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  • Ces prénoms et ces noms que l’on cache et les autres qu’on jette volontiers en pâture…

    Publié par Guy Jovelin le 22 mai 2021

    Auteur : 

    Excellent article de notre confrère Richard HANLET, de Boulevard Voltaire, qui explique clairement la volonté de la quasi totalité des médias Mainstream de nier l’évidence. Pour éviter un procès “pour incitation à la haine”, nous n’en dirons pas plus : nous laissons nos lecteurs apprécier la réalité de la “vérité officielle”…

    Il y a près d’un siècle, les enfants de Landru étaient autorisés à prendre comme patronyme le nom de jeune fille de leur mère, et on les comprend… Mais une même pudeur anime également nos médias autorisés lorsqu’il s’agit de dissimuler l’origine subméditerranéenne de délinquants grands et petits, et ce n’est pas nouveau.

    En 2012, par exemple, Le Monde maquillait du prénom de « Vladimir » le Tchétchène sunnite tueur d’un collégien de 13 ans, à Rennes, subtile manière de faire d’une pierre deux coups (avant de se rétracter et d’adopter la simple lettre S pour nommer le criminel). Heureusement, le journal n’avait pas encore lancé ses sourcilleux « Décodeurs » !

    Tout récemment, le 24 février 2021, une journaliste du Télégramme évoquait dix individus jugés pour trafic de drogue à Quimper. Elle appelait ces “jeunes” venus de région parisienne “Kevin, Amélie, Alain, Antoine, Henri, Héloïse, Mathieu, Eric…” précisant que les prénoms avaient été changés. Le 29 mars suivant, jour du jugement, les prénoms sont devenus Ali, Mohammed, Anissa, Assane, Elhad…

    C’est un chroniqueur de Libération, Jean Quatremer, qui révéla ces bidonnages, le 15 janvier 2016, sur un plateau d’Arte : « Moi, je me rappelle, un article, un truc absolument extraordinaire sur une affaire de tournante en banlieue parisienne, et tous les noms avaient été changés, ce qu’on fait régulièrement […] et c’était tous des Alain, des Frédéric, des Marcel, des Maurice, sauf qu’en réalité, c’était tous des Mohamed, des Hamed… ». Si c’est Libé qui le dit !

    En revanche, de Valentin Marcone, le mini-Rambo des Cévennes qui vient de se rendre, on saura presque tout, probable privilège de « Caucasien ».

    Et on peut faire plus encore quand vous tombe sous la dent un coupable dont les ancêtres ont fait les croisades : avec un Xavier Dupont de Ligonnès, on peut feuilletonner depuis sa première couche-culotte. Il a même sa fiche Wikipédia !

    Ouf, on respire, il y a aussi des assassins bien de chez nous…

    Mais à ce jour, moins de 30 % des Français font encore confiance aux médias[1].

    [1] Baromètre La Croix-Kantar, cité par Nicolas Vidal dans Médias, le grand errement, page 11.

    Source : Boulevard Voltaire du 20 mai 2021

  • Maroc : des «rafles de grande ampleur» de migrants subsahariens dans le sud du pays

    Publié par Guy Jovelin le 21 mai 2021

    Les forces de l’ordre marocaines auraient arrêté et déplacé «dans des rafles de grande ampleur» les migrants subsahariens présents à Laâyoune (Sud du Maroc, au Sahara occidental). Parmi eux se trouvaient des femmes enceintes et des enfants, arrivés le 7 mai dernier. Des voix s’élèvent pour dénoncer les violations des droits des migrants.

    Ces migrants ont été, selon le communiqué, transférés de façon inhumaine vers la ville de Tan-Tan, à quelque 300 km de Laâyoune, parfois détenus dans une zone reculée, les laissant sans nourriture ni eau.

