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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 2110

  • Le chef de la diplomatie hongroise : « L’immigration représente une menace très grave pour l’ensemble de l’humanité »

    Publié par Guy Jovelin le 13 février 2020

    Par  le 13/02/2020

    Hongrie – Les Nations Unies gaspillent de l’argent pour faciliter les migrations qui représentent un danger pour le monde entier, au lieu de lutter contre le terrorisme, a déclaré le ministre des affaires étrangères, Péter Szijjártó, lors d’une conférence sur la lutte contre le terrorisme qui s’est tenue à Vienne.

    M. Szijjártó a déclaré que la promotion de la migration dans le monde constituait « une menace très grave pour l’ensemble de l’humanité ».

    Il a déclaré que le pacte mondial de l’ONU sur les migrations encourageait les gens à quitter leur pays d’origine. Cela, a-t-il ajouté, met en danger les régions et les pays de passage des migrants.

    « Nous appelons les Nations unies à inclure dans leur budget la lutte contre le terrorisme (…) et à dépenser moins pour les migrations », a déclaré le ministre lors de la conférence organisée par les Nations unies, l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) et la Suisse.

    Hungary Today via fdesouche

  • Russie : des militants d’extrême-gauche condamnés pour terrorisme à de lourdes peines de prison

    Publié par Guy Jovelin le 13 février 2020

    Article publié le 13.02.20201019761232.jpg

    Sept jeunes hommes - tous nés entre 1988 et 1996 - ont été arrêtés en 2017 et 2018 pour leur appartenance à une organisation considérée comme terroriste par les services de sécurité, baptisée «Réseau».

    Selon le FSB ce groupe de personnes se revendiquant d'extrême-gauche a voulu préparer des attentats en 2018 lors de l’élection présidentielle puis, la même année, lors des matchs de la coupe du monde de football. Selon l’accusation le but de l’organisation, créée en mai 2015, était d’«unir des anarchistes de différentes régions de Russie en groupes de combat» afin de renverser l’ordre constitutionnel par la force.

    La presse russe qui a largement couvert cette affaire, rapporte que dès l’été 2016, le «Réseau» aurait mis sur pied une «structure hiérarchique avec répartition stricte des rôles entre les participants», qui comprenait des «groupes de combat» dans les villes de Penza, Omsk, Saint-Pétersbourg et Moscou. Une Charte communautaire aurait également été élaborée sous le nom de «Code du Réseau».

    Selon le média en ligne russe Gazeta, les membres de l’organisation qui n'ont jamais caché leur appartenance à l'extrême-gauche, étaient inspirés par Le Capital de Karl Marx ou L’Insurrection qui vient du Comité invisible - groupe postsituationniste d’extrême gauche d’origine française. Il était également établi que les condamnés étaient adeptes de l’airsoft, un jeu tactique militaire avec armes à billes de plastique en milieu naturel. 

    86 ans de prison au total

    Le 10 février, le tribunal de Penza (sud-est de Moscou) a reconnu coupables tous les accusés de l’affaire dite «du Réseau». Présentés par l'accusation comme des terroristes «antifascistes» et «anarchistes», les accusés devront purger des peines de 6 à 18 ans de prison, selon le verdict du tribunal militaire de Penza. Certains étaient aussi accusés de détention d'armes et de munitions ainsi que de tentative de trafic de drogue.

    La condamnation a suscité un tollé auprès de l'opposition et des ONG. Les organisateurs du groupe selon l'accusation, Dmitri Ptchelintsev et Ilia Chakourski ont écopé des peines les plus lourdes, respectivement de 18 et 16 ans de camp pénitencier de régime sévère. La sentence «est inattendue et trop dure», a estimé Olga Gavrilova, l'avocate de Maxim Ivankin, 25 ans, condamné à 13 ans de camp. «Évidemment, moi et mes collègues, nous allons tous faire appel», a-t-elle dit à l'AFP. 

    Vladimir Poutine avait été interpellé en 2018 et 2019 sur cette affaire et notamment les accusations de torture à l'encontre des enquêteurs. Il avait alors dit vouloir être informé plus amplement du dossier. Son porte-parole Dmitri Peskov, réagissant dès lors le 10 février au verdict, a assuré que le président russe avait ordonné «plus d'une fois que tout se fasse dans le respect de la loi». 

