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  • Le confinement, une occasion de faire passer des lois liberticides

    Publié par Guy Jovelin le 07 mai 2020

    Si le gouvernement du président Micron aura montré toute son incapacité et sa légèreté à gérer la crise du coronavirus, entre volte-face incessants, contradictions permanentes, flou tenace malgré les discours fleuves, inconsistants et ennuyeux au possible du Premier ministre Edouard Philippe, il est en revanche ingénieux pour instaurer un état de droit dictatorial. 

    Car outre le confinement strict  à cause de l’incompétence de ceux qui nous gouvernent, qui aura privé les Français de nombre de leurs libertés fondamentales dont la pratique du culte public catholique, le vote des lois liberticides dans un parlement à moitié vide pour cause de crise du coronavirus est prévu au programme du 13 mai 2020 par Macron and Co.

    La proposition de loi Avia contre la haine en ligne qui avait été déposée le 20 mars 2019 à l’Assemblée nationale passe en lecture définitive à l’Assemblée nationale la semaine prochaine. Le texte sera donc adopté en pleine pandémie du Covid-19. Et selon Cédric O, Secrétaire d’Etat chargé du numérique les décrets vont être pris très rapidement. Lors de sa longue audition devant la commission des affaires culturelles, il avait précisé qu’« il s’agit maintenant de faire en sorte de prendre les décrets d’application au plus vite pour que cette loi s’applique ». 

    En résumé le texte  modifie le régime de responsabilité des plateformes, autrefois soumise au seul régime de l’hébergeur. Afin de les contraindre à retirer non plus « promptement » mais en 24 heures une liste de contenus jugés « haineux » par certains internautes.

    Outre le problème réel de la pornographie sur internet accessible aux mineurs mais qui pouvait être réglé depuis bien longtemps sans attenter à la liberté d’expression, la loi s’attaque avant tout aux propos « haineux » dans une optique tout-à-fait subjective et déterminée par le politiquement correct. Car sera jugé « haineux » ce que les média et le pouvoir en place jugent ainsi. Sont visés par la loi Avia les contenus (tweets, vidéos, images, etc) contenant des propos qui pourraient être considérés :

    « une provocation à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou identité de genre ou de leur handicap ou ayant provoqué, à l’égard des mêmes personnes, aux discriminations prévues par les articles 225-2 et 432-7 du Code pénal ; une contestation de l’existence des crimes contre l’humanité, négation, minoration ou banalisation des crimes de génocides, des crimes de réduction en esclavage ou des crimes de guerre ; une injure commise par les mêmes moyens envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ; une Injure commise dans les mêmes conditions envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou identité de genre ou de leur handicap ; et du harcèlement sexuel. »

    Dès le signalement, la plateforme aura 24 h pour mener l’enquête et supprimer le contenu s’il est susceptible d’être considéré, selon la doxa ambiante un propos “haineux” , et ce sous peine d’une lourde amende de 250 000 euros par oubli. Ainsi critiquer les politiques d’immigration risque de ne plus être possible car n’importe quel immigré pourra se sentir discriminé et attaqué !

    Il va s’en dire que censurer sera la solution de facilité que les géants du net tels Twitter, Facebook, YouTube, appliqueront sans hésiter afin d’éviter une amende. De toute façon la censure ne leur fait pas peur, ils la pratiquent déjà allègrement sans la loi Avia, car de tolérance ils n’en ont que pour la pensée unique. La loi Avia va tout simplement leur donner un cadre légal pour sur-censurer.

    L’espace de liberté ouvert par Internet pour l’expression d’une pensée divergente au politiquement, sexuellement, climatiquement corrects et résistante aux oukases de l’intelligentsia mondialiste et des officines arc-en-ciel se réduit comme peau de chagrin… 

    La République en Marche c’est la dictature en marche…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Un nouveau clip de rap tourné en prison en toute impunité

    Publié par Guy Jovelin le 06 mai 2020

    Par  le 06/05/2020

    clip de rap,impunité,prison

    Un « Clip sauvage tourné et enregistré en prison« , voila comment l’auteur désigne sa vidéo sur la plateforme Youtube.

