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  • La Fédération internationale féline interdit les chats russes de toutes ses compétitions

    Publié par Guy Jovelin le 03 mars 2022

    La Fédération Internationale féline bannit les chats russes de ses expositions. Après les artistes, les sportifs, les oligarques russes, au tour des animaux de se retrouver ostracisés ? Plusieurs médias rapportent que la Fédération Internationale féline (Fife) a décidé d’exclure les chats d’origine russe des différents événements où ils sont censés participer. «Le conseil d’administration de la FIFe estime qu’il ne peut pas simplement être témoin de ces atrocités et ne rien faire», écrit l’organisation dans son communiqué. «Les chats russes sont interdits» figuraient parmi les recherches les plus consultées sur le réseau social Weibo mercredi.

    Libération via fdesouche

  • Paris XIXe : évacuation d’un campement de 300 migrants installé dans un tunnel

    Publié par Guy Jovelin le 03 mars 2022

    Plusieurs centaines de migrants – hommes, femmes et enfants – ont été évacués jeudi 3 mars, au petit matin, d’un campement de tentes installées dans un tunnel à Paris, près du Pré-Saint-Gervais (Seine-Saint-Denis), pour être conduits vers des centres d’hébergement, a constaté une journaliste de l’AFP.

    «Environ 300 personnes, dont des familles et des mineurs isolés, étaient installées là depuis le 14 février», a estimé sur place un responsable parisien de l’association Utopia56 qui apportait son aide à ces migrants, Pierre Mathurin.

    Les migrants, qui se tenaient prêts à partir dès 5H00 du matin, ont été séparés en différents groupes – femmes et enfants, mineurs isolés, hommes seuls – pour être conduits vers des centres d’hébergement différents, à bord de plusieurs autocars. La presse a été tenue à l’écart de l’opération d’évacuation menée par la police. «Des dizaines d’hommes seuls afghans qui dormaient à Pantin sont venus dans l’espoir de prendre part» au transfert jeudi matin vers des logements, a constaté Pierre Mathurin, redoutant que le dispositif d’accueil prévu ne soit sous dimensionné avec le «risque que des gens restent sur place».

    Le Figaro via fdesouche

  • La Russie ébranle « l’ordre mondial » occidental

    Publié par Guy Jovelin le 03 mars 2022

    La lecture au premier degré présentée par les médias mainstream dit que « l’Ukraine se défend contre une invasion russe ». Cette explication est servie par les élites dirigeantes américaines et européennes à leur opinion publique sous forme de matraquage continu. Tout l’arsenal de la propagande est déployé : exagération, amalgames, montages de photos et de vidéos, victimisation des uns et diabolisation des autres. Pour s’assurer que cette seule version arrivera aux populations occidentales, les pays soi-disant démocratiques ont procédé à une vaste censure des avis contraires pour étouffer toute voix discordante au mépris de la liberté d’expression et de la diversité des sources ; des valeurs au nom desquelles l’Occident a mené des guerres et assujetti des peuples. Mais lorsque ces valeurs ne servent plus ses intérêts, ce même Occident les piétine sans état d’âme.

    Une guerre de l’OTAN contre la Russie

    Ce qui se passe en ce moment n’est pas une « invasion de l’Ukraine » par la Russie mais une guerre de l’OTAN contre ce pays.

    Moscou a choisi de passer à l’action avant que l’étau ne se referme sur ses frontières. Avant d’en arriver là, elle a essayé par tous les moyens de se faire accepter comme État souverain et indépendant par ses « partenaires » occidentaux, selon le terme utilisé par les dirigeants russes. Mais les Occidentaux ne veulent pas des partenaires. Ils exigent des vassaux, des « alliés » prêts à abandonner une partie ou toute leur souveraineté, pour être acceptés dans le club des « grands » en tant qu’acteur subalterne, simple exécutant des rôles et des fonctions attribués dans un monde aménagé autour des intérêts des États-Unis.

    Or la Russie, comme la Chine, l’Iran et d’autres pays, refuse ce rôle. Elle exige que ses intérêts soient pris en considération par la puissance hégémonique et parmi ces intérêts figure, en premier lieu, sa sécurité et son intégrité territoriale.

