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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1892

  • Marseille : le ras le bol des pilotes d’hélicoptères du Samu visés par des lasers

    Publié par Guy Jovelin le 18 août 2020

    Par  le 18/08/2020

    Voilà des mois que le scénario se répète. Des mois qu’alors qu’ils font leur devoir, les pilotes et assistants de vol des hélicoptères du Samu sont assaillis dans leur mission quotidienne par des faisceaux laser de couleur verte ou bleue qui les pointent dans les airs. Toujours en phase de décollage ou d’atterrissage. Avec des risques majeurs. Celui de causer un crash de leur aéronef, celui aussi de brûler la rétine de l’oeil de ces professionnels.

    […] »Tous les étés, c’est la même chose, fulmine Damien Fournier, 23 ans, assistant de vol sur l’hélicoptère du Samu. Dès qu’on vole la nuit, on est bombardés ! » Avec son pilote Joël Lecru, ils voudraient que les choses changent, qu’une prise de conscience émerge, que la police prenne la chose au sérieux, car un jour, à les écouter, c’est le pire qui va se produire.

    Pour l’heure, leur appel n’a été relayé par personne et aucun dispositif de sécurité publique n’a été pris pour protéger ces soldats des airs qui mettent chaque jour leur vie en danger pour sauver celles de leurs semblables. […] À les entendre, les auteurs de ces faisceaux dégaineraient leurs viles armes anonymes un peu partout au-dessus de Marseille, avec une prédominance pour les quartiers Nord, mais aussi le port. […]

    La Provence via fdesouche

  • Excommunications, anathèmes, soupçons de malversations… rien ne va plus au CRAN

    Publié par Guy Jovelin le 18 août 2020

    Par  le 18/08/2020

    Les accusations fusent, les insultes volent… La guerre est déclarée entre le nouveau président du Conseil représentatif des Associations noires de France, Ghyslain Vedeux, et son prédécesseur, Louis-Georges Tin,. Des différends qui portent sur la ligne politique du mouvement, mais aussi sur l’usage présumé frauduleux de ses ressources.

    Une guerre fratricide, où toutes les attaques ad personam sont permises. Ghyslain Vedeux accuse ainsi Louis-Georges Tin de « penser que le Cran lui appartient »… pendant que Louis-Georges Tin annonce qu’un comité des sages et une assemblée générale, tenue le 22 janvier 2020, ont exclu Vedeux du Cran en raison de «son engagement sur une liste municipale lors des dernières élections».

    En version non-censurée : le premier accuse le second «d’être devenu mégalomane, de s’être proclamé Premier ministre de l’Etat de la Diaspora africaine et de s’être servi dans les caisses du Cran pour financer cette entreprise comme si c’était sa cassette personnelle»… Pendant que le second accuse le premier «de chercher à propulser sa carrière politique en se servant du Cran et, depuis son exclusion, d’usurper son titre et de pirater le site et les réseaux sociaux du Cran pour lancer ses accusations diffamatoires». Bref, d’excommunications en anathèmes, rien ne va plus dans l’association communautaire noire. […]

    Nouvel Obs via fdesouche

  • Anticor pointe le manque de transparence de Jean-Luc Moudenc

    Publié par Guy Jovelin le 18 août 2020

    Jean-Luc Moudenc Anticor

    Jean-Luc Moudenc élu maire, lors du premier conseil municipal de la mandature, le 3 juillet 2020 à la salle des Illustres. © Mairie de Toulouse

    L’association de lutte contre la corruption, Anticor, a saisi le 31 juillet dernier la Haute autorité pour la transparence de la Vie publique (HATVP) au sujet d’omissions dans la déclaration d’intérêts du maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc. 

    « La transparence est une vertu démocratique… et une obligation légale », rappelle Anticor, une association de lutte contre la corruption, agrée par la Haute autorité de la transparence de la Vie publique (HATVP). Dans un article publié sur leur site, lundi 17 août, l’organisme affirme avoir saisit la HATVP au sujet d’omissions dans la déclaration d’intérêts de Jean-Luc Moudenc, le 31 juillet dernier. 

    Depuis la loi du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique, les maires de communes de plus de 20.000 habitants doivent adresser à la HATVP une déclaration de situation patrimoniale et une déclaration d’intérêts. Toute modification substantielle intervenue au cours de leurs mandats, doit être signalé dans un délai d’un mois. 

