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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1474

  • Perpignan : un clandestin tunisien sous OQTF et qui multiplie les délits sort libre du tribunal après deux vices de procédures

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2021

    Fiche OQTF : Obligation de quitter le territoire français

    Wassim, un ressortissant tunisien de 28 ans, vit clandestinement en France depuis bien des années. Sans ressources, sans domicile, il multiplie les délits et refuse de présenter à la police aux frontières pour effectuer une procédure d’identification. Au point qu’il est finalement estimé qu’il constitue une menace pour l’ordre public. Il est donc décidé de le placer en rétention administrative dans les Pyrénées-Orientales. Suivant la procédure, un juge des libertés et des détentions doit prolonger sa rétention pendant que son son départ vers la Tunisie est organisé. Il s’oppose évidemment à la requête d’expulsion en exhibant une attestation d’hébergement à Troyes, ville où il prétend suivre une formation. Il avait pourtant expliqué durant son audition qu’il vivait dans la rue.

    Wassim est bien entendu assisté d’un avocat, Me Chninif qui se concentre plutôt sur la procédure. Et ce dernier constate que la requête de la préfecture du Rhône qui saisi le juge n’est pas signée. Elle est donc irrecevable. Une seconde requête est alors envoyée. L’avocat vérifie l’heure de réception de cette dernière et constate qu’elle a été envoyée quelques minutes après les 48 h fixées par la loi pour saisir le juge. Elle est donc hors délai.

    Du coup, le juge ne peut que la déclarer irrecevable et ordonner la libération de l’intéressé.

    Il n’en demeure pas moins qu’il est toujours sous le coup d’une obligation de quitter le territoire avec interdiction de retour. La prochaine fois qu’il se fera contrôler, tout recommencera.

    L’Indépendant via fdesouche

  • Soupçons de conflits d’intérêt visant Dupond-Moretti : perquisition au ministère de la Justice

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2021

    Une perquisition est en cours place Vendôme ce jeudi matin dans le cadre d’une enquête ouverte sur des soupçons de prise illégale d’intérêt concernant le garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti.

    La situation est exceptionnelle : des juges sont en train de perquisitionner au ministère de la Justice. Selon nos informations, les trois magistrats de la Cour de justice de la République (CJR) qui instruisent l’enquête sur des soupçons de prise illégale d’intérêt concernant Eric Dupond-Moretti, le ministre de la Justice, mènent depuis ce jeudi matin 9 heures une perquisition dans les locaux du ministère, place Vendôme.

    La seule juridiction à même de mener une enquête pour des infractions commises par un ministre en exercice avait lancé des investigations après les signalements et plaintes de trois syndicats de magistrats et de l’association Anticor, qui suspectent le ministre de la Justice d’avoir eu une influence sur des dossiers qu’il a eus à traiter en tant qu’avocat. Par cette perquisition, les juges épaulés des gendarmes de la section de recherches de Paris, espèrent trouver des documents permettant de confirmer ces soupçons.

    […]

    Le Parisienvia fdesouche
  • La buraliste d’Albi qui avait refusé de servir des femmes voilées, blanchie en appel par la justice : venues retirer des paquets, il était impossible de vérifier leurs identités (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet  2021

    fdesouche

    Francois 01/07/2021 à 12h40

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    Sur le fond, les arguments de Marie P. n’ont pas varié d’une audience à l’autre. Si elle avait refusé de servir ces personnes, c’est uniquement parce qu’on ne distinguait pas leur visage. Avec « impossibilité de vérifier leur identité ».

    Comme en 2018, le parquet avait requis à son encontre 3 mois de prison avec sursis et 3000 euros d’amende.

    C’est la relaxe qui a été prononcée. De nombreuses associations s’étaient portées partie civile dans cette affaire (Licra, Mrap, CCIF…).

    (…) Actu.fr

    28/06/2018

    Finalement, Marie Pinier, la buraliste albigeoise qui avait refusé de servir des femmes voilées écope seulement d’une amende de 1 000 euros. Elle devra également verser 800 euros de dommages et intérêts pour préjudice moral à chacune des victimes qu’elle avait refusé de servir ainsi qu’au MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples) et à la LICRA (Ligue Internationale Contre le Racisme et l’Antisémitisme), parties civiles dans cette affaire. Le tribunal correctionnel d’Albi l’a reconnue coupable de discrimination religieuse ce jeudi. Ses avocats ont aussitôt fait appel car selon eux, c’est le principe-même de la culpabilité qui pose problème.