    Ibrahima, un migrant rencontré par Euro-Med Monitor a déclaré : «  À 23 heures, j’ai été choqué de voir la police marocaine prendre d’assaut mon appartement sans mandat judiciaire ni avertissement préalable ».  […]

    La ville de Laâyoune est l’une des zones où les immigrants du Maroc partent pour les îles Canaries à environ 200 km. Le nombre d’immigrants arrivant dans l’archipel espagnol a atteint environ 23 023 à la fin de 2020, soit huit fois plus qu’en 2019. […]

    bladi via fdesouche

  • Jean Castex aime faire tchou-tchou la nuit ...

    Publié par Guy Jovelin le 21 mai 2021

    Jean Castex aime faire tchou-tchou la nuit ...
    Nous sommes clairement ici en présence d'un cas typique de ferrovipathie névrotique à tendance obsessionnelle et régressive. Une longue période de repos est prescrite.
    JFT.
    Peut être une image de une personne ou plus
     
     
     
     
  • L’entrisme de l’islam en entreprise s’est considérablement accru, en 2020.

    Publié par Guy Jovelin le 21 mai 2021

    De septembre à fin décembre 2020, l’Institut Montaigne a réalisé une grande enquête sur le fait religieux dans l’entreprise, via un « questionnaire en ligne auprès d’un échantillon représentatif d’environ 25.000 cadres et managers exerçant leur activité en France, complété par des enquêtes de terrain ».

    entreprises,entrisme,islamSans grande surprise pour ceux qui regardent la réalité en face, il apparaît que les comportements rigoristes et les situations conflictuelles qui en découlent sont en forte hausse : +12 %, contre 8 % en 2019. Il apparaît surtout qu’ils sont très majoritairement le fait de salariés musulmans (à 73 %), généralement jeunes (moins de 40 ans) et peu qualifiés. Globalement, il s’agit du refus de travailler avec une femme, de la remise en cause de la hiérarchie, du refus d’effectuer certaines tâches ou bien encore la tentative d’imposer une pratique religieuse au travail (pauses pour la prière, ablutions, menus spéciaux, etc.).

    Selon le « baromètre » issu de cette enquête, il ressort que « globalement, deux tiers des entreprises, soit 66,5 % des répondants (encadrants), disent rencontrer “régulièrement (31,3 %) ou occasionnellement (35,2 %)” le fait religieux au travail en 2020 ». Les entreprises de plus de 1.000 salariés sont les plus touchées (43 %) mais les comportements diffusent également dans les PME : 12 % dans celles de moins de 50 salariés. Quant aux secteurs les plus touchés, il s’agit d’abord du transport, suivi de la logistique, du BTP et de la grande distribution.

    Le Figaro de ce jour est allé à la rencontre de dirigeants confrontés au problème : la plupart « tentent de prendre la main sur l’expression du fait religieux sur le lieu de travail », autrement dit de le contourner. Exemple significatif avec le patron d’une entreprise d’insertion spécialisée dans le recyclage et la propreté. « Il y a vingt ans, j’avais des positions très claires et radicales sur la . Maintenant, je prône l’accommodement raisonnable », dit-il. Ainsi, « face à des toilettes régulièrement inondées par des flaques d’eau, Éric Challan-Belval a dû dépasser sa surprise et comprendre que ces désagréments étaient liés aux ablutions pratiquées par des salariés. Le patron étant prêt aux concessions, il va installer des toilettes à la turque et des douchettes. »

    Les forums musulmans en ligne sont très sollicités par les questions telles que « Quelle place donner à sa religion au travail ? Peut-on prier ? Porter le  ? » Depuis l’affaire de la , les entreprises ont commencé à se presser au cabinet de Michael Amado, avocat au barreau de , nous dit-on. Elles sollicitent ses conseils car, depuis l’arrêt de la Cour de cassation, déclarant en 2013 que le licenciement de la salariée voilée était « discriminatoire » et, donc, « nul »« les demandes concernant la place du fait religieux en entreprise ont augmenté ».

