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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 803

  • Football. Polémique Fournier-Galtier, la gestion du ramadan serait l’une des raisons du clash : il aurait demandé à un joueur qui faisait le jeûne de manger avant un match

    Publié par Guy Jovelin le 30 septembre 2022

    Polémique Fournier-Galtier: la gestion du ramadan serait l'une des raisons du clash

    L’ancien directeur sportif niçois Julien Fournier, qui s’en pris à Christophe Galtier dans l’After Foot, reprocherait à ce dernier sa gestion du ramadan lorsqu’il était entraîneur chez les Aiglons, selon L’Équipe.

    Dans l’After Foot sur RMC, Julien Fournier confiait que les raisons explosives de sa dispute avec Christophe Galtier à l’OGC Nice dépassaient le simple cadre du sport. L’Équipe, dans son édition de ce vendredi, révèle que la gestion du ramadan par l’actuel entraîneur du Paris Saint-Germain serait l’une des causes principales de ce clash.

    Lors de la période du ramadan au printemps dernier, Christophe Galtier aurait froissé le vestiaire en demandant à l’un de ses joueurs, Hicham Boudaoui, qui faisait le jeûne, de manger avant un match. Il n’est pas dit comment l’international algérien a réagi à cette demande, mais il avait finalement été titularisé dans cette rencontre (victoire 1-0 de l’OGC Nice contre Bordeaux).

    Au-delà de ce cas précis, Christophe Galtier aurait exigé de ses éléments faisant le ramadan qu’ils soient présents au réfectoire du club lors des repas de leurs coéquipiers, afin de ne pas nuire à la vie du groupe. Cette requête aurait en revanche été bien acceptée par les joueurs.

    Un problème de “sociologie” de l’effectif ?

    Reste que Julien Fournier, à l’époque directeur du football du club niçois, n’aurait guère apprécié ces méthodes et qu’il aurait déploré ce “critère religieux” auprès de ses supérieurs. Christophe Galtier aurait de son côté considéré que son point de vue n’était que sportif. Son entourage assure par ailleurs qu’il n’a “jamais incité un joueur à ne pas faire le ramadan” et qu’il n’a jamais privé de temps de jeu quiconque par rapport à cela.

    Avant cet épisode, un autre problème entre les deux hommes est relaté. Christophe Galtier, peu après son arrivée à l’été 2021, aurait déploré la “sociologie” de son vestiaire, selon les termes employés par L’Équipe. À ses yeux, l’effectif n’était non seulement pas suffisamment compétitif, ce qu’il n’aurait pas manqué de faire savoir, mais également en décalage avec l’identité de la ville et du club. Là aussi, son entourage prend la peine de balayer les assertions: “Il a entraîné des joueurs de toute culture, toute religion, sans aucune distinction. Ce type de reproche est complètement faux, lunaire et d’une extrême gravité”.

    En conférence de presse avec le PSG, jeudi, Christophe Galtier a affirmé ne pas être étonné de la petite bombe lâchée par Julien Fournier: “Je ne suis pas surpris de la manière dont il s’est exprimé. Je ne veux pas me fatiguer à débattre sur tout ce qui se dit. La fonction fait qu’on créé automatiquement un débat l’un après l’autre. Sur la forme, je ne suis pas surpris connaissant le personnage”.

    rmcsport.bfmtv.com via fdesouche

  • Niveau des élèves en français : près de 40 % des collégiens de troisième se disent “découragés d’avance” à l’idée de lire un texte d’une page

    Publié par Guy Jovelin le 30 septembre 2022

    Dans l’évolution du niveau des élèves depuis 2015, il y a des bonnes et des mauvaises nouvelles. Le ministère de l’Education nationale vient de publier deux études réalisées dans le cadre du dispositif « Cedre », qui dresse les acquis des élèves en fin d’école et en fin de collège au regard des objectifs fixés par les programmes scolaires.

