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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 2200

  • Tarbes (65) : L’église Saint-Jean vandalisée (bibles dégradées, présence d’excréments, porte fracturée)

    Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2019

    Par  le 21/11/2019

    Bâtiment religieux majeur du centre-ville de Tarbes, 20 minutes mercredi, révèle ce jeudi la préfecture des Hautes-Pyrénées. Celle-ci annonce une conférence de presse à 14h30 organisée dans l’édifice du XVe siècle, pour détailler les dommages.

    La Nouvelle République des Pyrénées évoque des bibles dégradées, une porte fracturée et la présence d’excréments. Une enquête de police a été ouverte.

    Des églises et cathédrales déjà visées

    Cet événement s’inscrit dans une longue liste de méfaits contre des monuments catholiques comme, pour s’en tenir au Sud-Ouest, l’attaque de la cathédrale d’Oloron-Sainte-Marie début novembre, suivie quelques jours plus tard par un incendie dans la cathédrale d’Eauze.

    A Tarbes, l’affaire est prise au sérieux : les médias présents ce jeudi après-midi se retrouveront face au préfet Brice Blondel, au maire Gérard Trémège, au directeur départemental de la sécurité publique Laurent Sindic et à l’évêque Mgr Nicolas Brouwet.

    20 minutes via fdesouche

  • 30 novembre et 1er décembre : 2 jours de mobilisation partout en France contre la PMA sans père et la GPA

    Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2019

    Auteur : Michel Janva

    30 novembre et 1er décembre : 2 jours de mobilisation partout en France contre la PMA sans père et la GPA

    Après le succès de la manifestation du 6 octobre dernier, l’opposition au projet de loi bioéthique continue de monter en puissance. Aux côtés des associations rassemblées sous le label « Marchons Enfants ! », La Manif Pour Tous appelle à des piquets de mobilisation : une mobilisation inédite, locale et décentralisée, qui se tiendra tout au long du week-end du 30 novembre et 1er décembre.

    Au-delà de la traditionnelle guerre des chiffres, la manifestation « Marchons Enfants » a été unanimement reconnue comme celle ayant rassemblé le plus de monde depuis le début du quinquennat. Cette démonstration de force s’est par ailleurs déroulée dans le plus grand calme et sans le moindre débordement, ce qui tranche avec le contexte social ambiant. Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous, interroge :

    « Comment expliquer que le gouvernement et le Président de la République soient restés silencieux depuis le 6 octobre ? Comment expliquer leur refus de dialoguer avec les organisateurs de ce mouvement massif et populaire ? »

    L’attitude de l’exécutif est incompréhensible.

    Le mouvement est déterminé à défendre la justice, c’est-à-dire l’intérêt de l’enfant, la paternité et la dignité des femmes qui sont menacées par la PMA sans père et la GPA. A l’heure où le gouvernement est sans réponse face aux difficultés évidentes des services hospitaliers et de notre système de santé en général, il est incompréhensible de vouloir faire rembourser par la Sécurité sociale la PMA sans père qui, à la différence de la PMA actuelle, concerne des femmes qui ne souffrent pas de pathologie de la fertilité. C’est un détournement de la médecine qui serait opéré si le projet de loi venait à être adopté. Fort heureusement, le processus législatif n’en est qu’à son commencement.

    Après un vote en 1ère lecture à l’Assemblée nationale, le texte devrait arriver en commission au Sénat début décembre, avant une discussion en séance publique début 2020. Le calendrier législatif invite donc à se mobiliser le week-end du 30 novembre et 1er décembre. Concrètement, des piquets de mobilisation seront organisés partout en France.

    L’objectif est simple : rencontrer les Français, les informer et les sensibiliser sur les enjeux du projet de loi de bioéthique. Alors que le gouvernement fait la sourde oreille, plongé dans un embarras qu’il peine à masquer, il est temps de réveiller le débat. C’est tout l’enjeu de ce week-end de mobilisation où des agoras se tiendront à travers tout le pays. Il est urgent de trouver le chemin du dialogue qui permettra de sortir par le haut de l’impasse politique et sociale dans laquelle le projet de loi bioéthique nous emmène.

