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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1284

  • Le gouvernement israélien très satisfait des services du CRIF…

    Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2021

    Le vice-premier ministre israélien et ministre des Affaires étrangères, Yaïr Lapid, a reçu la semaine dernière une délégation du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF).

    « Heureux de ma rencontre avec le CRIF. Une organisation importante qui représente les juifs de France, combat l’antisémitisme et contribue à renforcer les liens entre la France et Israël. Nous continuerons à agir ensemble afin de renforcer les liens entre la diaspora et Israël », a tweeté le vice-premier ministre israélien. Le gouvernement hébreu est visiblement très satisfait des services du CRIF.

    L’ambassade de France en Israël et le Consul Général de France à Jérusalem ont naturellement déroulé le tapis rouge pour accueillir cette délégation du CRIF reçue comme une mission diplomatique.

    On notera pourtant que plusieurs médias communautaires amenés à faire écho de cette visite se sont montrés très critiques à l’égard du CRIF qualifié de « controversé »  par Le Monde Juif. « Depuis plusieurs années le CRIF est contesté au sein de la communauté juive. De nombreuses voix juives (…) accusent l’organisation de confisquer la voix des Juifs à des fins politiques pour ses propres intérêts. », a notamment précisé Le Monde Juif. Ce qui n’a pas l’air de gêner le gouvernement français.

     

    Source : medias-presse.info

  • Vers une monnaie mondiale unique

    Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2021

    http://view.robothumb.com/leblogalupus.com/

    L’évolution vers les monnaies numériques des banques centrales (CBDC) est-elle réelle ? Et, si oui, est-ce la première étape vers une monnaie de réserve mondiale qui remplacera le dollar et l’euro comme monnaies de choix dans les positions de réserve des grandes économies ?
     

    Eh bien, oui et non.

    Avant de développer cette réponse et d’expliquer l’impact que les monnaies numériques des banques centrales auront sur le monde plus familier du change, il est utile d’en dire un peu plus sur ce que sont les monnaies numériques des banques centrales (CBDC).

    Les CBDC ne sont pas des crypto-monnaies. Les CBDC ont une forme numérique, sont enregistrées sur un grand livre (tenu par une banque centrale ou un ministère des finances) et le trafic des messages est crypté. Pourtant, la ressemblance avec les crypto-monnaies s’arrête là.

    Les grands livres de la CBDC n’utilisent pas la blockchain et les CBDC n’adoptent absolument pas le modèle d’émission décentralisée salué par la foule des cryptomonnaies. Les CBDC seront hautement centralisées et étroitement contrôlées par les banques centrales.

    Les CBDC ne sont pas de nouvelles devises. Ce sont les mêmes monnaies que vous connaissez déjà (dollars, yuans, euros, yens, livres sterling) sous une nouvelle forme, utilisant de nouveaux canaux de paiement. Elles constituent une avancée technologique, mais elles ne remplacent pas les monnaies de réserve existantes.

    Les CBDC sont actuellement introduites par les principales banques centrales du monde entier. Les pays en sont à des stades différents de déploiement. La Chine est le pays le plus avancé. Elle dispose d’un prototype fonctionnel de yuan numérique qui sera présenté lors des Jeux olympiques d’hiver de Pékin en février 2022.

    Si vous y êtes et que vous voulez acheter des billets, des repas, des souvenirs ou payer une chambre d’hôtel, vous devrez payer avec le nouveau yuan numérique en utilisant une application pour téléphone portable ou un autre canal de paiement numérique.

    La Banque centrale européenne a également avancé rapidement sur une version CBDC de l’euro. Elle n’en est pas encore au stade du prototype, mais elle a fait des progrès importants et s’en rapproche. Le Japon et les États-Unis sont en queue de peloton.

    La Fed a un projet de recherche et développement en cours avec le MIT pour étudier comment un dollar numérique pourrait s’entrecroiser avec le système de paiement en dollars existant (qui est déjà numérisé, mais sans grand livre de comptes centralisé), voire le remplacer.