    (…)

    Un tiers des collégiens « découragés »

    En éducation prioritaire aussi, les résultats sont en baisse, avec un recul de 8 points depuis 2015 : 30,2 % des élèves y sont en difficulté, contre 16,6 % hors éducation prioritaire. L’étude évoque les effets de la pandémie : les collégiens de l’éducation prioritaire sont ceux qui ont eu le plus de difficultés à travailler entre mars et mai 2020. Le poids de l’origine sociale se confirme aussi sur les résultats des performances des élèves dans les établissements les plus et les moins favorisés.

    Au total, environ un tiers des collégiens de fin de troisième se déclarent « rapidement découragés ou démunis de stratégies » face à la lecture. A la question « quand on me demande de lire un texte d’une page, je suis découragé(e) d’avance », 37,5 % des élèves se déclarent « plutôt d’accord » ou « tout à fait d’accord ». Et plus d’un tiers des collégiens (31,3 %) se sentent en difficulté quand ils doivent justifier une réponse.

    Les Echos via fdesouche

  • L’oligarchie veut nous dicter comment prendre notre douche et utiliser nos toilettes

    Publié par Guy Jovelin le 30 septembre 2022

    Auteur : 

    Après nous avoir expliqué pendant deux ans qu’il fallait porter un masque, ne plus avoir de contact physique avec nos propres familles, après nous avoir expliqué à combien nous avions le droit de nous réunir à Noël et nous avoir dressé la liste de ce que nous avions le droit d’acheter ou pas au supermarché, l’oligarchie et ses sous-fifres de l’administration (avec la collaboration active des concessionnaires en tous genres) nous expliquent désormais comment prendre nos douches, quoi faire de nos WC, quoi installer comme matériel sur nos canalisations, et ce que nous avons le droit de faire ou pas avec l’eau qui coule de nos robinets.
    Mais ces mesures « climatiques » sont là pour éviter des pénuries (et sauver le monde), tout comme les mesures « sanitaires » étaient là pour désengorger les hôpitaux (et sauver le monde).
    Qu’ils aillent bien au diable.
    (C’est d’ailleurs ce qui est prévu)

    (Lu sur le canal Telegram Covid-1984)

     

    Source : medias-presse.info

  • Russie-Ukraine : Les résultats des quatre référendums

    Publié par Guy Jovelin le 30 septembre 2022

    Auteur : 

    Après cinq jours de vote, les référendums en Ukraine ont pris fin mardi 27 septembre. L’agence de presse russe Interfax a annoncé le détail, région par région :

    • région de Donetsk : 99,23% en faveur du oui (2 131 207 votants, soit 97,51 % des inscrits sur les listes électorales)
    • région de Louhansk : 98,42% en faveur du oui (1 662 607 votants, soit 94,15% des inscrits sur les listes électorales)
    • région de Zaporijjia : 93,11% en faveur du oui (541 093 votants, soit 85% des inscrits sur les listes électorales)
    • région de Kherson : 87,05% en faveur du oui (571 001 votants, soit 78,86% des inscrits sur les listes électorales)

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • L’annonce de la Russie : demain l’annexion des territoires ukrainiens

    Publié par Guy Jovelin le 30 septembre 2022

    Auteur : 

    Le président russe Vladimir Poutine a décidé : demain, à 14 heures, heure française, l’annexion à la Russie des territoires ukrainiens occupés sera officialisée, après les quatre référendums. Cela a été annoncé par le porte-parole du Kremlin lui-même, Dmitry Peskov. Comme l’a rapporté l’agence de presse russe Ria Novosti, Peskov a déclaré aux journalistes que la signature de l’annexion aura lieu lors d’une cérémonie au Kremlin, dans la salle Saint-Georges, avec un discours de Poutine lui-même. Un format que le porte-parole du président a lui-même défini comme « différent » de ce qui était attendu : c’est-à-dire le message du président à l’Assemblée fédérale.

    En marge de la cérémonie – du moins selon le programme qui commence à être connu des agences russes – Poutine rencontrera les chefs des républiques populaires autoproclamées de Donetsk et Louhansk, et les dirigeants des nouvelles réalités de Kherson et Zaporijzhia. Dans ce geste formel Vladimir Poutine concrétise sa gestion du conflit et la raison de ce conflit, la protection des russophones et des russophiles bombardés par Kiev.

