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  • Les confinements ne servent à rien …même l’Oligarchie vous le dit

    Publié par Guy Jovelin le 04 mars 2022

    Auteur : 

    Les confinements n’ont strictement aucune efficacité ; ils n’ont eu aucun effet sur la mortalité liée au Covid-19 ; ils ont eu des conséquences économiques et sociales catastrophiques. Dès lors, il convient de renoncer absolument à des politiques de ce type. Telles sont les conclusions d’une étude réalisée par l’Université John-Hopkins aux Etats-Unis, qui vient d’être publiée sous le titre « A literature review and meta-analysis of the effects of lockdowns on Covid-19 mortality ».[1]

    Cette étude a consisté en une méta-analyse de 24 études scientifiques publiées dans le monde entier, dont l’objet était de chercher à mesurer l’efficacité des mesures habituellement qualifiées de « confinements », prises par les gouvernements d’un très grand nombre de pays depuis 2020, qui recouvrent des règles coercitives d’assignation à résidence, de fermeture de lieux publics et d’activités, et de restriction des déplacements, assorties de lourdes sanctions pénales. L’étude a été réalisée par trois experts reconnus, et co-signée par Steve H. Hanke, professeur d’économie et fondateur et-codirecteur du Johns Hopkins Institute for Applied Economics. La conclusion de cette analyse est que les confinements ont eu, comme l’écrivent les auteurs de l’étude, « peu ou pas d’effet sur la mortalité due au COVID-19 ». Plus précisément, les études révèlent que « les confinements en Europe et aux États-Unis n’ont réduit la mortalité due au COVID-19 que de 0,2 % en moyenne ». Les mandats d’interdiction de sortir du domicile ont également été inefficaces, « ne réduisant la mortalité due au COVID-19 que de 2,9 % en moyenne ».

    Les confinements, notent les auteurs, « ont eu peu ou pas d’effets sur la santé publique », et dans le même temps « ils ont imposé d’énormes coûts économiques et sociaux là où ils ont été adoptés. En conséquence, les politiques de confinement sont infondées et doivent être rejetées en tant qu’instrument de politique en cas de pandémie ».

    Il est à noter que, comme l’observent les auteurs, les résultats de leur méta-analyse sont conformes à ceux de l’Organisation mondiale de la santé, qui avait observé en 2006, s’appuyant sur les leçons de l’épidémie de « grippe espagnole » de 1918, que « les rapports sur la pandémie de grippe de 1918 indiquent que les mesures de distanciation sociale n’ont pas arrêté ni ne semblent réduire considérablement la transmission […] À Edmonton, au Canada, l’isolement et la quarantaine ont été instituées; les réunions publiques ont été interdites; les écoles, les églises, les collèges, les théâtres et autres lieux de rassemblement publics ont été fermés ; et les heures d’ouverture ont été restreintes sans impact évident sur l’épidémie ».[2] De la même manière, les résultats de l’étude apparaissent conformes à la conclusion de l’étude du professeur Douglas Allen de l’Université Simon Fraser (Canada), publiée en 2021 : « Les recherches les plus récentes ont montré que les confinements ont eu, au mieux, un effet marginal sur le nombre de décès dus au Covid-19 ».[3]

    Les auteurs de l’étude de John Hopkins ont cherché à comprendre la raison du contraste entre leurs propres conclusions et celles des études qui concluent, en sens contraire, à une efficacité des confinements et autres mesures de ce type : ils expliquent en particulier cette discordance par le fait que ces dernières études, à l’image de celle de Nadya Johanna (2021)[4] s’appuient dans une large mesure sur des modélisations (modelling studies), c’est-à-dire sur des prédictions informatiques des effets des confinements réalisées à l’aide de logiciels de modélisation de données, qui ne correspondent donc pas à des observations réalisées après coup, basées sur l’observation de la réalité. C’est en partie pour cette raison que, comme le soulignent les auteurs de l’étude, « les confinements n’ont pas eu l’effet promis par les modèles épidémiologiques de l’Imperial College de Londres »,[5] c’est-à-dire ceux du désormais célèbre « prophète de malheur », le scientifique britannique Neil Ferguson, l’homme dont « les prédictions alarmantes […] ont inspiré les choix d’Emmanuel Macron, de Donald Trump ou de Boris Johnson », comme l’écrivait le Nouvel Observateur en avril 2020,[6] et qui fut finalement poussé à la démission pour avoir enfreint les règles du confinement qu’il avait lui-même imposées par ses modélisations.[7]