    Les États-Unis ne disposeront probablement pas de leur propre CBDC avant plusieurs années, au mieux.

    Donc, oui, l’évolution vers les monnaies numériques des banques centrales est réelle. Quel est le lien avec ce que l’on appelle parfois la grande réinitialisation ? Il s’agit du mouvement vers une monnaie de réserve mondiale unique.

    Ce mouvement serait nominalement dirigé par le Fonds monétaire international, qui agirait comme une sorte de banque centrale mondiale. Toutefois, le FMI ne peut pas prendre de décisions de cette ampleur sans l’approbation des États-Unis. (Les États-Unis ont juste assez de pouvoir de vote au FMI pour opposer leur veto à toute décision importante qu’ils n’aiment pas).

    L’approbation des États-Unis nécessiterait à son tour un consensus mondial entre les principales économies, notamment la Chine, le Royaume-Uni, l’Allemagne, la France, l’Italie et d’autres membres du G7 et du G20.

    Cette volonté de créer une véritable monnaie mondiale impliquerait la création d’un droit de tirage spécial (DTS) numérique. Les DTS sont émis par le FMI aux nations membres et peuvent être émis à d’autres institutions multilatérales telles que les Nations Unies.

    En fait, le FMI dispose d’une presse à imprimer aussi puissante que celles de la Fed et de la BCE et peut inonder le monde de sa monnaie mondiale. Le remplacement du dollar impliquerait une réunion et un accord similaires à l’accord original de Bretton Woods de 1944. Cet accord pourrait prendre de nombreuses formes. Néanmoins, le processus serait conforme à ce que beaucoup appellent le Grand Reset.

    Ce processus est en cours depuis 1969, date à laquelle le DTS a été créé. Plusieurs émissions de DTS ont été distribuées entre 1970 et 1981, puis aucune n’a été émise jusqu’en 2009, à la suite de la crise financière mondiale de 2008. Une nouvelle émission a été distribuée au début de cette année.

    Les élites mondiales considèrent la pandémie de COVID et l’alarme climatique comme un cheval de Troie à deux têtes qui peut être utilisé pour imposer les DTS à une population mondiale qui s’est soudainement habituée à suivre les ordres du gouvernement.

    La récente réunion COP26 de l’élite des alarmistes climatiques et des chefs d’État à Glasgow a mis en évidence l’utilisation des banquiers centraux et de la réglementation financière pour faire avancer le programme alarmiste en supprimant les services de prêt et de souscription aux entreprises énergétiques qui ne font pas la promotion des énergies renouvelables ou qui poursuivent l’exploration pétrolière et gazière .

    Donc, oui, la tendance vers une monnaie mondiale unique est réelle aussi.

    Cependant, les choses ne se passent pas si vite dans les cercles élitistes. Même Bretton Woods a mis plus de deux ans à être conçu et cinq autres années à être mis en œuvre, même sous la contrainte de la Seconde Guerre mondiale. Le passage de la livre sterling au dollar américain comme principale monnaie de réserve a pris trente ans, de 1914 à 1944. Comme on dit, c’est compliqué.

    À un certain niveau, il n’y a pas de changement immédiat. Un dollar CBDC reste un dollar. Un euro CBDC reste un euro. En l’absence d’un nouveau régime de taux de change fixe de type Bretton Woods, ces monnaies continueraient à fluctuer les unes par rapport aux autres. Nos analyses se poursuivraient comme avant.

    Néanmoins, trois changements majeurs pourraient résulter du grand reset.

    La première est qu’un nouveau régime monétaire mondial serait l’occasion de dévaluer toutes les grandes monnaies afin de favoriser l’inflation et de voler la richesse des épargnants. Toutes les monnaies ne peuvent pas être dévaluées par rapport à toutes les autres monnaies en même temps ; c’est une impossibilité mathématique.

