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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1403

  • Afghanistan : le grand silence de nos féministes…

    Publié par Guy Jovelin le 20 août 2021

    Avec la très prévisible mainmise des talibans sur l’Afghanistan – nouveau désastre américain oblige, comme si la Maison-Blanche n’avait pas retenu celui de l’embourbement de l’URSS -, nos féministes hexagonales semblent être dans l’embarras, tel qu’en témoigne ce tweet de Najwa El Haïté :


    Au fait, qui est Najwa El Haïté ? Docteur en droit, elle est adjointe au maire d’Évry-Courcouronnes, avant d’être auditionnée, le 29 janvier 2019, par la mission d’information parlementaire sur les  face à la radicalisation, créée par la commission des lois de l’Assemblée nationale. Et voilà qui pose une fois de plus l’épineuse question du féminisme occidental vis-à-vis des violences faites aux femmes. Question d’autant plus épineuse que ces féministes sont prêtes à s’égorger à coups de sac à main sur la définition même de leur combat.

    En effet, il y a celles entendant que les femmes aient autant de pouvoir que les hommes ; ce qui est heureusement à peu près acquis. Après, celles qui tendent à l’indifférenciation : une femme peut être un homme comme les autres, et inversement. Puis, celles, plus « fluides », assurant que tout cela n’est que « construction sociale » ; J.K. Rowling, la maman d’Harry Potter, l’a d’ailleurs appris à ses dépens, désormais en tête de liste noire d’une nouvelle horde néo-féministe pour avoir affirmé qu’une « personne qui a ses règles » pouvait aussi s’appeler une « femme ». Bref, il ne faudra pas en vouloir aux historiens des siècles à venir s’ils se moquent un peu de nous. À leur place, on ferait tout pareil.

    En attendant, le cas de  et de Caroline De Haas participe de cette même logique : un féminisme devenu hors-sol, avec pour victime expiatoire un mâle blanc, hétérosexuel et affichant généralement plus de cinquante balais au compteur. Un spectre plus que large, allant du producteur hollywoodien, Harvey Weinstein, à l’amuseur bloqué au stade anal, , jusqu’au Mimile du coin, scotché au caboulot du bout de la rue, écoutant « Les Grosses Têtes » de RTL comme si sa vie en dépendait, même si cette émission, animée par Laurent Ruquier, homosexuel de l’espèce tranquille, a été épinglée par les bien-pensants pour… homophobie. Va comprendre, Alexandre, et tout fout le camp, Armand.

    Ce schéma mental dément une fois admis, tout ce qui peut sortir des cases devient donc, de fait, nul et non avenu. Un peu comme au sudoku. Ce qui explique que devant les viols et agressions de masse à Cologne, en 2015, résilience et silence radio aient pu devenir la norme chez nos suffragettes : « Allez déverser votre merde raciste ailleurs », Caroline De Haas dixit. Sans oublier une Assa Traoré, sœur d’Adama dont la dépouille ne devrait pas tarder à remplacer celle du Soldat inconnu, qui raconte « la polygamie de ses parents comme une expérience formidable ».

    À en croire ces pimprenelles, ce qui pourrait bien se passer en Afghanistan n’aurait finalement rien que de très normal. La polygamie tribale et l’enfermement des femmes ayant là-bas valeur de norme, tandis qu’ici, d’autres polygames coquins, tels  ou Yves Montand, seraient tout juste bons à la lapidation, fût-ce post-mortem… Un peu de logique, les filles !

    Si l’on était taquin, on verrait bien là, dans ce monde de précieuses très ridicules et de femmes assez peu savantes, une sorte de fascination pour un exotisme viril, façon exposition coloniale. À croire que les femmes, même les plus motivées, puissent être, elles aussi, des midinettes. En attendant, les jeunes filles et les femmes vont vivre la terreur barbare des  ou de la .

     

    Mais la douce Clémentine et la charmante Caroline ont autrement mieux à faire.

     



     

    afghanistan,féministes
    Journaliste, écrivain
     
     
     
     
     
     
                                     Source : https://www.bvoltaire.fr/
  • Séminaire de Milan : Prêtre tu seras si tu es vacciné…

    Publié par Guy Jovelin le 20 août 2021

    L’Eglise conciliaire n’est jamais en retard pour suivre le monde, ses préceptes et ses mœurs. En ces temps covidesques, c’est à la vaccination pour tous qu’elle s’attelle, qu’elle adopte et qu’elle chérit, à l’instar du pape François. Le prêtre de demain ne doit pas être saint, ni avoir de bonnes mœurs, mais vacciné.

