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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 2255

  • Ce ramassis de médiocres…

    Publié par Guy Jovelin le 27 septembre 2019

     

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    Par Jarente de Senac

    Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la France va connaître sous la houlette d’un Gouvernement provisoire de la République française (3 juin 1944 – 27 octobre 1944) la publication d’une série d’ordonnances permettant d’épurer la société française. 30 000 à 40 000 Français, selon l’historien Robert Aron, seront passés par les armes dans l’indifférence d’un certain De Gaulle et de son bras armé, le Parti communiste et ses tueurs (déjà !) La IVe République aura deux médiocres pour président, Vincent Auriol de 1947 à 1954 et René Coty de 1954 à 1959. Mais ces deux pantins ne gouverneront pas, ils veillent sur les institutions. Les vrais acteurs ce sont les présidents du Conseil qui vont se succéder au gré des majorités mouvantes de la chambre des députés.  Là où règne les trois grands partis : les faux-culs démocrates chrétiens du MRP, les socialistes de la SFIO, francs-macs pour la plupart d’entre eux, et les thuriféraires de Joseph Staline à savoir les membres du parti communiste.

    Le bal des médiocres s’égrène de Robert Schuman à Henri Queuille, René Pleven, Edgar Faure, Antoine Pinay, Pierre Mendès-France, Guy Mollet pour finir avec Pierre Pflimlin. C’est alors que se produit le coup d’état gaulliste du 13 mai 1958 où De Gaulle se fait introniser président du Conseil avant de changer la constitution. Et d’inaugurer la Ve République. Dès lors, c’est bien le président qui gouverne et son premier ministre, le premier esclave de cette Ripouxblique d’un nouveau genre. Le seul et unique président à sortir du lot de cette médiocrité ambiante est Georges Pompidou qui avait une vraie et non pas certaine, idée de la France qu’il va industrialiser. Et ce, sans pourrir la vie des Français comme le feront ses successeurs.

    Depuis 1945, la France comme toute l’Europe occidentale est inféodée à Washington et à ses choix géopolitiques catastrophiques (Corée, Vietnam, Afghanistan, Irak). De Mitterrand à Macron, tous courberont l’échine devant le grand Satan. Chirac comme les autres naviguera à vue étant donné que ses compétences se limitent à savoir organiser une campagne électorale et certainement pas à en gérer le succès. Résultat des courses, deux présidences ataraxiques !

    De Chirac, il ne peut rien rester, car il n’a rien fait, rien entrepris. Il n’a fait que bouffer, baiser et tâter le cul des vaches. Il faut bien dire que le régime démocratique – qu’on espère en fin de course – ne génère que des médiocres ou des gens intelligents mal employés. Qu’est-ce qu’un député, un sénateur ? Rien. Si, à justifier ce régime où l’on nous serine que sans eux, il n’y aurait pas de démocratie. Mais les seuls à tenir la boutique, ce sont les maires et les élus locaux. Et une administration de plus en plus autonome qui pourrit chaque jour un peu plus la vie des Français. Platon a dit tout le mal qu’il fallait penser des démocraties. On ne doit pas perdre de vue que ce sont les rois de France qui ont fait ce pays quand nos démocraties s’acharnent, depuis 1870, à le défaire. Tirez-en les conclusions vous même.

     

    Source : synthesenationale

  • Jacques Chirac est mort. Certes. Et après ? Ou, plus précisément, et avant ?

    Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2019

    Aristide Leucate

    Au risque de passer pour le cousin mal dégrossi habitant la campagne profonde, débarquant avec ses croquenots crottés dans un salon XVIIIe avec parquet en marqueterie, tapisseries chamarrées et lustres en cristal, faisons choir, sans tarder, ce monument d’intense tartufferie qui consiste à dire tout le bien, avéré ou reconstruit, que l’on pense d’une personne, une fois celle-ci montée dans le train roulant à toute vitesse vers saint Pierre.

    À peine quelques heures que l’ancien président de la République a tiré sa révérence que pleuvent, déjà, grenades laudatives et gravas apologétiques, les uns et les autres, à droite, au centre et à gauche, dans un rare et artificiel moment d’union nationale, s’efforçant, avec plus ou moins de talent et d’imagination, de tresser les lauriers hagiographiques du « grand homme ».