    La publication de cette étude, qui met à mal le « narratif » officiel de la « guerre sanitaire » menée par Macron et ses semblables contre la « pandémie », est d’autant plus frappante que l’Université John Hopkins a été, depuis le début de cette crise, l’un des épicentres de l’« orthodoxie » covidienne. C’est John Hopkins qui fournit, chaque jour, le décompte « officiel » des morts attribués au COVID à travers le monde. C’est en octobre 2019, on s’en souvient, que l’Université Johns Hopkins, en partenariat avec la Bill and Melinda Gates Foundation et le Forum économique mondial de Davos, organisait « Event 201 », simulation d’une pandémie mondiale – qui s’est avérée une véritable prédiction – dont les participants préconisaient, pour contrer ses effets destructeurs, la mise en place de mesures de surveillance technologique des populations et de contrôle de l’information. C’est enfin l’Université John Hopkins qui a joué un rôle moteur, aux côtés du World Economic Forum et d’autres cénacles, dans la mise en place et la diffusion des nouveaux mots d’ordre idéologiques forgés par l’élite globalisée pour l’après-covid, autour des mots-clés de la Grande réinitialisation[8], de la Quatrième Révolution industrielle,[9] des smarts cities, du développement durable et de la transition énergétique et inclusive, et finalement d’un nouvel ordre mondial. Que peut signifier, dans ce contexte, la publication d’une étude estampillée John Hopkins dénonçant l’inefficacité et les effets pervers des confinements et autres mesures « sanitaires » mis en œuvre à marche forcée depuis 2020 par l’élite globalisée ? Sommes-nous parvenus à un point de basculement ? Entrons-nous dans une nouvelle phase de l’agenda mondialiste ? Il semble trop tôt pour le dire, mais il convient certainement, pour essayer de le comprendre, de suivre attentivement les prochaines décisions et les principaux axes d’offensive de l’Oligarchie.

    P. Dupont

    [1] Jonas Herby, Lars Jonung et Steve H. Hanke, « A literature review and meta-analysis of the effects of lockdowns on Covid-19 mortality », publiée par le Johns Hopkins Institute for Applied Economics, Global Health, and the Study of Business Enterprise, dans la série Studies in Applied Economics, n°200, janvier 2022.

    [2] World Health Organization Writing Group, “Nonpharmaceutical Interventions for Pandemic Influenza, National and Community Measures”, Emerging Infectious Diseases, 2006, vol. 12, n°1, pp. 88-94 (https://doi.org/10.3201/eid1201.051371).

    [3] Douglas Allen, “Covid-19 Lockdown Cost/Benefits: A Critical Assessment of the Literature” International Journal of the Economics of Business, septembre 2021, pp. 1-32 (https://doi.org/10.1080/13571516.2021.1976051).

    [4] Nadya Johanna et alii, “Mass Screening vs Lockdown vs Combination of Both to Control COVID-19: A Systematic Review”, Journal of Public Health Research, 9 (2020 (https://dx.doi.org/10.4081%2Fjphr.2020.2011).

    [5] Neil Ferguson et alii, “Impact of Non-Pharmaceutical Interventions (NPIs) to Reduce COVID- 19 Mortality and Healthcare Demand”, 20 mars 2020.

    [6] « 10 choses à savoir sur Neil Ferguson, l’épidémiologiste que tout le monde écoute face au Covid-19 », L’OBS, 9 avril 2020.

    [7] « Au Royaume-Uni, l’épidémiologiste vedette Neil Ferguson démissionne après avoir enfreint le confinement », Le Monde, 6 mai 2020.

    [8] Voir sur ce sujet, l’enquête intitulée The Great Reset dans les n°486, 487 et 488 de la lettre d’informations Faits & Documents (2020).

    [9] V. l’ouvrage de K. Schwab, Stakeholder Capitalism: A Global Economy That Works for Progress, People and Planet (Wiley, 2021), et K. Schwab, « Quel type de capitalisme souhaitons-nous vraiment ? »Les Echos, 2 décembre 2019.

     

    Source : medias-presse.info

  • L’Ukraine, les Etats-Unis et les laboratoires d’armes biologiques aux frontières russes

    Publié par Guy Jovelin le 04 mars 2022

    La guerre russo-ukrainienne qui a délogé le covid des salles de rédaction plonge ses racines dans de multiples causes complexes mais sans s‘avancer exagérément il est concevable de dire qu’elle est la face visible d’un conflit plus ample qui oppose deux pays, la Russie et les Etats-Unis, tant sur le plan militaire qu’économique, culturel, civilisationnel.

