

    Une décision que salue donc l’association “Mémoire et Partages” qui avait lancé une procédure devant le tribunal administratif de Pau pour faire changer le nom du quartier. Son représentant local Galery Gourret Houssein, se satisfait du changement de nom “En le découvrant, j’étais très content que soient enlevés les mots ridicules de “la Négresse”. Une étape supplémentaire pour le président de l’association basé à Bordeaux, le conseiller régional Karfa Diallo: “Pour nous, ça représente très clairement une évolution qu’il faut lier au réveil de la mémoire de l’esclavage, de la traite des Noirs et de la conscience que nous avons des symboles du racisme sur l’espace public”.

    […]

     

    France Bleu via fdesouche

  • Trappes (78) : Ali Rabeh (Génération.s) perd son mandat de Maire suite à un recours de la liste d’opposition d’Othman Nasrou (LR)

    Publié par Guy Jovelin le 18 août 2021

    Le Conseil d’État a définitivement annulé ce mercredi 18 août l’élection municipale de 2020 à Trappes (Yvelines) remportée par Ali Rabeh (Génération.s), en lui reprochant d’avoir fait la promotion de sa candidature entre les deux tours.

    En février, le tribunal administratif de Versailles avait annulé ce scrutin, après le dépôt d’un recours par la liste d’opposition Engagement Trappes Citoyens et l’élu Othman Nasrou, proche de Valérie Pécresse. Le tribunal avait dénoncé des «actions de propagande» menées par Ali Rabeh, proche de Benoît Hamon, entre les deux tours de l’élection de 2020. L’homme politique, qui contestait cette décision, avait fait appel devant le Conseil d’État, qui a finalement rejeté son recours.

    Selon la décision du Conseil d’État consultée par l’AFP, l’association «Cœurs de Trappes» a bien «assuré la promotion de la candidature d’Ali Rabeh», son fondateur, entre les deux tours. L’association a notamment organisé une distribution «d’environ 15.000 masques», «au cours d’une période où les masques chirurgicaux n’étaient disponibles qu’en faible quantité», est-il écrit. Ces lots de masques comportaient «une notice d’utilisation où figurait une photo de M. Rabeh (…) identique à celle utilisée pour ses documents et affiches de propagande électorale».

    Le figaro via fdesouche

  • Afghanistan : le contrôle du marché de la drogue, l’autre victoire des talibans

    Publié par Guy Jovelin le 18 août 2021

    leblogalupus

     
    La production d’opium génèrerait actuellement environ 2 milliards de dollars de chiffre d’affaires par an. United Nations Photo / FlickrCC BY-SA

    La longue guerre en Afghanistan a atteint un tournant le dimanche 15 août lorsque les talibans ont investi le palais présidentiel à Kaboul après la fuite du président Ashraf Ghani qui a reconnu leur victoire. Cette prise de pouvoir intervient à l’issue d’une offensive au cours de laquelle une douzaine de villes majeures du pays sont tombées aux mains des combattants islamistes en quelques jours.

    Parmi celles-ci figure notamment Zaranj, une ville frontalière poussiéreuse de quelque 50 000 habitants située à la frontière afghano-iranienne, dans le sud-ouest du pays. Bien que géographiquement et politiquement marginal, Zaranj fut le premier centre provincial à tomber.

    Au cours des semaines précédentes, les avancées des talibans concernaient d’abord des zones rurales, avec la prise de contrôle de plus de la moitié des 421 districts du pays. Mais enhardis par ces succès et par le moral en berne des forces armées afghanes, les combattants se sont tournés vers les grands centres de population. Après leur percée à Zaranj, ils ont ainsi repris la ville voisine de Farah et sept autres capitales provinciales du nord.

    Cette offensive a été favorisée par le soutien du Pakistan aux talibans, ainsi que par la libération de 5 000 combattants emprisonnés, une condition de l’accord conclu en février 2020 avec les États-Unis qui engageait Washington à retirer ses troupes du pays. Les pourparlers de paix ultérieurs, soutenus par les puissances internationales et régionales, n’ont pas réussi à endiguer la violence ou à proposer un plan de paix crédible.