    Informations pratiques (trouvez le piquet de mobilisation près de chez vous) : www.lamanifpourtous.fr

     

    Source : lesalonbeige

  • Pas de sauvetage des hôpitaux sans immigration zéro

    Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2019

    Alors que l'hôpital public, dans son fonctionnement global — ce qui impacte le moral du personnel, la qualité des soins et la sécurité sanitaire, parfois même la sécurité tout court — est au bord de la rupture, le Premier ministre, Édouard Philippe, vient d'annoncer un certain nombre de mesures qui, toutes cumulées, relèvent du simple rafistolage.

    La reprise par l'Etat du tiers de la dette des hôpitaux (plus de 30 milliards) n'est qu'un artifice comptable puisque, au bout du compte c'est toujours le contribuable qui paye, que ce soit par ses cotisations sociales ou par l'impôt.

    Le coup de pouce budgétaire de 1,5 milliards sur trois ans est dérisoire comparé au milliard annuel du coût de l'Aide médicale d'Etat (AME) accordée aux étrangers clandestins dont la supression constitue une exigence économique, morale et nationale.

    La prime de 800 euros par an est une insulte pour les personnels soignants dont la qualité et le dévouement vont bien au delà de ce que propose la mesquinerie comptable du gouvernement.

    Les promesses, enfin, du ministère de la Santé de créations de lits ne connaissent quant à elles, pas le moindre début de commencement de concrétisation.

    L'hôpital public, asphyxié depuis vingt ans, par les réductions budgétaires, les fermetures de services, le malthusianisme des embauches et les conséquences de l'application des 35 heures, est en voie de tiers-mondisation.

    Tiers-mondisation de ses infrastructures, mais tiers-mondisation aussi par la nature même des patients qui y affluent. Tant que la question des flux migratoires ne sera pas traitée et résolue dans le sens national, aucune mesure en faveur des hôpitaux français et de ses services d'urgences ne sera viable.

    On l'aura compris: pour nous, un plan d'urgence pour l'hôpital ne peut être qu'englobé dans un plan d'urgence pour la France.
    JFT.

  • Montfavet (84) : Braquée 3 fois dans son tabac, elle a tout quitté. « Des jeunes me faisaient des signes d’égorgement devant chez moi »

    Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2019

    Par  le 20/11/2019
    Louis Hausalter@LouisHausalter
     

    Il y a les concepts que le gouvernement adore manier, comme "la sécurité du quotidien". Et il y a les faits, comme celui-ci : une buraliste du Vaucluse braquée trois fois, son dernier agresseur toujours en fuite. C’est dans ⁦@laprovence⁩ ce matin.

     
    Voir l'image sur Twitter
     

    Son troisième agresseur est en fuite. Quatre ans après, la buraliste reste traumatisée.

    (…) Un an plus tard, en août 2012, Nathalie est victime d’un second braquage. « Vers 18 h, alors que ma comptable et un client étaient présents dans le magasin, deux hommes armés sont entrés. Ils ont frappé mon client sur la tête, puis je leur ai donné la caisse pour qu’ils s’en aillent. Ils m’ont mis le pistolet sur la tempe et m’ont forcé à vider le coffre« . Plus tard dans la soirée, Nathalie est prévenue par un ami que des vêtements sont en train de brûler devant chez lui, et qu’il pourrait s’agir de ceux des agresseurs. Elle prévient alors les enquêteurs, qui récupèrent les habits et isolent un ADN. Un jeune homme est interpellé. Il sera jugé en juin 2015 et condamné à neuf ans de prison. « Après sa condamnation, on a crevé les pneus de ma voiture. Des jeunes attendaient devant chez moi en me faisant des signes d’égorgement… » Traumatisée et effrayée en permanence, Nathalie décide de vendre son commerce. « Sauf que personne ne voulait l’acheter. J’avais quand même été braquée deux fois… ».