    Si des entreprises comme la  ou la  ont édicté des chartes et guides de conduite pour leurs salariés, les entreprises privées n’ont pas, elles, les mêmes capacités de contrôle. Elles cherchent donc des solutions de contournement. De ce fait, « les interlocuteurs joints par Le Figaro reconnaissent que cette volonté de contrôle peut se traduire par de la discrimination à l’embauche envers les musulmans (ou candidats perçus comme tel), ce qui est illégal ». Pas de loup dans la bergerie…

    Dans son livre Le Tabou de l’entrisme islamique en entreprise, Adel Paul Boulad estime qu’« il existe, chez quelque dix pour cent des salariés musulmans, une volonté manifeste d’adapter le lieu de travail aux pratiques religieuses »« C’est un tabou global dans la , mais aussi au niveau de l’entreprise pour les managers », dit-il.

    Il serait peut-être temps, alors, d’affronter le réel ?

     

    Marie Delarue

    Ecrivain, musicienne, plasticienne
     
  • Tombeau pour la Justice.

    Publié par Guy Jovelin le 21 mai 2021

    Longtemps j’ai voulu faire confiance à la justice de mon pays. Au-delà des traverses des affaires politiques, des gauchissements idéologiques, d’une féminisation parfois agressive, je voulais croire à la vertu des charges quotidiennes du juge qui le contraignaient, malgré lui s’il le fallait, à remplir sa tâche qui est de « rendre à chacun ce qui lui est dû ».

    justice,tombeauIl y avait « le mur des cons » et d’autres monstruosités, mais c’était marginal.

    Et puis voilà que les contraintes de la crise sanitaire, s’ajoutant aux manquements de tous ordres, font éclater l’évidence. Ce n’est plus seulement la dérive idéologique de quelques-uns. C’est la machine tout entière qui s’engorge : retards multipliés, volonté de ne plus entendre les avocats, inflation des audiences virtuelles, généralisation de l’audience à juge unique et surprise, à la lecture des décisions, d’y trouver des motifs qui n’avaient pas été débattus.

    L’éloignement des juges et des justiciables est devenu un mur d’incompréhension, la médiation des avocats s’évanouissant.

    Après plus d’un demi-siècle d’exercice où j’ai connu Mai 68 et ses tentatives avortées de subversion, le Syndicat de la magistrature, des procès très médiatiques et très politisés, des interventions gouvernementales dans des procédures privées aux enjeux considérables, je découvre un autre univers qui n’a plus rien de commun avec l’ancien monde.

    Le Tribunal de Paris en est le symbole. On ne peut plus dire « le Palais », c’est une forteresse d’acier et de verre, de contrôle et de chiffres.

    Le tout numérique essaie de s’imposer, renvoyant le raisonnement juridique, l’exposé des faits et des moyens de droit à la norme technique qui prévaut sur tout. L’outil est devenu le maître de l’ouvrier.

    Un avocat naguère anticonformiste, devenu garde des Sceaux, nous explique que tout va bien et qu’avec les réformes qu’il prépare, tout ira encore mieux. Les cités brûlent. Les policiers sont poignardés dans leur commissariats, mais ne nous arrêtons pas à ces péripéties, l’institution fonctionne.

    Non, l’institution ne fonctionne plus. Nous arrivons à un stade où rien ne pourra plus le dissimuler. Le couple police-justice sur lequel repose la politique pénale est en instance de divorce.

    La Cour suprême juge des affaires extraordinairement douloureuses et symboliques comme s’il s’agissait d’une analyse théorique de cas d’école en faculté.

    Il est de bon ton de dire que les élites sont hors sol, mais maintenant elles ont rejoint Thomas Pesquet dans la stratosphère.

    La seule justice pratique va être l’exécution sommaire de l’assassin sur les lieux du crime dans la plus pure tradition des westerns.

    Qui rendra son sens à l’institution ?

    Les candidats s’en désintéressent.

    Peut-être un sursaut à l’intérieur de la maison ?

    Ce serait une première dans l’histoire.

    Longtemps j’ai voulu faire confiance…

     

    Illustration : Avec le nouveau garde des Sceaux, la justice est aveugle mais uniquement quand il s’agit de considérer la réalité.

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    Source : https://www.politiquemagazine.fr/