    L’affaire avait fait grand bruit en avril dernier : la commerçante avait refusé de délivrer un colis à une femme voilée, au prétexte que cette dernière refusait de retirer son voile pour qu’elle vérifie son identité. La personne voilée avait alors déposé une plainte pour discrimination.
    (…)

    France 3 Occitanie


    24/06/2018

    https://twitter.com/FrDesouche/status/999694097546907650


    Une Albigeoise vêtue d’un jibeb n’a pas pu retirer un colis dans un bureau de tabac. Elle a porté plainte pour discrimination religieuse. La gérante de l’établissement argue que les clients doivent se découvrir pour «motifs de sécurité».

     

    (…)

    Rien n’y fait. Un autre client retire finalement le colis à sa place, après un quart d’heure de palabres. Mais Anaïs R. ne compte pas en rester là. Elle porte plainte dans la foulée pour «discrimination en raison de la religion et refus d’un bien ou d’un service dans un lieu accueillant du public ou pour en interdire l’accès». Avec le soutien du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), elle prend un avocat. Le Licra et le Mrap se sont portés parties civiles.

  • Des militants de Greta Thunberg se tirent une balle dans le pied.

    Publié par Guy Jovelin le 01 jullet 2021

    Le mouvement initié par  devient raisonnable. Au terme d’une prise de tête sans précédent, la section néo-zélandaise a décidé de se saborder.

    Le résultat de l’introspection fut implacable : ils étaient racistes. Infréquentables. Dignes de finir dans les poubelles de l’. L’autodissolution s’imposait.

    balle dans le pied,changement climatique,greta thunbergPartant du constat selon lequel « les communautés du BIPOC (personnes de couleur) sont affectées de manière disproportionnée par le changement climatique, donc la lutte pour la  climatique devrait être menée par leurs voix et leurs besoins », la présence de Blancs à la tête de l’organisation devenait intenable. Que faisaient-ils là ? Révolté par la situation, un responsable s’est -empoigné par le col de sa veste et s’est jeté dehors.

    À la suite de cette décision, deux camions d’excuses furent livrés à qui de droit. « Pour la blessure, l’épuisement et le traumatisme. » Et le supplément gratuit offert par la maison : « Pour le traumatisme supplémentaire causé par notre lenteur à assumer nos responsabilités. » Non content de se suicider, le groupe estime qu’il ne l’a pas fait assez vite. Du bobo haut de gamme ! Sur ce modèle, Jean-Luc Mélenchon pourrait un jour s’auto-enfariner. Promptement. Dès le petit déjeuner. Une deuxième couche à midi pour réaffirmer sa honte d’être blanc. Le tout sur recommandation de .

    Selon l’angle de vue, le sens de cette autodissolution peut être compris à l’envers. Que dire de militants qui détruisent leur mouvement au prétexte qu’ils s’estiment moins concernés par le problème ? Exprimé trivialement, la démarche peut s’énoncer comme suit : « Que les Noirs se démerdent avec leurs problèmes de réchauffement. » L’ poussé jusqu’à l’hystérie aboutit au résultat inverse de celui qu’il s’était fixé. L’arrêt du combat. À terme, Greta au point mort. Trop ceci, pas assez cela. Disparition. L’écolo réchauffiste est soluble dans sa propre idéologie.

    L’opposant se voit ainsi dispensé de toute argumentation. Économie d’énergie, utilisation des pulsions naturelles de l’adversaire… La planète sera sauvée.

     

    Jany Leroy

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Le « Oui » de l’Assemblée Nationale aux folies de la loi bio-éthique

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2021

    D’éthique, la nouvelle loi bio-éthique votée hier, mardi 30 juin, à l’Assemblée Nationale n’a que le nom !

    En fin d’après-midi, les députés français ont définitivement approuvé à 326 voix, contre 115 et 42 abstentions, le projet de loi de bioéthique et sa mesure phare, l’ouverture de la PMA aux duos de femmes inverties et aux femmes célibataires. Le secrétaire d’État en charge de l’enfance et des familles auprès du ministre des Solidarités et de la Santé, Adrien Taquet, a raison de parler d’« un moment d’histoire », avec ce texte la France bascule dans la non-civilisation de la non-filiation et dans la déconstruction légalisée de l’identité. La France sous l’ère Macron bascule en « ce moment d’histoire » dans la barbarie de l’idéologie du genre.  