    Maire et… contrôleur financier au sein d’un ministère

    C’est sur ce dernier point que le maire de Toulouse est visé. « Le 16 mars 2018, lors d’une interview pour France Info, il a affirmé avoir repris son activité de contrôleur financier au sein du ministère des Finances en parallèle de son mandat de maire », rappelle Anticor. Toulouse étant une ville de plus de 471.000 habitants, son édile ne bénéficiait que d’un mois seulement, à compter de la reprise de son activité de contrôleur des finances, pour rectifier sa déclaration d’intérêts. 

    Lire aussi : Jean-Luc Moudenc réélu président de Toulouse Métropole

    Une modification omise par l’élu, selon l’organisme de lutte contre la corruption. « Aucune rectification de sa situation ne semble avoir été effectuée pour indiquer la reprise de ses fonctions à Bercy depuis la fin de son mandat de député en 2014 », indique-t-il. 

    De nombreux mandats en parallèle

    Anticor souligne également les nombreux mandats assurés par Jean-Luc Moudenc depuis 2014. Président de l’Association des maires des grandes villes de France en 2014, président de France Urbaine en 2015, président de la commission de commune « Politique de la ville et cohésion sociale » de France Urbaine, de l’Association des maires de France et l’Association des maires de France Ville & Banlieue… « Aucune indication relative à ces nombreux mandats de président d’associations » ne figurerait dans sa déclaration d’intérêts « à la date de notre saisine », précise l’organisme. 

    Jean-Luc Moudenc devrait se faire rappeler à l’ordre par la Haute autorité, saisit du dossier. Omettre une partie substantielle de ses intérêts peut entraîner une peine de trois ans d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende. 

    Anticor rappelle que la déclaration d’intérêts permet « d’identifier les liens d’intérêts et les activités d’un responsable public ». Un moyen « d’instaurer de l’éthique dans la vie publique », complète-t-il. Ces déclarations sont accessibles à chaque citoyen. 

     

    Source : infos-toulouse

  • Liban, la douleur des chrétiens : « Nous sommes en train de disparaitre »

    Publié par Guy Jovelin le 18 août 2020

    Après l’explosion de Beyrouth, la vie dans ce Liban dévasté et livré au chaos se conjugue avec « survivre », tout particulièrement pour les chrétiens libanais.

    Interrogé par le quotidien italien Il Giornale, Mgr Matthias Charles Mrad, vicaire de l’exarque patriarcal de Beyrouth des Syriens catholiques, analyse la délicate situation des catholiques, certainement la communauté la plus touchée, et la plus en danger de disparaître.

    « Votre Eminence, quelle est la situation actuelle au Liban après l’explosion ?

    La situation au Liban semble désormais calme. Certes plus calme que les heures et les jours qui ont suivi immédiatement l’explosion, mais ce que vit le pays est dramatique. La crise économique et politique est terrible et un mélange explosif s’est concentré sur le Liban : d’abord les manifestations, puis le coronavirus, aujourd’hui Beyrouth dévastée. Une crise qui affecte le Liban à l’intérieur, son peuple, qui doit être reconstruit avant même les décombres. L’Etat a désormais échoué, la politique est absente et la population est seule et déchirée : la reconstruction doit être initiée par les hommes.

    Comment la communauté chrétienne a-t-elle été affectée par cette explosion ?

    Les chrétiens de Beyrouth sont parmi les plus touchés par ce qui s’est passé au port. Toutes les zones voisines étaient habitées par des chrétiens et étaient les quartiers avec une plus forte présence de citoyens de religion chrétienne. Maintenant, les églises sont détruites, les maisons dans de nombreux cas ont été emportées par l’onde de choc. Un dommage énorme auquel s’en ajoute un autre très dangereux : les musulmans les plus riches achètent les maisons détruites car ils sont les seuls à avoir encore de l’argent pour les reconstruire. Et ceux qui ont tout perdu sont contraints de vendre leur maison et de partir. Avec le temps, ces quartiers risquent de ne plus avoir de chrétiens. Et pour cette raison, l’Église demande à l’Etat d’intervenir pour éviter ce processus qui peut provoquer une diaspora : les chrétiens disparaissent.

    Quel rôle les chrétiens du Liban peuvent-ils jouer aujourd’hui ?

    Ils peuvent jouer un rôle très important. Les chrétiens veulent vivre, comme le peuple libanais veut vivre. Les écoles et hôpitaux chrétiens sont fondamentaux pour la société libanaise et sont utilisés par des citoyens de toutes les religions. Mais aujourd’hui, les jeunes qui veulent un meilleur Liban, y compris de nombreux chrétiens, pensent qu’il vaut mieux partir. Il y a beaucoup de jeunes qui émigrent et les partis chrétiens ne représentent plus les sentiments de ce segment de la population. Ils sont des partis liés à d’autres États, très souvent en affaires avec des pays en guerre les uns avec les autres. Et ils portent également cette guerre au sein de leur communauté.