    Il est inconcevable qu’un pays souverain accepte un dispositif militaire hostile à ses frontières. L’élargissement de l’OTAN vers l’Est, malgré les promesses contraires faites à la Russie dans la foulée du démantèlement de l’Union soviétique, n’ont pas été respectées.

    Le processus d’encerclement de la Russie s’est accéléré ces deux dernières décennies avec la complicité des Européens bien que la Russie a exprimé à maintes occasions une volonté d’établir une dynamique de coopération sincère bénéfique à tous. Mais Washington et ses alliés ont fait la sourde oreille à ces propositions.

    Objectif de la Russie : un monde multipolaire

    La réaction de la Russie au processus d’encerclement était inévitable et prévisible. En ignorant les craintes et les mises en garde de Moscou, les élites dirigeantes occidentales ont pris consciemment le risque de replonger l’Europe et le monde dans une nouvelle Guerre froide et de placer l’humanité au seuil d’une troisième guerre mondiale.

    La Russie a décidé de passer à l’attaque pour se défendre avant qu’il ne soit trop tard. Elle s’attaque avant tout à un « ordre mondial » imposé par l’Occident.

    Son objectif déclaré est de permettre l’aménagement d’un ordre mondial multipolaire, débarrassé de l’hégémonie des États-Unis, responsables de 70% des conflits qui ont éclaté depuis la Seconde Guerre mondiale, comme l’a montré un communiqué publié par l’ambassade de Chine à Moscou.

    L’acte fondateur de ce nouvel ordre, basé sur des relations équilibrées et une coopération bénéfique pour tous, a été énoncé dans un communiqué conjoint publié par les présidents russes et chinois après leur sommet, le 4 février dernier.

    Sur un plan strictement militaire, le but de la Russie n’est pas d’occuper l’Ukraine mais de convaincre ce pays d’accepter un statut de neutralité pour mettre en échec son encerclement par l’OTAN.

    À ce stade de l’opération militaire, l’armée russe n’utilise pas toute sa puissance de feu, évite d’entrer dans les grandes villes ukrainiennes – se contentant de les encercler – et de provoquer d’importantes destructions des infrastructures civiles.

    L’Occident, lui, cherche à entraîner les Russes dans une longue guerre d’usure pour tenter de rééditer le scénario afghan qui a accéléré la chute de l’Union soviétique.

    Dans ce conflit, Américains et Européens ont oublié leurs petits désaccords et font front commun contre la Russie, n’hésitant pas à fournir armes, matériel, hommes et argent pour que les Ukrainiens se battent à leur place. Ce n’est pas grave si le peuple ukrainien sert de chair à canon pour maintenir l’hégémonie occidentale sur le monde.

    La Russie non plus n’est pas seule. D’importants pays, comme la Chine et l’Iran, la soutiennent, ou refusent de la condamner, comme l’Inde, le Brésil et la plupart des pays africains et asiatiques. Car la Russie aussi se bat pour tous les autres afin de les débarrasser de l’hégémonie américaine.

    source : Infos Alahed

  • Guerre en Ukrainienne : et si l’objectif de Poutine était d’empêcher le Nouvel Ordre Mondial de Davos ?

    Publié par Guy Jovelin le 03 mars 2022

    En pleine crise russo-ukrainienne, qui n’est autre que la partie émergée d’un plus vaste conflit, celui qui oppose la Russie à l’OTAN et à son vassal l’Union Européenne, deux visions du monde, celle ultra-progressiste promue par le camp des Etats-Unis, et celle culturellement plus traditionnelle soutenue par Poutine, des axes de puissances économiques, l’Eurasie d’un côté, les Atlantistes de l’autre, la journaliste Rachel Marsden, qui anime une émission sur Sputnik France, a publié un éditorial paru sur l’autre média russe Russia Today le 28 février dernier, dans lequel elle s’interroge sur le Forum Economique mondial (FEM) et ses implications dans les gouvernements occidentaux. En sous-titre, elle écrit :

    « Beaucoup plus de lumière doit être faite sur l’agenda du Forum économique mondial et ses tireurs de ficelles ».

