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  • Montpellier : un Algérien bien connu de la police et de la justice tente de poignarder 2 voyageurs en gare, sans aucun mobile. La semaine dernière, un de ses compatriotes avait blessé à l’arme blanche 3 personnes dans cette même ville

    Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2022

    Un agent de la Sûreté générale (SUGE), la police ferroviaire, a dans doute évité un bain de sang, ce mardi en fin d’après-midi : il quittait son service quand il a été témoin d’une scène inquiétante, à savoir qu’un individu qui brandissait un couteau poursuivait deux voyageurs dans l’enceinte de la gare et a tenté de les poignarder, sans aucun mobile. Fort heureusement, ces voyageurs sont indemnes, mais très choqués.

    Le policier n’a pas hésité une seconde, il s’est précipité sur l’agresseur et a réussi à le désarmer, après l’avoir neutralisé. L’alerte ayant été donnée entre-temps, des policiers de la brigade des chemins de fer de la police nationale ont pris en charge le suspect, un Algérien âgé de 35 ans actuellement en séjour à Montpellier, déjà connu des services de police et de la justice.

    Il est entendu à l’hôtel de police sous le régime de la garde à vue, ainsi que les deux voyageurs et l’agent de la SUGE, comme témoins. Les bandes des caméras de vidéosurveillance ont été saisies et vont être exploitées. Selon une source proche de l’enquête sollicitée à 22h par Métropolitain, une agression à caractère terroriste est écartée, mais, les services du Renseignement territorial de l’Hérault et de la Sécurité Intérieure (DGSI) étudient le profil du trentenaire algérien.

    Métropolitain via fdesouche

  • Ecole de la Martinerie (FSSPX) : un article de la Nouvelle république qui parle de l’excellent niveau de l’enseignement malgré « des élèves coupés du monde extérieur »…

    Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2022

    medias-presse.info

    Auteur : 

    Rien d’anormal en somme…sauf les résultats qui sont

    brillants et le niveau général très élevé, dixit l’Académie

    C’est sous le titre « Indre : à l’école catholique Saint-Michel (1),​ des élèves coupés du monde extérieur » que La Nouvelle République signale, à travers les propos d’un certain Rémy-Charles Sirvent, secrétaire général du Comité national d’action laïque (CNAL), le « manque d’ouverture au monde extérieur et de la formation à l’esprit critique » (sic).

    La journaliste, par son titre, donne une connotation plutôt péjorative à son article – par ailleurs assez objectif – alors que la conclusion de l’Académie peut se résumer à ces mots figurant dans le rapport : « Mais, si on estime qu’il y a un défaut d’acquisition globale du socle, ce n’est pas le cas à La Martinerie, où il manque seulement quelques items. L’école s’adresse à un public particulier, qui ne correspond simplement pas aux écoles publiques. On formule des préconisations. Mais globalement, il n’y a rien d’inquiétant. »

    Rien d’anormal en somme…sauf les résultats qui sont brillants et le niveau général très élevé, dixit l’Académie. Nihil novi sub sole, sauf le niveau de hargne des laïcards des syndicats de « l’Education nationale » qui est inversement proportionnel au niveau de l’enseignement qu’ils dispensent.

    Indre : à l’école catholique Saint-Michel,​ des élèves coupés du monde extérieur

    Un niveau général et des résultats aux examens nationaux « bons, voire très bons ». Mais des manquements au socle commun des connaissances, puis des doutes sur « l’ouverture au monde « extérieur » [et] la formation à l’esprit critique ».

    Voilà comment résumer le rapport d’inspection académique d’une visite à l’ensemble scolaire Saint-Michel de La Martinerie, à Déols (Indre), le 11 mai 2017, que s’est procuré La Nouvelle République. Une nouvelle visite a eu lieu en mars 2022 mais aucun changement notable n’a été observé par rapport à 2017, selon une source de l’Éducation nationale.

    Un ordre qualifié d’intégriste

    Placé sous le patronage de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X (FSSPX), ordre qualifié de catholique intégriste, l’école Saint-Michel accueille quelque 160 élèves du primaire au lycée. Cet établissement privé hors contrat avec l’Éducation nationale n’a pas l’obligation de suivre les programmes scolaires.

    En revanche, il doit se soumettre aux exigences du socle commun. Ce qui implique, entre autres, un accès à l’information et aux outils numériques ainsi que l’apprentissage de la vie en société, de la citoyenneté et de la formation de l’esprit critique. Des compétences sur lesquelles le rapport souligne des lacunes.