    Le texte étend donc la PMA aux couples lesbiens et aux femmes célibataires, mais aussi la recherche sur les cellules souches embryonnaires et la production d’embryons chimères. Avant l’adoption de cette loi, « seuls » les couples hétérosexuels (mariés, en union civile ou en concubinage) ayant des problèmes de fertilité constatés par un médecin ou ceux dont l’un des membres du couple était porteur d’une maladie grave qui pourrait être transmise à leur bébé pouvaient utiliser la PMA. Les femmes lesbiennes et célibataires, jusqu’à 43 ans, pourront désormais effectuer une PMA en France, avec les mêmes droits que les couples hétérosexuels. Chaque patiente devra avoir plusieurs entretiens avec un médecin ou une équipe médicale spécialisée en fertilité et, après un délai de réflexion d’un à deux mois, elle devra confirmer sa demande par écrit au médecin. Quatre tentatives de FIV et six inséminations artificielles sont intégralement remboursées par la Sécurité sociale (l’insémination artificielle coûte en moyenne 950 euros, tandis qu’une tentative de fécondation in vitro entre 3 000 et 4 000 euros). Si les deux membres du couple ont un problème d’infertilité, ou s’il existe un risque de maladie génétique pour l’enfant, ou dans le cas d’un couple lesbien stérile ou d’une femme célibataire, le transfert d’embryon peut être utilisé après décision d’un juge. Il s’agit essentiellement d’un feu vert pour la maternité de substitution.

    En plus de la PMA pour les femmes célibataires et lesbiennes, un autre changement majeur dans la loi de bioéthique concerne la suppression de l’anonymat pour les donneurs de sperme et d’ovules. L’article 3 donne à toute personne conçue par procréation médicalement assistée avec un tiers donneur le droit d’avoir accès à l’identité de ce donneur lorsqu’elle atteint l’âge de la majorité, mais en aucun cas une filiation ne peut être établie avec le donneur. L’enfant sera légalement orphelin de père pour toujours. Mais pas seulement ! Cela implique que les donneuses de gamètes devront désormais accepter que leur identité soit un jour révélée au bébé et se prononcer en faveur de l’auto-conservation des gamètes pour les futures grossesses. Quant à la parentalité des couples lesbiens, pour la femme qui a accouché, sa filiation sera établie dans l’acte de naissance ; pour sa partenaire, la relation familiale sera formalisée par une reconnaissance conjointe devant notaire. Dans l’acte de naissance complet de l’enfant, il sera donc écrit que « les deux mères ont reconnu l’enfant à cette date devant notaire ».

    La recherche sur l’embryon humain, y compris la production de chimères, peut désormais se faire jusqu’à 14 jours, contre les 7 jours précédents. Les protocoles de recherche menés sur les cellules souches embryonnaires feront l’objet d’un simple accusé de réception par l’Agence de la Biomédecine avant leur mise en œuvre (et non d’une autorisation). Sous prétexte de renouveler le régime juridique, la loi libéralise la recherche sur les cellules souches embryonnaires humaines, la création de gamètes artificiels, les copies d’embryons humains (articles 14 et 15), les embryons chimériques, les embryons transgéniques (article 17).

    Ce vote a eu lieu après plusieurs allers-retours entre l’Assemblée et le Sénat qui avait rejeté le texte en juin, après quatre ans à compter du dépôt du projet de loi par le Gouvernement le 24 juillet 2017. Les textes d’application de la loi ont déjà été préparés pour que « les premiers enfants puissent être conçus avant la fin 2021 », a indiqué le ministre de la Santé Olivier Véran, qui a salué dans les heures précédant le vote final « un texte mesuré qui correspond aux attentes de la société française ».

    Dans un communiqué, la Fondation Lejeune qui s’est battue contre cet projet de loi a précisé : « avec cette loi tout devient désormais possible », tout ce qu’il y a de plus insensé et de plus anti-naturel, anti-humain. Il n’y a plus de limite au pire, à la GPA, à l’utérus artificiel et autres folies des apprentis-sorciers qui se prennent pour Dieu.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info