    Le séminaire de Milan donne le ton : il est le premier à imposer la vaccination obligatoire et permettre l’exemption de masques pour ceux qui ont terminé le cycle de vaccination. Et il écrit aux 120 séminaristes : «

    Vous devez tous vous faire vacciner avant de rentrer de vacances ».

    Le vice-recteur confirme au quotidien italien La Nuova Bussola Quotidiana :

    « On le fait pour revenir à une vie plus apaisée ».

    Sans étonnement, les séminaristes opposés à l’injection anti-covid sont qualifiés d’idéologiques :

    « Nous évaluerons au cas par cas même ceux qui manifestent une opposition idéologique, mais je suis sûr qu’il n’y en aura pas besoin. »

    La première condition pour un ‘bon’ prêtre conciliaire dorénavant sera donc d’être vacciné. C’est ainsi que le séminaire épiscopal de Milan a établi le vaccin comme une condition sine qua non pour les 120 aspirants prêtres pour leur retour de vacances le 12 septembre.

    Une lettre du recteur Don Enrico Castagna parle clairement : vaccinez-vous et faites preuve de charité les uns envers les autres écrit-il en substance. Vaccin obligatoire, sans trop de raccourcis ni passe vert : même l’Etat n’est pas allé jusque-là. Vous voulez devenir prêtre ? Faites-vous vacciner et ensuite on en parle.

    La Nuova Bussola Quotidiana a demandé confirmation de l’indiscrétion et après avoir contacté le recteur, il a pu parler avec son consentement avec le vice-recteur Don Michele Galli, covid manager du séminaire de Venegone Inferiore, dépendant du plus grand diocèse d’Europe. Et il a confirmé la mesure draconienne, actuellement prise uniquement par Milan.

    « Compte tenu de la situation épidémiologique, nous modifions notre approche », explique Don Michele. « Nous nous sommes appuyés sur le décret-loi de l’État, notamment le décret scolaire et le décret universitaire […] et nous nous sommes adaptés en conséquence » en « tirant parti du vaccin. Nous avons demandé aux séminaristes de se faire vacciner à leur retour le 12 septembre, de cette façon nous pourrons vivre dans les salles de classe et les espaces communs sans masque puisque le décret scolaire autorise, dans les classes qui ont terminé le cycle de vaccination, l’exemption du masque. »

    Mais que feront les séminaristes ? Tout le monde sera-t-il vacciné ? La question se pose spontanément, mais pour le vice-recteur ce n’est pas un gros problème. « Pour le moment, nous n’avons personne qui nous a fait part d’une quelconque opposition, mais si des cas se présentent, nous les évaluerons au cas par cas. Par exemple, si quelqu’un ne peut pas se faire vacciner pour des raisons médicales, nous l’envisagerons, si au contraire les raisons sont plutôt de nature idéologique… enfin… je ne sais pas, nous n’avons pas encore abordé la question, mais je ne pense pas qu’ils causeront des problèmes », coupe-t-il.

    Le spectre de l’expulsion n’est pas évoqué, mais selon les propos du vice-recteur, il n’est pas totalement exclu puisque le séminariste no vax est stigmatisé comme idéologue : aucun raccourci ni aucune entente ne doit lui être prévu.

    L’archevêque de Milan Mario Delpini, qui était également recteur de Venegono Inferiore, n’a pas été consulté. La décision, explique le vice-recteur « a été prise de manière autonome en tant que conseil de séminaire, mais d’un autre côté nous nous sentons encouragés dans cette décision également par la note de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi qui encourage expressément à se faire vacciner ».

    Si, depuis la naissance de l’Eglise conciliaire et de ses sacrements « bâtards » comme les appelait Mgr Lefebvre d’heureuse mémoire, l’on peut douter de la validité de l’ordination Novus Ordo, de la doctrine reçue par les séminaristes, de leur esprit surnaturel, un doute est levé : le ‘prêtre’ de demain guidera difficilement les âmes vers la Jérusalem céleste mais, c’est sûr, « il sera armé de l’inoculum sacré » pour mener le troupeau apeuré vers le nouveau monde post-covid des Schwab, François, Gates, Soros and Co… 

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • En Martinique, le gouvernement expérimente un durcissement de la dictature sanitaire

    Publié par Guy Jovelin le 20 août 2021

    En Martinique, le gouvernement expérimente un durcissement de la dictature sanitaire

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    Décision complètement hallucinante du conseil départemental de l’ordre des médecins de Martinique : il devient interdit aux médecins de s’exprimer librement à propos des injections vaccinales imposées aux Français. La liberté de conscience et de prescription des médecins est tout simplement supprimée :

    Le conseil départemental de l’ordre des médecins de Martinique a décidé que les médecins exprimant publiquement une opinion anti-vaccins seraient passibles de sanctions disciplinaires. L’ordre estime que leur position publique face à la pandémie de Covid-19 ne respecte pas le code de déontologie.