    « L’enseignement est complet »

    En primaire, l’enseignement de l’histoire « omet certains faits historiques comme l’expression des libertés et des droits aux XIXe et XXe siècles ou le génocide des juifs, en abordant peu les grandes ruptures et les événements fondateurs de notre société et de ses valeurs. » L’histoire étant enseignée de façon chronologique, ces sujets sont abordés en 1ère et terminale, justifie l’abbé de Villemagne, directeur de l’établissement. « L’enseignement est complet, aucune partie de l’histoire n’est mise sous le boisseau », martèle-t-il.

    Le religieux explique que la scolarité à Saint-Michel est destinée à accueillir les élèves de la maternelle au lycée, et qu’ils auront donc finalement accès à ces enseignements. « Sauf qu’au lycée, on n’est déjà plus dans la scolarité obligatoire, relève Rémy-Charles Sirvent, secrétaire général du Comité national d’action laïque (Cnal). Les savoirs fondamentaux doivent être enseignés avant la fin de la 3e. »

    Société hyperinformée

    Au collège et au lycée, le rapport décrit un accès aux médias et à l’information « extrêmement réduit, voire inexistant ». Dans cet établissement, où les élèves vivent en internat, il n’y a ni CDI, ni journaux, ni télévision. Les téléphones portables sont interdits. La correspondance avec l’extérieur ne se fait que par lettre et un appel est possible durant les repas. « L’accès à Internet n’est pas possible non plus, sauf de manière exceptionnelle pour des exposés dans le cadre des TPE (travaux personnels encadrés), par exemple. »

    Les élèves ne risquent-ils pas de se retrouver en décalage, dans une société hyperinformée où la maîtrise des outils numériques est une seconde nature ? L’abbé de Villemagne s’en défend. « Quand ils rentrent dans leur famille le week-end, les élèves ont accès à ces outils et savent parfaitement les manier. Mais à l’école, il faut rester concentré sur son travail. » Et donc s’en écarter.

    Un laboratoire sans expériences

    Des propos qui font réagir Rémy-Charles Sirvent. « L’apprentissage de ces outils (défini dans le domaine 2 du socle commun) n’est pas une option du week-end, c’est un objectif d’enseignement légal », recadre-t-il. De son côté, l’inspecteur académique qui signe le rapport du second degré note que « la confrontation à la pluralité des opinions […] apparaît comme extrêmement limitée ».

    L’enseignement en physique et SVT présente aussi des carences. Le directeur assure que l’établissement abrite un laboratoire. Mais l’inspecteur écrit que « le matériel expérimental est quasi inexistant ». Les élèves sont soumis à des cours magistraux « figé[s] dans un modèle purement transmissif » et ne se voient proposer « aucune manipulation ni expérimentation ».

    Public particulier

    Depuis la loi séparatisme de 2021, l’inspection académique peut mettre toute école hors contrat en demeure de se conformer à l’instruction obligatoire, qui permet aux élèves l’acquisition du socle commun. En cas de refus, outre la fermeture des classes, le directeur s’expose à six mois d’emprisonnement et 15.000 € d’amende.

    « Mais cela s’applique si on estime qu’il y a un défaut d’acquisition globale du socle, précise notre source à l’Éducation nationale. Ce n’est pas le cas à La Martinerie, où il manque seulement quelques items. L’école s’adresse à un public particulier, qui ne correspond simplement pas aux écoles publiques. On formule des préconisations. Mais globalement, il n’y a rien d’inquiétant. »

    Amélie ZACCOUR, Journaliste, rédaction de Châteauroux

    Source : La Nouvelle République

    (1) Ecole Saint-Michel – FSSPX
    Primaire, à Terminale pour garçons (sections L, S et ES). Pensionnat.
    La Martinerie – Route départementale 96, 36130, Montierchaume
    Téléphone : +33 2 54 29 89 48
    Email : 36e.stmichel@fsspx.fr

  • « Sabotage » du Nord Stream 2 et du Nord Steam 1. Qui ?

    Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2022

    Auteur : 

    Nord Stream tombe en panne, le prix du gaz européen s’envole, les services publics du Vieux Continent s’effondrent entraînant les bourses, l’incertitude augmente et en pleine « guerre » énergétique économique, psychologique et diplomatique entre la Russie et l’Occident, la querelle politique redémarre.

    L’affaire Nord Stream s’est ouverte lundi soir lorsque les autorités danoises ont évoqué une fuite de gaz « dangereuse » en imposant un blocage du trafic aérien et maritime autour de l’île de Bornholm, au nord-est et au sud-est de laquelle elles ont détecté les fuites. « La perte est dangereuse », lit-on dans un avertissement émis par les marins de l’Autorité maritime danoise le même jour. Selon le journal allemand Tagespiegel, la perte de charge se produirait dans trois des quatre conduites qui composent les deux gazoducs et qui sont à 60-70 mètres de profondeur, à un niveau sous la surface donc facilement accessible pour une opération de ce type. Les fuites de gaz, photographiées le 27 septembre par un chasseur F-16 de Copenhague, sont clairement visibles sous la forme d’une grande tache blanche qui atteint la surface de la mer. « Il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’explosions », a déclaré le directeur du SNNS, Bjorn Lund , à la chaîne de télévision suédoise Svt.

