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La jeune maman a eu la peur de sa vie. Mercredi dernier, alors qu’elle marchait dans la rue avec sa fille de deux ans, elle a été agressée par un homme armé d’un couteau. L’auteur des faits a été condamné pour cette extorsion avec arme, et une autre tentative d’extorsion avec arme, à six mois de prison avec mandat de dépôt vendredi par le tribunal correctionnel d’Évry. Il devra par ailleurs verser 1 800 euros de préjudice à la victime.
« Je descendais du bus, je marchais. Il est arrivé par-derrière en disant « Madame, il est quelle heure ? » J’avais le parapluie, le sac à langer et ma fille dans les mains, raconte la victime. Il a répété « Il est quelle heure ! » Je n’avais pas de montre. J’ai lâché la main de ma fille pour sortir mon téléphone. Là, il a pris l’enfant par le cou et a tout suite sorti un couteau en criant « Lâche le téléphone où je la plante ! » » La mère a immédiatement donné son téléphone en hurlant pour alerter le voisinage. L’homme a pris la fuite après avoir donné un coup de pied à la fillette qui est tombée par terre.
Sur le nucléaire, les lignes ont bougé. « On a toujours dit que c’était une question dont les Français avaient du mal à se saisir, que l’opinion publique n’était pas vraiment constituée, observe Frédéric Dabi, directeur général Opinion à l’Ifop. Mais aujourd’hui, quand on pose la question de l’adhésion des Français à la production d’énergie nucléaire, la réponse est très nette. C’est le refus d’un scénario à l’allemande où on abandonne la production d’énergie nucléaire. »
Selon un sondage de l’institut réalisé pour le JDD*, 75 % des personnes interrogées se disent en effet favorables au nucléaire ; et ce pourcentage est majoritaire quels que soient la classe d’âge ou le parti politique. Les clivages demeurent mais se réduisent : 84 % des plus de 65 ans défendent cette énergie, contre 69 % seulement chez les moins de 35 ans ; 88 % la soutiennent à droite contre 66 % à gauche. « Même chez les Insoumis (56 %) et chez Europe Écologie-Les Verts (53 %), le soutien est majoritaire, observe Frédéric Dabi. Les leaders de ces deux partis qui disent stop au nucléaire sont en porte-à-faux avec leurs électeurs. »
Une raison à ce changement d’opinion : la crise
La raison de cette opinion majoritaire ? La crise, qui a remis le débat de l’indépendance énergétique de la France sur la table mais aussi ses répercussions sur le coût de l’électricité, et donc sur le pouvoir d’achat. Ce sont deux éléments qui ressortent de l’enquête Ifop : 81 % des sondés jugent le nucléaire indispensable à l’indépendance de la France, 67 % l’estiment bon marché.
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65 % des Français sont favorables à la construction de nouveaux réacteurs
Selon les informations de BFMTV, l’affaire a éclaté au retour de vacances du couple Quatennens, le 29 août. Alors qu’elle lui annonçait son intention de vouloir divorcer, Céline Quatennens a été la cible d’un accès de violences de la part de son époux, député de la 1ère circonscription du Nord et candidat putatif à la succession de Jean-Luc Mélenchon.
D’autres incidents
Mais, le 7 septembre, lors du dépôt de sa main courante au commissariat central de Lille (Nord), qui dispose justement d’un groupe dédié à la lutte contre les violences conjugales, elle a également évoqué d’autres faits précis impliquant l’élu du Nord, notamment un épisode survenu le 2 septembre, soit cinq jours plus tôt. Ainsi que d’autres événements antérieurs.
Le député La France insoumise s’est fendu d’un communiqué de presse avec son épouse, appelant au respect de sa vie privée. Ils souhaitent “retrouver le chemin de l’apaisement”.
Tenter d’éteindre une future polémique. Le député La France insoumise Adrien Quatennens s’est fendu d’un communiqué, après la publication par le Canard Enchaîné d’une brève indiquant que son épouse avait déposé une main courante à son encontre.
“Suite à une dispute après avoir annoncé sa volonté de séparation, Céline Quatennens a déposé une main courante en précisant aux policiers qui l’ont entendue qu’elle ne souhaitait ni porter plainte ni qu’il y ait de suites judiciaires à cette main courante et qu’elle exigeait que les informations ne se retrouvent pas dans la presse”, peut-on y lire.
“Nous entendons protéger notre vie privée et celle de notre famille, en demandons le respect pour retrouver le chemin de l’apaisement”, écrit encore le couple, parents d’une petite fille, dans ce texte commun.
“Nous nous réservons le droit d’attaquer quiconque bafouera (notre vie privée)”, conclut enfin les époux Quatennens.
Contacté par l’AFP, le parquet de Lille s’est refusé à tout commentaire. L’avocate d’Adrien Quatennens, Me Jade Dousselin, a de son côté publié une réaction sur les réseaux sociaux. “En tant que Conseil d’Adrien Quattenens, je ne peux que déplorer qu’une main courante relevant de la vie privée de son couple ait pu faire l’objet d’une diffusion publique contre la volonté expresse et exprimée de son épouse auprès des autorités”, écrit-elle.
Le président du Chili, Gabriel Boric, a refusé d’accepter les lettres de créance du nouvel ambassadeur d’Israël dans le pays, Gil Artzieli.
Selon certaines informations, le président, connu pour ses opinions anti-israéliennes, s’est indigné du « meurtre d’un garçon palestinien », faisant référence à l’incident de la nuit dernière dans la région de Jénine au cours duquel un terroriste de 17 ans qui avait ouvert le feu sur les forces de Tsahal, a été tué.
Un soldat israélien est également décédé dans l’échange de tirs.
Le lendemain, les soldats ont identifié les maisons des deux terroristes ayant tué le soldat israélien dans le but de les détruire, comme le veut la politique d’Israël contre les auteurs d’attaques anti-israéliennes.
L’ambassadeur d’Israël au Chili a même été convoqué auprès du ministre chilien des Affaires étrangères pour évoquer le sujet.
Gabriel Boric, élu en décembre dernier, était jusqu’alors un député d’extrême gauche. Âgé de 36 ans, il est un critique de l’État hébreu de longue date.
Il avait notamment soutenu un projet de loi proposant de boycotter les produits israéliens du Golan, des implantations de Cisjordanie et des secteurs de Jérusalem placés sous contrôle israélien en 1967.