     

    Cependant, l’échec du processus de paix ne suffit pas à expliquer la situation : des facteurs économiques influencent également les événements en cours, dont le commerce de l’opium et de l’héroïne que la dizaine de milliards de dollars investis par Washington depuis 2002 dans la lutte anti-drogue n’ont pas réussi à endiguer.

    L’histoire se répète

    Cela nous ramène à Zaranj. Ce n’est pas une coïncidence si les talibans se sont d’abord concentrés sur les villes frontalières, car celles-ci ont une importance économique considérable. Les combattants contrôlent désormais une dizaine de points de passage internationaux. Outre Zaranj, ils ont Spin Boldak, une porte vers le Pakistan, Islam Qala, le principal point de passage vers l’Iran, et Kunduz, qui leur confère le contrôle des routes vers le Tadjikistan.

    L’histoire récente a largement démontré l’importance de ces villes. Lorsque les factions en guerre en Afghanistan ont cessé de recevoir une aide militaire et financière, principalement de la part des Russes, à la fin des années 1980, puis de la part des Américains, le contrôle du commerce est devenu essentiel.

    Évolution de la surface dédiée à la culture du pavot entre 1994 et 2020 en Afghanistan (en hectares). Unodc.org (mai 2021).

     

    Cela comprenait notamment l’économie de la drogue, qui s’est développée massivement à partir du début des années 1990 pour aujourd’hui générer environ 2 milliards de dollars de chiffre d’affaires, un montant qui représente 10 % du PIB national. Selon d’autres estimations, entre 4 et 5 millions de personnes (sur une population totale de 25 millions d’habitants environ à l’époque) étaient impliquées dans la filière dans les années 2000.

    Ce phénomène se reproduit aujourd’hui. Dans les années 1990, par exemple, Zaranj était une sorte de Far West qui s’est développé comme plaque tournante du commerce illicite, s’appuyant sur des connexions transfrontalières de longue date entre les tribus baloutches spécialisées dans la contrebande de carburant, de drogues et de personnes.

    Des activités similaires s’y poursuivent aujourd’hui : l’opium et l’héroïne, provenant des champs de pavot des provinces voisines de Farah et du Helmand, passent en contrebande de l’autre côté de la frontière. Tout comme le trafic d’êtres humains, qui est en plein essor.

    En parallèle, Zaranj est devenue une ville de passage clé pour le commerce légitime, notamment pour le carburant, les matériaux de construction, les biens de consommation et les denrées alimentaires. Situé sur la route reliant Kaboul au port iranien de Chabahar, le gouvernement afghan a investi dans les infrastructures frontalières dans le cadre d’un effort plus large visant à renforcer les relations avec l’Iran et à réduire sa dépendance vis-à-vis du commerce avec le Pakistan.

    Dans les années 2000, entre 4 et 5 millions Afghans travaillaient dans la filière de l’opium. Shah Marai/AFP

     

    Ce mélange de commerce licite et illicite a permis de débloquer des investissements étrangers et d’attirer une population croissante des régions avoisinantes, tout en constituant une importante source d’impôts. En effet, les droits d’importation représentent aujourd’hui environ la moitié des recettes intérieures du gouvernement afghan. Islam Qala génère à lui seul plus de 20 millions de dollars américains par mois.

    Ainsi, le contrôle de ces points de passage clés remplit les coffres des talibans, à un moment où le financement externe des donateurs internationaux est en baisse. Il permet également aux talibans d’imposer des restrictions économiques sur les produits importés, tels que l’essence et le gaz, ce qui leur donne une influence supplémentaire. La perturbation des flux d’importations et d’exportations a d’ailleurs déjà affecté les prix du carburant et des denrées alimentaires.

    La culture du pavot explose

    Les talibans contrôlent donc désormais une grande partie de l’économie afghane, dont la production du pavot et les routes commerciales de la drogue vers le Pakistan, l’Iran et le Tadjikistan. Ce contrôle apparaît encore plus essentiel que par le passé. En effet, selon la dernière enquête de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime, la superficie des terres afghanes affectées à la culture du pavot a augmenté de 37 % en 2020 après une décrue ces dernières années. Une augmentation qui concerne en premier lieu les régions du sud et de l’ouest du pays.