    La sanction disciplinaire peut aller “de l’avertissement à la radiation”, a précisé le président conseil de l’ordre Raymond Hélénon lundi 16 août lors d’une conférence de presse à Fort-de-France. L’ordre va donc s’appuyer sur les textes du code de la santé publique pour mener à bien sa démarche.

    Le président de l’Ordre veut que les médecins “aient une seule parole” :

    «Qu’ils laissent les gens choisir s’il le faut, mais il ne faut pas qu’ils viennent décrédibiliser la parole du médecin. Car on assiste à une guerre de pour et de contre. Et ce n’est pas sain. Il faut que les médecins aient une seule parole», a insisté le président de l’ordre.

    Il est à parier que les médecins en métropole, puis quiconque, soit rapidement passible de sanctions dès lors qu’une opinion divergente sera émise. Par définition, un scientifique doit douter et émettre des hypothèses. L’uniformisation de la pensée scientifique imposée par l’Etat, cela s’appelle la dictature !  

     

    Source : lesalonbeige

  • « Mort à la France ! » : Quand des milliers d’Afghans défilaient dans les rues de Kaboul et d’Herat en brûlant le drapeau français et une effigie de Macron (Octobre 2020)

    Publié par Guy Jovelin le 19 août 2021

    Kaboul (Capitale) :

    Macron avait défendu le droit de publier des caricatures blasphématoires. (BFMTV)

     

    Kaboul
    Kaboul

    Herat :

    Le plus grand rassemblement s’est tenu à Herat, dans l’Ouest, où des milliers de personnes ont crié : « Mort à la France ! Mort à Macron ! » (Le Monde)

    Herat
    Herat


    Source : fdesouche
  • Bruxelles : les “Journées du Patrimoine” rebaptisées “Heritage Days” pour “mieux amplifier la diversité et intégrer la communauté LGBT, les personnes issues des minorités…”

    Publié par Guy Jovelin le 19 août 2021

    Les “Journées du Patrimoine” (ou “Open Monumentendagen” en néerlandais) ont été rebaptisées “Heritage Days” dans la région de Bruxelles. Perçue comme sexiste et pas assez inclusive, l’appellation a été modifiée à l’initiative des autorités bruxelloises, en particulier Pascal Smet et l’administration Urban.Brussels, relate le média bruxellois Bruzz.“ “Un nouveau nom pour une nouvelle dynamique, plus inclusive et élargie”, annonce Pascal Smet, Secrétaire d’État en charge de l’Urbanisme et du Patrimoine dans un communiqué.

    Le terme “patrimoine” en français semble surtout poser problème. “Il signifie littéralement ‘héritage du père’ et fait référence aux biens hérités du père et transmis aux enfants, parfois seulement aux fils”, peut-on lire dans la brochure. “Bien qu’il s’agisse d’un patrimoine culturel, le mot ‘patrimoine’ renvoie à une époque où la femme était exclue de tout processus de transfert de richesses et dépendait entièrement de l’homme sur le plan financier”. Bref, une expression désuète selon les organisateurs de l’évènement.

    En néerlandais, l’appellation “Open Monumentendagen” est également remise en cause parce qu’elle laisserait penser qu’il s’agit uniquement de monuments alors que d’autres lieux sont également à visiter, nous apprend encore Bruzz.  […] “C’est une politique délibérée de ce gouvernement de tout angliciser”, déplore pour sa part Cieltje Van Achter, députée bruxelloise N-VA. (Nationalistes flamands)

    Si le mot “patrimoine” est abandonné, le terme matrimoine, qui désigne les biens, matériels ou immatériels, ayant une importance artistique ou historique hérités des femmes, sera bel et bien conservé, indique encore La Libre Belgique. “Parler de matrimoine permet d’identifier le problème. Mais il faut aussi aller plus loin, amplifier la diversité, et donc aussi intégrer la communauté LGBT, les personnes issues des minorités, etc”, commente Apolline Vranken, la coorganisatrice des Journées du matrimoine. Un évènement qui aura lieu du 24 au 26 septembre. […]

    7 sur 7 via fdesouche