    Le nombre d’agents du Forum Economique Mondial, appelé communément Davos, implantés dans des postes importants dans les divers gouvernements du monde entier reflète cette volonté de l’élite internationale qui se réunit annuellement à Davos autour de Klaus Schwab d’infiltrer et de diriger les politiques nationales. Pour bâtir ce Nouvel Ordre Mondial. Rachel Marsden énumère, dans son éditorial, les preuves de cette collusion entre les politiques au pouvoir et le FEM, collusion que Schwab lui-même a vanté devant un auditoire de la John F. Kennedy School of Government de l’Université Harvard :

    « Ce dont nous sommes très fiers, c’est de la jeune génération, comme le premier ministre Trudeau… Nous pénétrons dans les cabinets. »

    Trudeau dont l’actuelle ministre des Finances et vice-première ministre canadienne, Chrystia Freeland, siège au conseil d’administration du FEM, aux côtés de l’ancien gouverneur de la Banque du Canada et de la Banque d’Angleterre, Mark Carney. Cette même Freeland qui n’a pas hésité à geler les avoirs des camionneurs canadiens participant au Freedom Convoy.

    Le choix de Rachel Marsden de traiter le sujet de l’infiltration des gouvernements par des agents du FEM n’est pas anodin ou indifférent à la guerre d’invasion diront certains, de libération diront d’autres, qui se déroule en Ukraine. L’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial qui serait encore et toujours dominé par le camp progressiste en est une des causes, un NOM auquel s’oppose la Russie de Poutine tant pour des raisons de sécurité militaire, de puissance économique, de bipolarité mondiale que de détestation de la non-civilisation arc-en-ciel promue par les Atlantistes.

    Les Etats-Unis ont avoué que cette guerre pourrait être déterminante pour la gouvernance d’un nouvel ordre mondial. Jeudi dernier, le porte-parole du département d’État, Ned Price, a déclaré :

    « La Russie et la République Populaire de Chine veulent aussi un ordre mondial. Mais c’est un ordre qui est et serait profondément illibéral. … C’est un ordre qui est, à bien des égards, destructeur plutôt qu’additif ».

    Or, en déclarant que la Russie et la Chine « veulent également un ordre mondial », Price admettait tacitement que les États-Unis et d’autres nations occidentales veulent avoir leur propre « ordre mondial ». Ses propos laissent entendre que ce que nous voyons est une bataille pour savoir qui dirigera finalement « l’ordre mondial ».

    Price a en outre utilisé le terme « profondément illibéral » pour décrire un « ordre mondial » dirigé par la Russie et la Chine, et cela suggère qu’un « ordre mondial » dirigé par les États-Unis et d’autres nations occidentales serait « libéral ».

    Si vous recherchez sur Google l’expression « ordre mondial libéral », vous constaterez qu’elle est utilisée par les élitistes depuis de nombreuses années. Mais ce mot « libéral » est trompeur car si dans pratiquement tous les pays occidentaux aujourd’hui, même les partis politiques censés être « conservateurs » sont extrêmement libéraux sur le plan moral, la crise du covid a été une démonstration éclatante qu’ils tendent vers un contrôle social et absolu de leurs citoyens, par l’instauration de mesures extrêmement liberticides, le tout étant un avant-goût d’un totalitarisme étatique digne du communisme passé. Faut-il rappeler qu’un des slogans de Davos est :

    « Vous ne possèderez rien mais vous serez heureux » !

    Et faut-il rappeler aussi que les gouvernements qui ont instauré la pire tyrannie sanitaire covidienne ont à leur tête des créatures de Schwab, ces Young Global Leader, politiciens aux dents longues et mondialistes assumés ?

    Les Etats-Unis le savent bien : la guerre en Ukraine a pour fondement non point la maîtrise absolue d’un Nouvel Ordre Mondial par la Russie, comme ils veulent le faire croire au monde, mais par l’arrêt de l’expansion de l’OTAN à l’Est, aux frontières russes, de cet OTAN qui est le fer de lance de l’impérialisme états-unien sur le monde, et de l’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial dont il serait le maitre, la fin d’ « mondialisme ‘occidento-centré’ » autour des Etats-Unis.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info