    Évolution de la surface dédiée à la culture du pavot entre 2019 et 2020 dans les provinces afghanes. Unodc.org (mai 2021)


     

     

    Cette évolution est liée à une série de facteurs, dont l’instabilité et les conflits politiques, les sécheresses dévastatrices, les inondations saisonnières importantes, la diminution des financements internationaux et des possibilités d’emploi.

    Cette tendance est aujourd’hui appelée à se poursuivre, car les moteurs structurels de l’économie de l’opium – conflits armés, faible gouvernance et pauvreté généralisée – pèsent fortement. Tant dans les campagnes que dans les villes frontalières, l’économie de l’opium constitue en effet une importante bouée de sauvetage pour les Afghans, dont beaucoup vivaient déjà une crise humanitaire.

    La recrudescence du conflit intervient ainsi alors qu’une grave sécheresse affecte le pays et fait grimper les prix des denrées alimentaires, tandis que l’épidémie de Covid-19 connaît par ailleurs une flambée. Depuis le début de l’année, quelque 360 000 personnes ont déjà été déplacées en raison de tous les troubles qui secouent le pays.

    Avec la victoire des talibans, il est donc peu probable que l’économie de la drogue connaisse un ralentissement. Certes, les combattants islamistes, qui avaient banni la culture du pavot en 2001 quelques mois avant l’intervention américaine, restent officiellement opposés aux drogues illicites, mais les moteurs sous-jacents restent trop puissants et la manne financière trop importante. En conséquence, le conflit actuel devrait contribuer à alimenter le marché mondial de l’héroïne, dont près de 90 % est produite en Afghanistan, ainsi que le problème croissant de la drogue dans la région.

    https://theconversation.com/afghanistan-le-controle-du-marche-de-la-drogue-lautre-victoire-des-talibans-166209

  • La Réflexion du Jour : Un Dealer peut en cacher un autre

    Publié par Guy Jovelin le 18 août 2021

    Un Dealer peut en cacher un autre

    Une Réflexion peut être à mettre en lien avec le départ des Etats Unis d’Afghanistan, et leur abandon du juteux marché de l’héroïne au profit de potentats locaux…

    Tout se tient, et la mondialisation n’a pas seulement fait sauter les frontières géographiques, elle a rendue poreuse les délimitations entre argent sale et argent propre. En matière financière il y a une notion très importante c’est la vitesse de circulation de la monnaie. Et la grande lessiveuse à blanchir sert à ça, à augmenter la vitesse de circulation monétaire, pour ainsi à maintenir le système économique US à flot.

     

     

    Actuellement la pompe à fric c’est le vaccin seul collatéral réel de la guerre épidémique, le fournisseur de drogue monétaire aux Etats c’est le Dealer et son argent sale, les Banques centrales et les  Paradis fiscaux servent d’intermédiaire, et transforment le plomb en or. Les Etats Unis ont préféré sous traiter au secteur privé taliban jugé plus performant, plutôt que de continuer à traiter un pan entier  de leur économie via leur armée « publique » devenue avec le temps trop couteuse et dont la mission de formation des autochtones était de toute façon terminée, Trump l’avait déjà annoncé. Money is Money !

    D’une manière globale et indépendamment d’un possible vrai problème sanitaire, la politique du tout vaccin sert à çà : Remettre rapidement dans le circuit monétaire de l’argent frais mais sale, thésaurisé inutilement à contre emploi dans le bitcoin et autre monnaie virtuelle, pour ainsi réinitialiser le système économique occidental dans le but d’empêcher l’écroulement des Etats-Nation criblés de dettes. C’est la réponse complémentaire et indispensable des NéoConservateurs US au grand reset jugé trop « traditionnel » voulu par les Mondialistes. Et tout ceci en fin de compte, vaut bien la vente de quelques bijoux de famille par la CIA.

     

     

     

    Source : leblogalupus