    En ce sens, la communauté internationale peut être utile …

    Bien sûr, mais cela dépend de chaque pays. A présent, la population est tellement fatiguée qu’elle compte sur l’extérieur : l’Arabie saoudite, l’Iran, mais aussi les pays européens. Quand Emmanuel Macron est arrivé à Beyrouth après l’incident du port, les gens demandaient aux Français de retourner au Liban et de reprendre le pays pour le relancer. Je dis ceci pour montrer comment les gens se sentent maintenant privés d’espoir à l’intérieur du Liban.

    Si tel est le cas, comment le Liban peut-il renaître ?

    Certainement il faudra beaucoup de temps et de patience. Le déclin du Liban et sa destruction de l’intérieur ont commencé il y a longtemps et une élection ou une courte période ne suffiront certainement pas à changer les choses. Cela prendra des années, car des années ont effectivement servi à saper le pays. Malheureusement, la classe politique a échoué, elle ne se soucie pas de l’avenir du Liban et les manifestations en un an n’ont rien changé. Cela prend du temps, je le répète, mais il faut commencer par l’homme : c’est de là que commence la reconstruction. » (Traduction de F. de Villasmundo)

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Dictature sanitaire en Italie : menace de séquestration d’enfants par l’Etat

    Publié par Guy Jovelin le 18 août 2020

    Il n’y a pas qu’en Allemagne où, sous couvert de lutter contre la propagation du coronavirus, l’Etat menace de retirer les enfants de leur famille.

    En Italie, le directeur de l’école polyvalente Dante Alighieri, allant du primaire au collège, de Lumezzane Pieve dans la région de Brescia, a décrété des mesures « à la coréenne » :

    « En cas de fièvre d’un enfant à l’école, appelez les carabiniers et confiez-le non pas à ses parents, mais à l’autorité sanitaire. »

    Si la mesure a entraîné une levée de bouclier de la part de nombreux parents et a pu ainsi être annulée, le directeur s’est défendu en affirmant l’avoir également vu appliquée dans d’autres établissements.

    Voici ce qui a été publié sur le site Internet de l’école le 6 août et modifié seulement le mercredi 12, une semaine plus tard. Au point sept, dans les informations sur la reprise des cours après la pause estivale et le confinement, on peut lire :

    « En présence de symptômes respiratoires ou de température corporelle supérieure à 37,5 ° C pendant les heures de classe, une procédure rigide est déclenchée pour les élèves qui comporte les étapes suivantes :

    – l’élève doit être immédiatement équipé d’un masque chirurgical;

    – sera placé en isolement dans la salle Covid;

    – l’enseignant doit appeler immédiatement le 112 ou le 1500;

    -les parents ne pourront en aucun cas retirer leur enfant de l’école, qui sera confié à l’autorité sanitaire.

    Par conséquent, à la lumière du protocole strict, les parents sont vivement encouragés à appliquer scrupuleusement les recommandations mentionnées au point précédent. »

    « Isolement dans une pièce couverte, alerter les carabiniers, confier l’enfant en garde à l’AST local et empêcher les parents d’entrer. Peut-être même à Sparte, ils n’étaient pas aussi drastiques » ironise un journaliste du quotidien La Nuova Bussola Quotidianna qui révèle cette information.

    Ce n’est qu’une semaine après, suite aux protestations des familles, que l’école a dû réécrire les informations comme suit :

    « En cas d’apparition de symptômes évocateurs d’un diagnostic d’infection par le SRAS-CoV-2 à l’école, la personne concernée doit être immédiatement isolé et équipé d’un masque chirurgical, et il faudra prévoir un retour le plus rapidement possible au domicile, puis suivre le parcours déjà prévu par la loi en vigueur pour la prise en charge de tout cas suspect. »

    Si la séquestration d’enfants par les services sanitaires est écartée, cette affaire confirme cependant qu’en Italie, tout comme en Allemagne et bien d’autres Etats occidentaux, se développe une mentalité, digne de l’idéologie marxiste,  qui considère que l’Etat est le « maître » des enfants, qu’il en a le contrôle physique et mental, que l’enfant est « propriété » de l’Etat. La crise du coronavirus rime avec dictature tout court !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info