    Accepter le Nouvel Ordre Mondial, post covid-19, qui se dessine sous la houlette des Etats-Unis et du Forum Economique Mondial et dont la pandémie a été un accélérateur, n’est pas une option raisonnable pour Vladimir Poutine et pour l’avenir de la Grande Russie. L’élargissement de l’OTAN à l’Est est un signe de cette puissance américaine qui se traduit en autres par la présence de laboratoires biologiques américains aux portes de la Russie.

    Ces installations basées en Ukraine constitueraient, selon des sources impartiales, un des « casus belli » qui a poussé Poutine à envahir son voisin de l’ouest. Plusieurs fois, le gouvernement russe a insisté sur la dangerosité de ces recherches.

    En avril 2021, lors d’un entretien avec le journal Kommersant, Nikolai Patrushev, le conseiller en chef pour la sécurité du président russe, a déclaré que Moscou avait « de bonnes raisons de croire » que les États-Unis développaient des armes biologiques le long des frontières de la Russie et de la Chine. A la journaliste qui l’interrogeait sur les allégations selon lesquelles la Chine aurait « délibérément causé » la pandémie de coronavirus, il a répondu :

    « Je vous suggère de regarder comment de plus en plus de laboratoires biologiques sous contrôle américain se développent considérablement dans le monde et par une étrange coïncidence, principalement aux frontières russe et chinoise. »

    « Nous et nos partenaires chinois avons des questions. On nous dit qu’il existe des stations sanitaires et épidémiologiques pacifiques près de nos frontières, mais pour une raison quelconque, elles rappellent davantage Fort Detrick dans le Maryland, où les Américains ont travaillé dans le domaine de l’arme biologique pendant des décennies. »

    Il a ajouté que les autorités de ces juridictions n’avaient « aucune idée réelle de ce qui se passe dans leurs murs » et qu’il y avait des épidémies « inhabituelles pour ces régions » dans les zones voisines, bien qu’il n’ait précisé aucune maladie. Il a même été plus loin dans ses accusations. Lorsqu’on lui a demandé directement s’il croyait que les Américains développaient des armes biologiques là-bas, Patrushev a répondu :

    « Nous avons de bonnes raisons de croire que c’est exactement le cas. 

    Le porte-parole du Ministère des Affaires Etrangères russes Maria Zaharova, au cours d’une conférence de presse, tient quasiment les mêmes propos. Un extrait de son allocution est reproduit dans un documentaire de 2018 de la journaliste bulgare Dilyana Gaytandzhieva, longue enquête sur ces laboratoires américains basés dans des Etats voisins de la Russie.

     

    Plus proche de nous dans le temps, le site de l’Ambassade des Etats-Unis en Ukraine décrit sur son site le Programme de réduction des menaces biologiques dont l’Ukraine est partenaire : 

    « Le programme, de réduction des menaces biologiques du département américain de la Défense collabore avec des pays partenaires pour contrer la menace d’épidémies (délibérées, accidentelles ou naturelles) des maladies infectieuses les plus dangereuses au monde ».

    Cependant, observent des internautes, dès le début de l’opération russe en Ukraine, « l’ambassade des États-Unis vient de supprimer tous les documents de son laboratoire Ukraine Bioweapon du site web », documents qui ont pu être archivés et diffusés sur les réseaux sociaux (liens en-dessous de l’article). « Ces laboratoires sont co-dirigés par l’EcoHealth Alliance de Fauci et la rumeur veut que toute l’opération militaire russe en ce moment consiste officieusement à sécuriser et/ou à détruire ces laboratoires et à recueillir des preuves » écrit l’internaute qui les diffuse et qui souligne :

    « Programme de réduction des menaces ? Est-ce pour cette raison que nous n’avons jamais su que nous avions 15 laboratoires d’armes biologiques en Ukraine ? ».

    Laboratoires dont le président Zelensky était au courant, ce qui montre la collusion entre cet homme de Schwab avec l’OTAN. Le président ukrainien nage en eaux troubles.

    Suite au prochain numéro.  