    Pourtant, toutes les monnaies pourraient être dévaluées simultanément par rapport à l’or. Cela pourrait facilement faire grimper le prix de l’or à 5 000 dollars l’once ou beaucoup plus pour atteindre l’inflation souhaitée. L’EUR/USD pourrait rester autour de 1,16 $, mais l’EUR et l’USD vaudraient beaucoup moins lorsqu’ils seraient mesurés en poids d’or. Il s’agirait d’une version accélérée de ce qui s’est produit par étapes entre 1925 et 1933, entre 1971 et 1980, et à nouveau entre 1999 et 2011.

    Le deuxième changement serait que les CBDC permettent d’imposer beaucoup plus facilement des taux d’intérêt négatifs, des confiscations et des gels de comptes à certains ou à tous les titulaires de comptes. Cela peut être utilisé à de simples fins politiques ou comme un outil de l’État de surveillance totale. La surveillance des comportements incorrects tels que définis par le Parti communiste est le véritable moteur du yuan numérique, plus que toute aspiration à un rôle de monnaie de réserve du yuan.

    Le troisième changement serait l’émission généralisée de DTS et leur adoption comme seule monnaie de réserve mondiale. Un nouveau Bretton Woods pourrait obliger les pays à détenir 100 % de leurs réserves en DTS, et les grandes entreprises pourraient être contraintes de tenir leurs comptes en DTS. Cela pourrait conduire à un régime de taux de change fixes avec une parité basée non pas sur l’or mais sur les DTS.

    Tous ces changements sont en cours. Il reste à voir s’ils se dérouleront sur des années ou sur quelques mois seulement. Les résultats exacts sont incertains. Ce qui est certain, c’est que je suivrai de près l’évolution de la situation et que je vous garderai en tête de la courbe du pouvoir alors que les élites poursuivent leur poussée vers la monnaie numérique, la monnaie mondiale et la fin de l’argent liquide.

    Traduction du Daily Reckoning par Aube Digitale

    « Il n’est pas une idée née d’un esprit humain qui n’ait fait couler du sang sur la terre. » — Charles Maurras, La Dentelle du Rempart (1886-1936)

  • Yvelines : Des “taxis-parloirs”, financés par la préfecture et la RATP, permettent aux mamans de rendre visite plus facilement à leurs enfants emprisonnés

    Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2021

    Pour aller voir leur fils en prison, certaines mères de familles franciliennes doivent souvent faire des heures de trajet pour quelques minutes de parloir. Face à une desserte en transports en commun qui laisse à désirer, l’association Tendre la Main 78 se bat pour que les familles ne soient plus les dommages collatéraux de l’incarcération. Basée aux Mureaux, la structure propose depuis 2014 des taxi-parloirs pour accompagner les familles de détenus jusqu’aux établissements pénitentiaires.

    Financée par la Préfecture des Yvelines et la Fondation RATP, l’association qui compte quatre services civiques et une vingtaine de bénévoles, dessert les maisons d’arrêt de Bois d’Arcy, de Fleury-Mérogis ou encore le Centre de détention de Val-de-Reuil. « Quand on voit toutes ces mamans qui sont pour la plupart mères au foyer, qui n’ont jamais travaillé, prendre des trains, des bus et marcher des kilomètres pour voir leurs enfants, on les croirait poussées par une force surnaturelle », lâche Oumar Ba (NDR : le fondateur de l’association), qui peine à convaincre les politiques et la société de transports publics Kéolis d’améliorer l’accessibilité des établissements pénitentiaires

    Dans le taxi-parloir devenu déversoir des confidences, Touima raconte en arabe  qu’elle vient ici trois fois par semaine depuis trois ans, que son fils est en détention provisoire et qu’il sera jugé « pour le décès de sa compagne après une dispute conjugale ». Pour préparer la défense, toute la famille s’est déjà cotisée pour payer les 12 500 euros de frais d’avocat. « Nos vies ont basculé en quelques secondes. Mais je continuerai à aller le voir jusqu’à la fin. C’est normal, je suis sa mère », lâche Touima. Fatima renchérit : « Les hommes ne veulent pas se casser la tête, et puis, ils ne les ont pas portés. Pour nous, les mères, c’est viscéral. Quoi qu’ils aient fait, on ne les abandonnera jamais ».

