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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 2111

  • 13 février : le bombardement de Dresde, une démonstration d’éthique démocratique

    Publié par Guy Jovelin le 13 février 2020

    Dans la ville de Dresde, joyau architectural, s’étaient réfugiés pas moins de 750 000 civils qui avaient fui devant l’invasion de l’armée soviétique et campaient dans les parcs, sur les trottoirs, dans les rues. Chacun se sentait en sécurité puisque Dresde n’était pas une cible militaire, c’était une ville hôpital qui pouvait se vanter de posséder 25 grandes installations médicales. La ville ne fabriquait pas de matériel de guerre, et par conséquent était laissée sans défense.

    Mais, ce 13 février 1945, les démocraties anglaise et américaine commencent le plus brutal bombardement de la 2e Guerre mondiale (exceptées les bombes atomiques sur le Japon).
    7 000 tonnes de bombes incendiaires sont larguées sur Dresde et des dizaines de milliers d’hommes, femmes, vieillards, enfants meurent (entre 200 000 et 400 000 tués), souvent brûlés au phosphore, dans des souffrances terribles.

    La destruction de cette ville ne répondait pas à des objectifs militaires ou économiques mais s’inscrivait dans une logique de terrorisme, hors de toute morale, visant à ébranler le moral des Allemands.

    Plus précisément :
    « À 22h15, 800 bombardiers britanniques, avions d’escorte et de diversion convergeaient sur Dresde et larguaient des bombes incendiaires qui mettaient le feu à la ville d’une extrémité à l’autre. Une fois le ciel dégagé des avions ennemis, ceux qui avaient survécu dans des abris ressortaient dans les rues pour aider les blessés et enlever les morts. Des unités de service de secours de la région environnante se précipitaient dans la ville détruite pour apporter leur aide.

    Les Anglais faisaient alors croire aux Allemands que le raid était terminé pour la nuit, mais ils envoyèrent une deuxième vague de bombardiers pour « faire coup double » en revenant piéger les secouristes dans les rues en feu.

    Ce deuxième raid allait tuer des milliers de personnes qui se trouvaient en plein air, et eut aussi pour effet de produire la tempête de feu planifiée par les Anglais, provoquant dans la vieille ville des températures atteignant le niveau incroyable de 3 000 degrés Fahrenheit [1 600°C].

    Ce crime contre l’humanité était tel que les victimes étaient aspirées dans un mur de flammes par un vent si puissant qu’il en avait renversé des wagons. Les sauveteurs découvriront dans les caves, à plusieurs pieds de profondeur, de la chair humaine fondue et des os.

    En tous les cas, de toutes les horreurs que peut produire une tempête de feu dans une ville surpeuplée, la plus déchirante est quand des milliers d’enfants ont perdu leurs parents dans la panique et, essayant de fuir les incendies, se sont retrouvés les pieds englués dans le goudron et l’asphalte en fusion. « Ils empoignaient leurs membres torturés puisque leurs toutes petites jambes brûlées ne les tenaient plus debout … puis ils s’effondraient jusqu’à ce que la mort vienne les libérer de leur misère physique. »

    Le massacre continuait le lendemain matin, avec une troisième attaque de 400 avions américains qui larguaient des bombes sur la ville déjà détruite, et des avions de combat, volant à basse altitude, mitraillaient le personnel médical et leurs patients étendus sur des couvertures le long de l’Elbe.

    Mais ce n’était pas tout. Dresde était bombardée encore trois fois, par un total de 1 172 avions : le 15 février, le 3 mars et le 17 avril 1945. » (Source : Richard Odorfer)

    Civils habitant ou réfugiés à Dresde.

    Dresde, avec Hiroshima et Nagasaki, sont les exemples les plus connus de la barbarie anglo-américaine, mais on ne doit pas oublier les civils volontairement assassinés par de lâches bombardements un peu partout, dont des dizaines de milliers en France (voir Quand les Alliés bombardaient la France).

    Quelques images d’archives (après la publicité) :

    La résistance nationale d’outre-Rhin rend chaque année hommage aux morts de Dresde, au cours d’un défilé généralement perturbé par la police.

     

    Source : contre-info

  • Pyrénées : découverte d’ossements de fermiers du Néolithique qui se sont battus pour défendre leur territoire face à des migrants

    Publié par Guy Jovelin le 12 février 2020

    Par  le 12/02/2020
    Antonio Rodríguez-Hidalgo@WhiteRabbit36

    https://doi.org/10.1038/s41598-020-58483-9 

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    Dans les Pyrénées espagnoles, des archéologues ont découvert une grotte abritant les restes de 13 personnes ayant été brutalement tuées il y a environ 7.300 ans. Il s’agirait de fermiers du Néolithique qui se sont battus pour défendre leur territoire face à des migrants.

    Sur le site archéologique d’Els Trocs, dans les Pyrénées espagnoles, 13 restes de cadavres, neuf adultes et quatre enfants, ont été retrouvés dans une grotte. Leur mort remonte à environ 5.300 avant notre ère, selon leurs recherches publiées le 7 février dans la revue Nature.

  • La justice accepte la demande de remise en liberté de Patrick Balkany

    Publié par Guy Jovelin le 12 février 2020

    Par  le 12/02/2020

    La Cour d’appel de Paris a accepté de remettre en liberté Patrick Balkany, en proie à des problèmes de santé. La caution et l’interdiction de circuler en Ile-de-france ont été supprimées.

    (…) La Dépêche via fdesouche

  • La CGT refuse de prêter un de ses châteaux pour héberger les Français revenus de Chine

    Publié par Guy Jovelin le 12 février 2020

    Par  le 12/02/2020

    À la recherche d’un lieu où héberger les Français placés en quarantaine à leur retour de Chine, le gouvernement avait demandé à la CGT de prêter l’un des nombreux châteaux qu’elle possède. Le syndicat y a opposé une fin de non-recevoir.

    (…) Valeurs actuelles via fdesouche

  • Les retraits en liquide pourraient coûter plus cher après le feu vert à une hausse de 56% de la commission interbancaire de retrait

    Publié par Guy Jovelin le 12 février 2020

    Par  le 11/02/2020

    Retirer du liquide dans un distributeur sera peut-être bientôt plus cher… Selon nos informations, les banques réunies au sein du Groupement des Cartes Bancaires (GIE CB) ont obtenu fin 2019 le feu vert de l’Autorité de la concurrence pour augmenter le prix de la commission qu’elles se prélèvent mutuellement sur chaque retrait.

    La commission interbancaire de retrait (CIR) est versée par la banque du porteur de carte à celle qui gère le distributeur où le retrait a lieu. Elle est passée le 1er janvier de 57 centimes à 89 centimes d’euros sur chaque opération. Une hausse de 56 % ! « C’est une très bonne nouvelle, notamment pour l’entretien des réseaux de distributeur », se félicite une source bancaire.