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ukraine - Page 10

  • “Je demande un audit de chaque centime qui a été envoyé à l’Ukraine”

    Publié par Guy de Laferrière le 22 novembre 2022

    novembre 21, 2022

    “Je demande un audit de chaque centime qui a été envoyé à l’Ukraine.”

    Marjorie Taylor Greene monte, elle aussi, au créneau.

     

  • L’Italie arrête les livraisons d’armes à l’Ukraine

    Publié par Guy de Laferrière le 12 novembre 2022

     

    Rome gèle le décret de la livraison des armes à l’Ukraine. 

    « Il n’y a actuellement aucun nouveau décret à l’étude pour envoyer des armes à l’Ukraine », souligne le quotidien italien Il Messaggero citant un message du Palazzo Chigi [bureau de la Première ministre italienne) et du ministère italien de la Défense.

    « Malgré les rumeurs de ces derniers jours, déclenchées par la demande pressante du président Volodymyr Zelensky pour de nouveaux systèmes de défense aérienne pour lever une barrière contre les bombardements russes de Kiev et d’autres villes ukrainiennes, Rome gèle les nouveaux approvisionnements », continue le média italien : « L’opération d’armement en Ukraine est en stand-by, assurent plusieurs sources gouvernementales ».

    Le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kouleba a demandé au ministère des Affaires étrangères Antonio Tajani « des systèmes de défense aérienne », mais la livraison des missiles antiaériens sol-air sophistiqués SAMP-T et très coûteux et l’Italie dispose de peu de batteries de missiles de ce type. Et, s’il en livrait quelques-uns à Kiev, elle risquerait de perdre son système de défense. D’où quelques perplexités, fait savoir Il Messaggero.

    Le ministère italien de la Défense met le doigt sur un deuxième problème : le nouveau décret serait le sixième depuis le début de l’invasion russe de l’Ukraine en février. Et, Rome n’a pas encore livré tous les armements assignés à Kiev avec les quatrième et cinquième arrêtés interministériels. « Il faut donc terminer le travail, avant d’en affronter un nouveau… », racontent-ils à la Défense.

    Le gouvernement italien clame vouloir définir le calendrier et les armes à destination de l’Ukraine avec les alliés de l’OTAN.

     
  • Quand une journaliste évoque les frappes ukrainiennes sur les hôpitaux, censure en direct sur BFM TV

    Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2022

    Quand une journaliste évoque les frappes ukrainiennes sur les hôpitaux, censure en direct sur BFM TV.

    Quand Anne-Laure Banse, la reporter de BFM à Kherson, explique que les Ukrainiens bombardent Kherson, les hôpitaux et la ville, 3 secondes plus tard, antenne coupée: « Ah, on a perdu Anne-Laure ! ».

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1582650582350721028

     

  • Ukraine : Les États-Unis nous entraînent dans le piège de Thucydide

    Publié par Guy Jovelin le 17 octobre 2022

    Président de l’association Ouest-Est, Nikola Mirkovic est l’auteur de « L’Amérique Empire ». Invité de TVL, il insiste sur le fait que, dans la guerre russo-ukrainienne ou vis à vis de la Chine, les États-Unis entraînent toute l’Europe dans le piège de Thucydide, c’est à dire un moment où une puissance dominante entre en guerre avec une puissance émergente en raison de la peur suscitée par sa montée en puissance. Comment en est-on arrivé là ? Nikola Mirkovic apporte d’importants éléments de réponse.

    Il évoque le déroulement des midterms et les enjeux des prochaines élections de mi-mandat aux États-Unis. Nikola Mirkovic indique que le contexte d’embrasement général va peser lourdement sur ce scrutin qui renouvelle la Chambre des représentants et plus d’un tiers du Sénat.

     

    source : YouTube/TV Libertés via Soleil Verseau

  • « Les frappes russes n’étaient qu’une gifle et un avertissement », affirme un expert militaire iranien

    Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2022

    La Russie a voulu adressé un signal à Kiev et à ses soutiens à travers les frappes qui ont touché l’Ukraine ce 10 octobre, affirme à Sputnik l’expert militaire iranien Mohammed Hasan Sangtarash.
    Les frappes russes ayant touché plusieurs villes d’Ukraine ce 10 octobre doivent être vues comme un coup de semonce à destination de Kiev et de l’Occident, a déclaré à Sputnik Mohammed Hasan Sangtarash, expert militaire iranien.
    Selon lui, la Russie est loin d’avoir déchaîné tout son potentiel dans ces actions et serait capable de toucher des cibles beaucoup plus nombreuses et plus importantes.
     
    « Il s’agissait de frappes militaires plutôt retenues, loin d’être les plus puissantes que la Russie soit capable de mener, compte tenu de son potentiel militaire […]. Ces frappes ne sont qu’une gifle et un avertissement pour le Service de sécurité d’Ukraine (SBU) et l’Occident », explique-t-il ainsi.
    Pour le spécialiste militaire, Kiev doit désormais tirer les conséquences de ces événements et venir s’asseoir à la table des négociations, comme le propose Moscou. Inutile de compter « sur le soutien de l’Occident ou des mercenaires terroristes », souligne Mohammed Hasan Sangtarash, c’est via un dialogue « direct et sans tiers » que le conflit pourra prendre fin.
    Fin septembre, Vladimir Poutine avait déjà entrouvert la porte à des pourparlers, appelant Kiev à mettre fin aux hostilités.

    D’autres frappes similaires?

    Le constat de Mohammed Hasan Sangtarash est également partagé par Alexandre Bartoch, de l’Académie des sciences militaires de Russie. L’expert estime que le conflit a désormais débordé les frontières de l’Ukraine et ressemble de plus en plus à une « guerre de procuration » de l’Occident contre la Russie, confie-t-il à Sputnik Afrique.
    Si des actes de sabotage et de terrorisme se poursuivent, la Russie devra peut-être de nouveau recourir à ce type de frappes ciblées pour mettre le holà.
     
    « Le but ultime de cette guerre est l’affaiblissement, la destruction et l’effondrement de la Russie. Par conséquent, l’Occident ne s’arrêtera pas à ce qui a déjà été effectué […]. Nous devons nous préparer au fait que nous devrons recourir à de telles actions à l’avenir », explique ainsi Alexandre Bartoch.
    Les frappes ayant touché l’Ukraine ce 10 octobre avaient en effet été décidées en réponse à la destruction partielle le 8 octobre du pont de Crimée, reliant la péninsule à la Russie. Moscou a en particulier touché des infrastructures énergétiques et de télécommunication.