    Le Bondy-Blog via fdesouche

  • Cannes : des policiers attaqués au couteau dans leur voiture, l’assaillant, un Algérien de 37 ans, a agi « au nom du Prophète », il a été neutralisé par balle et a été hospitalisé (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2021

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    L’assaillant entre la vie et la mort

    Les faits ont eu lieu ce lundi peu après 6h35, indiquent plusieurs sources policières au Figaro. Un individu armé d’un couteau s’est dirigé vers un véhicule de police secours, stationné devant le commissariat de Cannes, dans lequel se trouvaient quatre policiers s’apprêtant à prendre leur service. Après avoir prétexté une demande de renseignement, l’individu a ouvert la porte arrière gauche et porté trois coups de couteau à un policier au niveau du thorax. Ce dernier a été sauvé par son gilet pare-balles.

    L’individu a ensuite fait le tour du véhicule puis tenté de poignarder la chef de bord (la passagère avant droit). Mais l’assaillant a «raté son coup» et la fonctionnaire n’a été touchée qu’au niveau de son blouson. L’individu a ensuite été neutralisé par trois tirs de deux policiers, dont deux balles dans le dos. Grièvement blessé – actuellement entre la vie et la mort -, il a tenu des propos au nom du prophète à plusieurs reprises avant d’être neutralisé, nous précise-t-on.

    Selon nos informations, l’assaillant – Lakhdar B. -, est un Algérien né en 1984 qui a un titre de séjour italien. Il est arrivé en Europe en 2009-2010 avec un passeport algérien, a détaillé Gérald Darmanin. Cet homme serait ensuite arrivé légalement en France en janvier 2016 avant de s’installer en Italie, où il a obtenu plusieurs titres de séjour successifs. Il avait fait une demande de titre de séjour en France le 22 octobre 2021 mais était néanmoins en règle sur le territoire national.

    Domicilié à Cannes, cet homme est inconnu des services de police et de justice : il n’est pas fiché et n’a pas de casier judiciaire. La piste terroriste est à l’étude, indique une source proche du dossier au Figaro. Le parquet national antiterroriste (PNAT) n’a toutefois pour l’heure pas ouvert d’enquête et la police judiciaire de Nice est saisie des faits.

    Le ministre de l’Intérieur retrace le parcours de l’assaillant

    Interrogé par la presse aux alentours de 11h30, Gérald Darmanin a confirmé qu’il s’agissait d’un “ressortissant qui a un passeport algérien, qui est régulièrement sur le territoire nationalDepuis plusieurs semaines, il avait demandé une carte de résident en Francela préfecture ne la lui avait pas octroyée, elle lui a donné un récépissé pour pouvoir étudier sa demande.”

    BFMTV / Le Figaro

  • Plusieurs centaines de clandestins marchent vers la frontière du Bélarus avec l’UE, la Pologne se prépare pour la « plus grande tentative d’invasion illégale » de ces derniers mois

    Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2021

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    Plusieurs centaines de migrants marchent marchent vers la frontière du Bélarus avec l’UE. Il semble que la situation pourrait dégénérer vite. Le ministère de l’intérieur polonais : « La police et l’armée déployées » à la frontière avec le Bélarus.

    Checkpoint Bruzgi (Biélorussie) – Kuznica (Pologne) : une foule énorme s’approche de la frontière, accompagnée par des gardes et forces spéciales armées du régime de Loukachenko.

    La forêt près de la frontière avec la Pologne à Bruzgi : des tentes et des centaines de gens désespérés, utilisés par Loukachenko et jetés ensuite à la frontière européenne.

    Près du checkpoint, plusieurs centaines de migrants restent toujours de côté du Bélarus. Opération complètement instrumentalisée et organisée par le régime, qui se dit « au courant » de la situation.

    Les gardes-frontière bélarusse armés repoussent les migrants vers la forêt. De l’autre côté, la Pologne se prépare pour la « plus grande tentative d’invasion illégale » depuis des mois.

    Source