    L’Union européenne a déjà été particulièrement claire sur ce point. « Nous n’acceptons pas les référendums farfelus et nous n’accepterons jamais l’annexion des territoires ukrainiens occupés. Nous avons déjà annoncé le nouveau paquet de sanctions en raison de ces référendums », a déclaré la porte-parole de la Commission européenne, Dana Spinant. Et sur cette ligne se trouvent tous les pays membres de l’UE mais aussi ceux de l’Alliance atlantique.

    Si le manque de reconnaissance de la communauté internationale est un élément tenu pour acquis, tant du point de vue politique que de celui du droit international, ce qui importe à l’heure actuelle, c’est l’importance substantielle (et stratégique) de cette annexion fortement souhaitée par Poutine.

    « Sur ce point, explique un analyste, il est important de souligner au moins deux aspects. Le premier est de nature militaire. Étant donné que ces territoires du côté russe ne seront plus officiellement considérés comme ukrainiens ou indépendants, cela signifie que toute attaque contre ces zones sera automatiquement considérée comme une attaque contre la Fédération de Russie. La conséquence la plus directe de ce point est le risque que Poutine puisse justifier une réaction à l’attaque simplement parce que la Russie elle-même serait touchée. La doctrine stratégique de Moscou, et en particulier la doctrine nucléaire, sur ce point sont assez claires et laissent une certaine marge sur la manière d’interpréter ce type d’éventualité. Et il est clair qu’une menace directe à la sécurité de la Fédération (hypothèse prévue par la doctrine) pourrait être une condition suffisante à une nouvelle escalade de nature militaire. Jusqu’à l’hypothèse lointaine, mais encore terriblement actuelle dans la communication, de l’utilisation d’une arme nucléaire.

    « Le deuxième élément à prendre en considération est l’interprétation différente que l’on peut donner à ce nouveau développement de l’invasion, qui est passé de la reconnaissance de l’autonomie des républiques populaires autoproclamées aux référendums d’annexion à la Russie. Le tournant politique, conjugué à la mobilisation partielle des troupes et à la fermeture des frontières pour empêcher la fuite des insoumis, est lu par de nombreux analystes occidentaux comme un signe de faiblesse de Poutine. Ce qui se passe au front ne serait pas du tout bon pour Moscou, et pour cette raison, disent les experts, le chef du Kremlin joue un jeu plus de propagande que de béton, ce qui révèle en fait une nature « conservatrice ». Le front ne peut pas avancer et leLa contre-offensive ukrainienne à Karkhiv aurait essentiellement éliminé les perspectives d’une nouvelle poussée des forces russes vers l’ouest. Même la mobilisation de centaines de milliers d’hommes (Sergei Shoigu, ministre de la Défense, a parlé de 300 000 conscrits mais l’impression est que c’est moins que le chiffre réel) apparaît comme une preuve supplémentaire des pertes subies par les forces russes depuis le début de l’invasion.

    « En revanche, le point de vue du Kremlin apparaît certainement différent : ce que Poutine continue de considérer comme une « opération militaire spéciale » avait et a pour objectif premier la libération du Donbass et d’autres zones qui tendent à se chevaucher avec la « Nouvelle Russie ». L’annexion serait donc le premier signe d’un objectif atteint : quelque chose qui compte tenu du déroulement de la guerre pourrait aussi être le résultat d’une accélération politique pour dire que nous sommes prêts (plus ou moins secrètement) à négocier. »

    « De plus, comme le souligne également le Corriere della Sera, en juin, le président russe lui-même avait réduit les perspectives de l’attaque en déclarant que « le but final était fixé dans la libération du Donbass, dans la défense de ces populations et dans la création des conditions qui garantissent la sécurité de la Russie elle-même ».

    Avec la signature de demain, le premier point de ce « programme » de guerre de Poutine serait atteint et peut-être le second aussi. Sur le troisième, cependant, tout dépendra des négociations avec l’Occident, mais ce conflit prend un nouveau tournant. 

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info