     

    Extrait de: Source et auteur via lesobservateurs

  • Belgique : la population d’Anderlecht ayant « radicalement changé », une église sera transformée en centre sportif

    Publié par Guy Jovelin le 13 février 2020

    Par  le 13/02/2020

    L’église Saint-François Xavier de Cureghem doit être transformée en un centre sportif, a fait savoir le bourgmestre d’Anderlecht Eric Tomas (PS).

    L’église s’est dégradée progressivement depuis la fin des années 80. La population a radicalement changé et il y a de moins en moins de catholiques à Anderlecht.

    En 2013, l’église s’est retrouvée sur la liste des bâtiments dont le diocèse veut se débarrasser. En 2015, accusant le coup de la disparition des fidèles, l’église est fermée. La Région bruxelloise a confirmé la dissolution de la paroisse un an plus tard dans un jugement. Le diocèse va revendre l’église et la désacraliser. La semaine dernière, des discussions ont eu lieu avec la commune et un architecte. L’idée est de la transformer en un centre sportif.

    La Capitale via fdesouche

  • Face à l'expansionnisme turc, la Russie réagit, l'UE se couche.

    Publié par Guy Jovelin le 13 février 2020

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    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    Prête à intervenir en Libye, de plus en plus présente auprès du régime algérien et du gouvernement tunisien, maniant le chantage et l'intimidation sur les questions migratoires, se substituant allègrement aux pays arabes pour maintenir un soutien actif au terrorisme islamique, la Turquie lance une nouvelle offensive contre le régime syrien.
     
    Une offensive que Vladimir Poutine pour qui la Syrie demeure une priorité stratégique et qui, malgré ses tentatives diplomatiques vers Erdogan, sait la dangerosité des ambitions proche-orientales, balkaniques, maghrébines et européennes d'Ankara, n'a évidemment pas l'intention de laisser se développer sans réagir. Panique des pleutres de Bruxelles que n'inquiète pas la perspective d'un nouveau Califat mais qu'angoisse celle d'une possible intervention armée d'endiguement.
     
    Tremblante devant le moindre froncement de sourcils d'Erdogan et en état de pré-dhimmitude vis à vis de l'Empire ottoman en reconstruction, l'Union européenne met donc en garde Moscou contre le risque d'affrontement en Syrie entre les armées russes et turques, les premières étant, dans le délabrement européen, les seules à pouvoir stopper l'offensive politique, économique et militaire tous azimuts que mène Ankara contre nos intérêts et notre civilisation. 
     
    La position de Bruxelles est claire : surtout ne rien faire et tout accepter du Grand Turc avant de se prosterner devant lui.
     
  • Belgique : 3 ans de prison pour l’homme et la femme ayant frappé avec une barre en bois le demandeur d’asile qui harcelait la femme depuis un an

    Publié par Guy Jovelin le 13 février 2020

    Par  le 13/02/2020

    Les deux anciens employés du centre d’asile Totem, soupçonnés de la tentative de meurtre d’un demandeur d’asile de 24 ans à Arendonk, ont été condamnés à une peine de prison de 3 ans avec sursis. Selon le tribunal, il n’y avait pas d’intention de tuer.

    Cette assistante sociale de 55 ans, originaire de Oud-Turnhout, était tombée sous le charme d’un Syrien de 24 ans lors de son travail au centre d’asile d’Arendonk. Ils ont commencé une relation, mais quand la femme a rompu par la suite, le Syrien n’a pas voulu la laisser partir comme ça. Il n’a cessé de la contacter et de la harceler. En avril 2019, la femme en a eu assez. Elle en a informé un ancien collègue, T.B. de Vosselaar, âgé de 47 ans. Quand le Syrien est revenu à sa porte, elle a appelé son ex-collègue. Il est arrivé chez la femme et a giflé le demandeur d’asile. Le Syrien s’est enfui à pied, mais les employés – entre-temps licenciés – du centre d’asile ont commencé la poursuite. Quand ils l’ont rattrapé, T.B. est sorti de la voiture avec un gros morceau de bois. Il a commencé à frapper la tête du demandeur d’asile avec. Ce n’est qu’après l’intervention d’un témoin qu’il a mis fin à la violence.

    L’accusation avait réclamé 6 ans de prison pour tentative de meurtre. Selon le procureur, il y a eu préméditation et intention de tuer. Le juge a suivi le raisonnement selon lequel ils auraient agi avec préméditation, mais estime que cette préméditation ne concerne que les coups et blessures. Pour une intention de tuer, il n’y a pas suffisamment de preuves.

    HLN.be via fdesouche