    Le rappeur détenu surnommé Pasko se filme en toute impunité à l’intérieur d’une prison française. Il est encagoulé, exhibant des armes blanches. Ce clip filmé avec un téléphone portable montre également des incidents récents survenus dans les prisons françaises depuis la crise sanitaire.

    On voit notamment l’intervention des ERIS (équipes régionales d’intervention et de sécurité) lors d’un refus de réintégrer des détenus.

  • Nantes : condamné à 4 mois de prison le 24 février, libéré de 6 mars, le délinquant algérien récidive

    Publié par Guy Jovelin le 06 mai 2020

    Par  le 06/05/2020

    […]

    10 mois d’emprisonnement ferme et a été maintenu en détention. Ce garçon de 18 ans avait déjà été condamné le 24 février dernier, à 4 mois de prison ferme et incarcéré pour avoir cambriolé un mois plus tôt « L’Ecureuil », un autre buraliste du quartier. Cet jeune originaire d’Annaba (Algérie) était finalement ressorti dès le 6 mars 2020, et avait donc récidivé trois semaines plus tard.

    Cette peine « sévère » s’explique aussi par le fait qu’il ne s’agit « pas de menus larcins » mais de « cambriolages extrêmement importants« , a justifié la présidente. Le préjudice pour « Les Mathurins » s’élève à 60.000 €.

    […]

    Arrivé en France il y a quelques mois, il avait finalement été interpellé dans la rue fin avril, à l’occasion d’un banal contrôle de son attestation de déplacement dérogatoire

    […]

    Son avocat avait mis en avant son « jeune âge » et son « unique condamnation » pour solliciter, en vain, l’indulgence des juges.

    […]

    L’article dans son intégralité sur L’Hebdo via fdesouche.

  • Le coronavirus, nouvel allié des adeptes de l’instauration d’une religion mondiale

    Publié par Guy Jovelin le 06 mai 2020

    Que la crise du coronavirus fasse avancer à pas de géant l’instauration de ce souhait cher à Jacques Attali, un gouvernement mondial qui caché sous les voiles de l’empathie et de l’altruisme n’en est pas moins dictatorial, il est difficile d’en douter. Si l’idée fondamentale en est posée depuis longtemps, les pandémies décrites comme des facteurs concourant à atteindre ce but, l’avenir nous dira ce qu’il en est quant à sa réalisation pratique dans les court et moyen termes.

    Mais qui s’interroge sur ce gouvernement mondial, songe inévitablement à ce qui est son corollaire, une religion mondiale. Une religion de la Fraternité humaine, altruiste et empathique tout autant que le gouvernement global en puissance, qui se profile décidément ouvertement à l’horizon de cette crise sanitaire, comme si cette dernière lui avait donné une nouvelle énergie pour naître plus rapidement. Après la prière œcuménique du 25 mars dernier organisée sous l’impulsion du pape François, place le 14 mai prochain à la prière inter-religieuse.

    Le Haut Comité pour la Fraternité Humaine, ce nouveau machin créé en septembre 2019 après la signature du Document sur la fraternité humaine signé à Abou Dabi le 4 février 2019 par le pape François et le grand imam Ahmad Al-Ayyeb, en est l’artisan. Dans le langage à saveur maçonnique propre à ces adeptes du Dieu unique des religions, chimère chère au pape François, dans communiqué publié le 2 mai, les membres de ce Haut Comité, qui a pour président Son Éminence Miguel Angel Ayuso Guixot et pour secrétaire général  le Juge Mohamed Abdelsalam ancien conseiller du grand imam, et est sis aux Emirats Arabes Unis, s’adressent aux « croyants en Dieu » et aux « frères en humanité partout dans le monde » : « Notre monde se trouve, aujourd’hui, face à un danger imminent menaçant la vie de millions de personnes dans le monde à cause de la propagation accélérée du nouveau coronavirus (COVID-19) », soulignent-ils avant d’ajouter :  