    Francesca de Villasmundo

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  • Le photographe Hugo Comte revisite nos mythologies à l’heure de Black Lives Matter

    Publié par Guy Jovelin le 03 mars 2022

    La galerie Hussenot, à Paris, a présenté une exposition du photographe Hugo Comte qui s’impose en créateur d’images mythologiques saisissantes où s’entrechoquent les références, les époques et les cultures. Ses nouvelles créations, réalisées avec le styliste Ibrahim Kamara, offrent une réinterprétation ultra-contemporaine de nos mythologies (des dieux de l’Antiquité aux chevaliers du Moyen Âge) à l’heure de Black Lives Matter. Célébré jusqu’ici pour ses clichés de mode et de musiciennes comme Dua Lipa, Hugo Comte se dévoile en artiste passionnant.

    Paré de son armure et de sa cotte de maille, un chevalier plante en conquérant sa lame dans un sol cendré. L’impressionnante photographie, réalisée par Hugo Comte pour sa première exposition parisienne à la galerie Hussenot, exprime à elle seule l’ambition plastique et politique de l’artiste. Le cadre, extrêmement maîtrisé, enserre le corps pour mieux imposer sa présence. Les dorures et le métal resplendissent, métamorphosant le combattant en une icône auréolée. […] Délaissant les récits canoniques, le photographe assoie un nouveau “Testament” (titre évocateur de son exposition) très personnel, nourri d’une pensée éveillée aux enjeux contemporains. Car son chevalier est une femme. Et cette femme est noire.

    Sur une autre photographie (toutes sont évidemment au format majestueux de la peinture d’histoire), les déesses et dieux drapés de blanc y sont également noirs. Jésus lui-même apparaît ailleurs en femme noire. Les fictions d’Hugo Comte pallient une Histoire défaillante, imaginant des univers parallèles ou multivers où les femmes et l’hommes noirs seraient les héros de nos mythologies communes. Cette part de l’exposition, réinventant l’iconographie et les mythes occidentaux à l’ère de Black Lives Matter, emprunte un procédé narratif bien connu des fans de séries et de comics : le “What if… ?” ou “Que se serait-il passé si… ?” […]

    numero.com via fdesouche

  • La CEDH débouteLa CEDH déboute un binational tuniso-danois déchu de sa nationalité danoise pour avoir rejoint l’Etat islamique

    Publié par Guy Jovelin le 03 mars 2022

    La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a débouté ce jeudi 3 mars un binational tuniso-danois déchu de sa nationalité danoise pour avoir rallié le groupe État islamique (EI), jugeant «légitime pour les États contractants» de la Convention européenne des droits de l’homme, de faire preuve de «fermeté face au terrorisme».

    Né en 1990 d’un père Danois et d’une mère tunisienne, le requérant possédait les deux nationalités, indique la Cour basée à Strasbourg. Il avait été arrêté en 2016 après la diffusion par Interpol aux renseignements danois d’une liste «d’individus soupçonnés d’avoir été recrutés par l’organisation terroriste ‘État islamique’», sur laquelle figurait son nom, poursuit la juridiction paneuropéenne. Il s’était notamment rendu en Syrie en septembre 2013, avant de revenir au Danemark en février 2014.

    Jugé, il avait été condamné en première instance et en appel à quatre ans de prison pour «avoir accepté d’être recruté et entraîné» par le groupe EI dans le but de «commettre des actes de terrorisme», rappelle la CEDH. Celle-ci précise que les tribunaux n’avaient alors pas décidé de le déchoir de sa nationalité danoise. Mais en 2018, contrairement aux deux premières juridictions, la Cour suprême danoise considéra qu’il «devait être déchu de la nationalité danoise et expulsé» du Danemark «avec interdiction définitive de retour», poursuit la Cour européenne. La Cour suprême considérait que ces mesures n’étaient «pas disproportionnées» puisque le requérant avait des attaches en Tunisie, pays où sa mère et ses frères et sœurs vivaient.

    Sa conjointe, une Danoise convertie à l’islam, et leur fils, scolarisé dans une école islamique au Danemark, n’étaient pas «entièrement rétifs à l’accompagner en Tunisie», relate encore la Cour paneuropéenne, qui a donc donné raison à la plus haute juridiction danoise.  […]

    Le Figaro via fdesouche

  • Des milliers de « migrants » ont pris d’assaut hier et ce matin l’enclave espagnole de Melilla (video)

    Publié par Guy Jovelin le 03 mars 2022

    2 500 migrants ont tenté de franchir la frontière hier, 500 ont réussi. Ce matin, 1 500 migrants ont de nouveau tenté de passer, 350 ont réussi.

    Colonne de migrants en marche vers Melilla, et l’Europe :

     

    Source : contre-info