    (…) La Provence via fdesouche

  • ENCORE UNE AGRESSION CONTRE LA CULTURE FRANÇAISE…

    Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2019

    POSTÉ LE NOVEMBRE 19, 2019, 11:11

    agression,culture française,édouard philippe

    La «Tribune de l’Art» n’est certes pas un journal politique, mais, compte tenu de l’aversion de nos dirigeants contre la civilisation européenne et la culture française, c’est désormais souvent dans ses colonnes que l’on découvre les méfaits de nos gouvernants.

    C’est en lisant son site que j’ai pu mesurer la perversité des projets de «restauration» de Notre-Dame que caressaient le chef de l’État et sa majorité.
    Mais c’est également dans ses colonnes que j’ai découvert la folie «restitutionniste».

    De quoi s’agit-il? Comme chacun sait, la France officielle (qui n’a décidément plus rien à voir avec la France tout court, cette dernière étant littéralement occupée par une puissance étrangère et hostile) est prise par une frénésie de repentance.

    Tout ce qui ne va pas dans ce monde est de notre faute : nous avons été colonialistes, impérialistes, racistes, esclavagistes, que sais-je encore?

    Et, par conséquent, il faut payer. Payer d’abord en visas : les Africains et les Maghrébins naguère colonisés semblent disposer d’un droit illimité à s’installer chez nous, à exiger que nous renoncions à notre culture et à nous imposer la leur.

    Mais aussi, à terme, payer en espèces sonnantes et trébuchantes. Pour le moment, cette logique de «restitution» en reste à la démarche symboli­que, mais, naturellement, ce n’est pas rassurant pour autant.
    D’une part, parce que les symboles sont suprêmement importants en politique; et d’autre part, parce que, si l’on admet la logique d’une restitution symbolique, tôt ou tard, nous serons contraints à accepter la logique d’une « restitution » financière.

    Il est à peine nécessaire de rappeler que la colonisation a énormément apporté à ces pays, à commencer par la fin de l’esclavage – qui revient avec la décolonisation et la recolonisation par l’islam radical.

    Mais il faut insister sur l’illégitimité de ces «restitutions».

    Édouard Philippe s’apprête, si j’en crois la «Tribune de l’Art» (et, malheureusement, il y a de bonnes raisons de la croire), à «rendre» au Sénégal le sabre (qui se trouve actuellement au musée de l’Armée) d’El Hadj Omar, chef islamiste défait en 1893 par l’armée française, après avoir asservi d’immenses territoires.

    Cette restitution est évidemment illégale. Si je comprends bien, elle serait d’abord «déguisée» en prêt de musée à musée, mais l’agence Sénégal France Coopération parle bel et bien de «restitution» et il y a fort à parier que ce soit ainsi que l’entende le Premier ministre.

    En toute hypothèse, les projets de «restitution» fourmillent au sommet de l’État. De la même façon que, sous couvert de bonne gestion, on brade le patrimoine industriel de la France, on brade son patrimoine artistique sous couvert de bonnes relations diplomatiques.

    En tout cas, le symbole est désastreux: il prétend reconnaître que la France a eu tort de s’opposer à un chef de guerre djihadiste et esclavagiste. Autant dire que, si M. Macron voulait torpiller sa timide offensive contre l’« islam radical», il ne s’y prendrait pas autrement.

    Mais, en réalité, ce n’est qu’une manifestation de plus de l’aversion profonde de nos prétendus dirigeants pour la culture française. Le tout doublé d’un autoritarisme arrogant.

    Je parlais en commençant de Notre-Dame. La récente sortie du général Georgelin, désigné par Emmanuel Macron pour diriger le projet de reconstruction, et enjoignant l’architecte des bâtiments de France, qui demandait une reconstruction à l’identique, de «fermer sa g …», est révélatrice. Nous sommes gouvernés par des gamins capricieux et arrogants qui ignorent tout des dossiers qu’ils prétendent traiter et ne savent qu’une chose: la France paiera!

     

    Source : les4verites