    « Nous appelons tous les hommes et femmes partout dans le monde à demander à Dieu dans une prière, en observant le jeûne et en L’invoquant – chacun là où il se trouve selon sa religion, sa croyance, ou sa doctrine – de mettre fin à cette pandémie, de nous sauver de ce malheur et d’inspirer aux savants les moyens permettant de découvrir un remède susceptible de réduire à néant cette pandémie. »

    Cet appel a bien entendu reçu le soutien des tenants du village global et du dialogue inter-religieux, deux facettes d’une même médaille, le mondialisme unificateur dans un grand tout sans saveur et sans Dieu véritable mais idolâtre. Sans étonnement, António Guterres, le Secrétaire général de l’ONU approuve l’initiative ainsi que le Patriarche œcuménique de Constantinople, Bartholomée. Mais le parrainage le plus fondamental, qui lui donne une résonance universelle, est celui de l’ambassadeur le plus prestigieux de cette Fraternité humaine, qui n’est autre que le pape François qui se sert de sa haute position pour prêcher cette doctrine hétérodoxe, schématisée dans les dessins obscurs des temples occultes.

    Cet appel à la prière inter-religieuse et les soutiens qu’il recueille au sein des prélats de Notre Temps, ne doit cependant pas étonner outre mesure le catholique conscient de l’apostasie en cours depuis Vatican II au plus haut sommet de l’Eglise conciliaire : tout ceci, aussi scandaleux soit-il, est la suite logique de la réunion inter-religieuse d’Assise de 1986, première pierre à l’édifice de cette Religion mondiale en marche dont le Haut Comité pour la Fraternité Humaine est un des architectes.

    « [L’erreur d’Assise], écrivait un évêque dans le Sel de la Terre 40 (page 183), rejoint le plan maçonnique d’établir un grand temple de fraternité universelle au-dessus des religions et des croyances, « l’unité dans la diversité » si chère au Nouvel Âge et au globalisme mondial. »

    Un grand temple abstrait qui prend forme concrètement sous le pontificat bergoglien. Sous l’égide de ce Haut Comité, dans le désert arabique, à Abu Dhabi, devrait s’élever prochainement la Maison de la famille d’Abraham composée d’une église, d’une synagogue et d’une mosquée, strictement identiques, en forme de cube, reflet visible des objectifs du Document sur la fraternité pour la paix mondiale et la coexistence commune. Dans l’esprit du pape François and Co, ce projet messianique et si humain incarne la relation entre les trois religions abrahamiques et fournit une plateforme pour le dialogue, la compréhension et la coexistence entre leurs religions. Ils rêvent, ces utopistes post-modernes, de bâtir un nouveau Paradis terrestre, de revenir à la pureté originelle des premiers parents, mais sans le Christ, la pierre d’achoppement pour les incrédules  :

    « mais pour les incrédules, la pierre qu’ont rejetée ceux qui bâtissaient, c’est elle qui est devenue une pierre d’angle, une pierre d’achoppement et un rocher de scandale. » (1 Pierre 2.8).

    La crise du coronavirus ne fait qu’apporter une aide inattendue et supplémentaire à la réalisation de cette religion mondiale de la Fraternité Humaine universelle qui a le diable pour père !


     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Un discret décret signale que des enseignants tunisiens vont venir enseigner l’arabe à l’école élémentaire en France

    Publié par Guy Jovelin le 06 mai 2020

    En plein confinement, Emmanuel Macron et son gouvernement ont l’art de faire avancer discrètement certains de leurs projets. Le Journal Officiel de la République Française n°0107 du 2 mai 2020 a publié le Décret n° 2020-498 du 30 avril 2020 portant publication de l’accord entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République tunisienne dans le domaine de l’enseignement de la langue arabe à l’école élémentaire en France, signé à Tunis le 31 mars 2017. (1)