    La vie est une succession de bilans. La mort, un inventaire. Celui de Jacques Chirac, énarque passé rapidement à la vie politique, au point d’en faire une profession à temps plein pendant quarante ans, présente un lourd passif.

    Passons sur son engagement de jeunesse aux côtés du Parti communiste « français » – les guillemets s’imposent d’autant plus qu’en ce temps-là, le parti des « 75.000 fusillés » avait les yeux de Chimène pour Moscou. Notons, toutefois que, s’il est des erreurs qui peuvent être fécondes, Chirac persista avec constance, toute sa vie, dans son tropisme gauchisant.

    Mais que doit-on retenir du personnage depuis le fameux « appel de Cochin » du 6 décembre 1978, lorsque ce dernier, alors déjà maire de Paris et président du jeune RPR, fustigeait le « parti de l’étranger » en visant l’UDF giscardienne taxée de vouloir vassaliser la France à l’Europe ? Rien ! Ce fut une imposture médiatique de taille que d’attribuer à celui-ci une posture idéologique qui devait bien plus à Marie-France Garaud et à Pierre Juillet, ses proches conseillers d’alors, lesquels regretteront amèrement d’avoir choisi ce cheval boiteux pour défendre le projet d’une France au sein d’une confédération européenne de nations indépendantes.

    Politicien roué comme savaient en fabriquer les deux Républiques devancières dont il sut prolonger, sous la Ve gaullienne, les plus détestables pratiques, disposé à tous les renoncements comme à toutes les trahisons, cet « immobile à grand pas », selon l’éloquente expression d’Éric Zemmour, n’aura jamais aussi bien appliqué ce précepte attribué au bon docteur Queuille (ancien ministre, élu de Corrèze) en vertu duquel « il n’est pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout ».

    Ses deux mandats de chef de l’État furent catastrophiques : démantèlement accéléré des services publics sur ordre de Bruxelles, aggravation du chômage, de la dette publique, de l’immigration de masse (souvenons-nous des illégales occupations d’églises et autres lieux), embrasement des banlieues, asservissement à l’Union européenne (désavoué par 55 % des Français en 2005), déséquilibre institutionnel avec l’instauration du quinquennat (issu d’un référendum aussi inutile que fortement abstentionniste).

    En outre, en dépit de ses affinités pro-arabes, il sut remarquablement s’attirer certaines grâces en jetant l’opprobre sur la France, l’accusant d’avoir collaboré avec l’occupant dans la déportation des Juifs de France. Ce faisant, l’homme de l’ironique « fracture sociale » raviva les plaies douloureuses du « temps où les Français ne s’aimaient pas » et, par cette repentance à laquelle aucun de ses prédécesseurs n’avait voulu succomber, introduisit le ferment de la haine de soi dans un pays déjà en proie au doute identitaire.

    Ne parlons même pas de sa lâcheté tactique qui le conduira, au lendemain du 21 avril 2002, à triompher à la Pyrrhus en confisquant le débat d’entre-deux-tours et en divisant un peu plus la société française.

    Requiescat in pace.

     

    Source : bvoltaire

  • Béziers (34): activité plongée pour les détenus (Màj : indignation des surveillants dont les formations sont refusées)

    Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2019

    Par  le 26/09/2019
    Des détenus de la prison de Béziers ont participé à un stage de plongée sous-marine à Carnon-plage. Plusieurs surveillants s’indignent de cette activité alors qu’ils se voient refuser des formations pour raisons de financements.

    […] Les détenus étaient accompagnés par deux moniteurs de sport, d’un dirigeant de la prison et d’un officier. Ils auraient même déjeuné dans un restaurant de la ville le midi. […]

    France3 via fdesouche

  • 5 mots pour résumer la carrière de Jacques Chirac : mensonge, imposture, supercherie, cynisme et immobilisme

    Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2019

    Jacques Chirac est mort. Cela arrive à tout le monde, un jour ou l'autre.

    Cinq mots peuvent résumer cet homme et sa longue carrière : mensonge, imposture, supercherie, cynisme et immobilisme.

    Non, Chirac n'était pas « sympa ». C'était un tueur politique rusé et malfaisant qui porte une lourde responsabilité dans la décadence de la France.

    Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France aux Études et Argumentaire

  • La nouvelle théologie de François en Amazonie

    Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2019

    Ecrit par Léo Kersauzie

     

    Un dessin qui résume bien la situation…

     

    Source : medias-presse.info