    ACCORD
    ENTRE LE GOUVERNEMENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE ET LE GOUVERNEMENT DE LA RÉPUBLIQUE TUNISIENNE DANS LE DOMAINE DE L’ENSEIGNEMENT DE LA LANGUE ARABE À L’ÉCOLE ÉLÉMENTAIRE EN FRANCE, SIGNÉ À TUNIS LE 31 MARS 2017

    Le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République tunisienne, ci-après dénommés les « Parties »,
    Désireux de resserrer leurs liens d’amitié et d’approfondir leur coopération dans le domaine de l’éducation ;
    Considérant la convention-cadre de coopération entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République tunisienne dans le domaine de l’éducation, signée le 2 décembre 2014 à Tunis, pour le partenariat culturel et le développement entre les deux gouvernements en date du 25 juillet 2003, et en particulier leur volonté de coopérer étroitement en faveur d’une amélioration de la qualité des enseignements ;
    Considérant, pour la France, les objectifs de diversité linguistique dans le premier degré et de continuité dans le second degré portés par la loi n° 2013-595 du 8 juillet 2013 d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République,
    Sont convenus des dispositions suivantes :

    Chapitre IER : Enseignement de langue arabe Article 1er

    Dans les écoles d’enseignement public en France, il peut être organisé, en coopération avec les autorités tunisiennes, et selon les conditions locales, un enseignement complémentaire de langue étrangère se rapportant à la langue arabe.
    Cet enseignement doit être assuré dans le respect des principes généraux de l’Education nationale française et conformément à la législation française en vigueur.

    Article 2

    Cet enseignement facultatif est accessible à tous les élèves volontaires, en accord avec leur famille et dans la limite des places disponibles, de la classe de cours élémentaire première année à la classe de cours moyen deuxième année.

    Article 3

    Cet enseignement est organisé pendant le temps scolaire en complément des enseignements obligatoires prévus pour tous les élèves par les programmes en vigueur, à raison d’une heure et demie (1,5) par semaine.

    Article 4

    Cet enseignement propose un apprentissage de la langue arabe qui fait référence à la culture arabe, notamment à des éléments de la culture tunisienne. Les contenus de cet enseignement sont adossés au Cadre européen commun de référence pour les langues et visent le niveau Al.

    Article 5

    Les résultats obtenus par les élèves dans le cadre de cet enseignement sont pris en compte dans l’appréciation générale de leur travail scolaire et portés à la connaissance des familles.

    Article 6

    Une continuité des apprentissages sera progressivement et selon les conditions locales, assurée au collège. Cette continuité est prise en charge par les professeurs du secondaire de l’Education nationale.

    Chapitre II : Personnel enseignant Article 7

    En fonction des besoins, le Gouvernement de la République tunisienne sélectionne et rémunère les enseignants tunisiens titulaires des cadres du ministère tunisien de l’Education. Ces enseignants disposent des compétences pédagogiques et linguistiques nécessaires à l’enseignement de l’arabe en France.
    La mission de ces enseignants est une mission limitée dont la durée est définie par les Parties. Ces enseignants bénéficient des dispositions mentionnées dans la Convention de sécurité sociale entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République tunisienne signée à Tunis le 26 juin 2003, ainsi que de l’avenant n° 1 à cette convention signé à Tunis le 4 décembre 2003.
    Concernant les enseignants locaux en poste à la date de la signature du présent accord, leur situation peut être examinée par les académies où ils exercent, afin de leur proposer les solutions de contractualisation qui peuvent leur être ouvertes, en fonction des besoins des académies et dans le respect de la réglementation française en vigueur.

    Article 8

    A leur arrivée, les enseignants sélectionnés par la Tunisie font l’objet d’une présentation aux autorités françaises par les voies administratives régulières, conformément à la législation française et au droit de l’Union européenne en vigueur ainsi que dans le respect des engagements internationaux de la France.

    Article 9

    Les enseignants tunisiens présentés par leur Gouvernement sont affectés en accord avec les autorités tunisiennes, mention étant faite des écoles où ils ont à effectuer leur service.

    Article 10

    Les enseignants tunisiens sont intégrés aux équipes pédagogiques après installation par l’inspecteur d’académie-directeur académique des services de l’éducation nationale, avec l’accord de l’ensemble des administrations françaises intéressées. Ils sont soumis aux lois et règlements en vigueur dans les écoles où ils exercent.

    Article 11

    Les corps d’inspection français et tunisien assurent conjointement le contrôle pédagogique des personnels enseignants tunisiens exerçant dans les écoles françaises.
    Par ailleurs, la Partie française facilite, dans la mesure du possible, la participation des enseignants tunisiens aux actions de formation organisées à l’intention du personnel enseignant français, notamment dans le domaine de l’enseignement des langues vivantes étrangères. La Partie tunisienne propose aux enseignants tunisiens des actions de formations relatives à l’enseignement de la langue arabe comme langue étrangère.

    Chapitre III : Dispositions générales Article 12

    Le présent accord abroge l’accord entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République tunisienne concernant la coopération dans le domaine de l’enseignement pour les élèves tunisiens résidant en France, signé à Paris le 12 mars 1986. Cette abrogation ne remet pas en cause les actions en cours sous l’empire de l’accord susmentionné.

    Article 13

    La mise en place de cet enseignement est assurée par les autorités françaises en coopération avec les autorités tunisiennes compétentes.

    Article 14

    Les Parties encouragent la coopération directe en matière d’échanges de documents pédagogiques, de formation du personnel enseignant et toute action concourant à l’amélioration de la qualité des enseignements dans le respect de la législation française et le droit de l’Union en vigueur.

    Article 15

    Pour assurer la bonne application de cet accord, un groupe de travail franco-tunisien est créé. Il a pour mission d’examiner les questions relatives :

    – à l’application générale de l’accord ;
    – à la mise en œuvre de la coopération pédagogique ;
    – aux conditions d’organisation des enseignements et à la préparation des rentrées scolaires ;
    – à la mise en œuvre du contrôle pédagogique conjoint mentionné à l’article 11 du présent accord.

    Il se réunit à Paris en tant que de besoin et au moins une fois par an pour préparer la rentrée scolaire.

    Article 16

    Tout différend relatif à l’interprétation ou à la mise en œuvre du présent accord est réglé par voie de consultation ou de négociation directe entre les Parties.

    Article 17

    Chacune des Parties notifie à l’autre l’accomplissement des procédures constitutionnelles requises en ce qui la concerne pour l’entrée en vigueur du présent accord qui prend effet le premier jour du second mois suivant la réception de la dernière notification.
    Le présent accord est conclu pour une durée illimitée. Chaque Partie peut le dénoncer à tout moment par notification écrite adressée par la voie diplomatique à l’autre Partie. Cette dénonciation prend effet six mois après sa date de notification. La dénonciation de l’accord ne remet pas en cause l’exécution des actions en cours au titre de l’accord, sauf décision contraire des deux Parties.
    Les Parties peuvent apporter, par la voie diplomatique et d’un commun accord, des modifications au présent accord. Ces modifications font partie intégrante du présent accord et entrent en vigueur conformément à l’alinéa 1er du présent article.
    Fait à Tunis, le 31 mars 2017, en deux exemplaires originaux, en langues française et arabe, les deux textes faisant également foi.

    Pour le Gouvernement de la République française : Najat Vallaud-Belkacem
    Ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche

    Pour le Gouvernement de la République tunisienne : Néjï Jalloul
    Ministre de l’éducation

    Fait le 30 avril 2020.

    Emmanuel Macron

    Par le Président de la République :

    Le Premier ministre,

    Edouard Philippe

    Le ministre de l’Europe et des affaires étrangères,

    Jean-Yves Le Drian

    (1) Entrée en vigueur : 1er avril 2020.

     

    Source : medias-presse.info