    La Russie n’exclut pas un sabotage : « Il y a une sorte de destruction de la ligne, et avant qu’il y ait les résultats des contrôles, on ne peut en aucun cas écarter une quelconque cause », a souligné le Kremlin par la bouche de Dmitri Peskov, porte-parole pour le Kremlin.

    Mais l’Europe commence aussi à admettre cette possibilité comme possible et, par la bouche du Premier ministre polonais, elle blâme Moscou. Pour Mateusz Morawiecki, il n’y a aucun doute, les fuites de gaz enregistrées le long des canalisations Nord Stream 1 et Nord Stream 2 sont le fruit d’une action volontaire : « Aujourd’hui, nous ne connaissons pas tous les détails de ce qui s’est passé, mais nous voyons clairement qu’il y en a était un acte de sabotage », a déclaré le Premier ministre du parti Droit et Justice à Goleniów, près de Szczecin, lors de la cérémonie d’inauguration du nouveau gazoduc Baltic Pipe. « L’acte de sabotage est probablement le nouveau niveau d’escalade auquel nous sommes confrontés avec la crise ukrainienne », a-t-il ajouté. Ces mots sonnaient comme une musique aux oreilles de l’Ukraine envahie, qui utilisait des tonalités similaires : les fuites des gazoducs Nord Stream en mer Baltique sont le résultat d’ « un attentat terroriste planifié » par Moscou « contre l’Union européenne » a déclaré sur Twitter Mykhailo Podoliak, un conseiller du président Zelensky.

    La position de l’Union européenne, en revanche, est plus tiède, la Commission européenne déclarant qu’il est « prématuré de spéculer sur les causes ».

    Mais s’il s’agit d’un sabotage : qui ?

    La main est pour l’instant inconnue.

    Cependant, faut-il rappeler que le projet de Nord Stream 2 a toujours déplu tant aux Etats-Unis qu’à la Pologne et au pays de l’Est, (ceux-ci craignant d’une part le contournement russe et d’autre part le fait que Moscou et Berlin soient connectés de manière toujours plus solide, la crainte d’une alliance entre la Russie et l’Allemagne et d’une éventuelle invasion russe continue de planer comme un spectre sur toutes les républiques baltes et au-delà) ?  

    Si Nord Stream a toujours représenté le symbole des exportations de gaz russe, son doublement a été perçu avec une extrême méfiance par tous ceux qui veulent séparer Moscou des destinées énergétiques européennes. « Le gazoduc Nord Stream a longtemps été au centre de l’affrontement entre l’Occident et la Russie, l’Allemagne s’étant transformée au fil des années en un véritable hub énergétique gazier russe en Europe. Et si Nord Stream est déjà une réalité qui implique l’arrivée en Europe, via la Baltique, de 55 milliards de mètres cubes de gaz par an, son doublement, Nord Stream 2, alarme notamment les Etats-Unis. Avec l’objectif tacite de défier la Russie sur le marché européen du gaz, le projet de doubler cette infrastructure signifierait un immense flux de gaz de Moscou vers l’Allemagne. Renforçant ainsi le rôle du Kremlin en Europe » pouvait-on lire en 2018 sur le blog d’analyses géo-politiques italien Inside Over.

    Faut-il rappeler que le 7 février 2022, soit quelques jours avant le déclenchement de « l’Opération militaire spéciale » russe en Ukraine, en présence du chancelier fédéral Olaf Scholz, Joe Biden a déclaré que Nordstream2 serait résilié. Un journaliste a demandé comment Biden prévoyait de faire cela. Sa réponse : « Je vous promets, nous y arriverons. »

     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Le retour de la mosquée Millî Görüs de Strasbourg

    Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2022

    Le retour de la mosquée Millî Görüs de Strasbourg

    Dix-huit mois après la polémique sur le vote du principe d’une subvention de 2,5 millions d’euros pour la construction d’une mosquée portée par l’association turque Millî Görüs, le Conseil municipal de Strasbourg a adopté par 46 voix pour (16 abstentions et aucune voix contre) “un cadre clair, transparent, partagé“, permettant de “garantir des principes de neutralité, de transparence et d’équité“, a expliqué le maire (EELV) Jeanne Barseghian.

    Cette délibération conditionne l’éligibilité des demandes de subventions à la

    • présentation d’un plan de financement équilibré
    • signature du contrat d’engagement républicain,
    • l’instauration d’une période de carence de dix ans durant laquelle une nouvelle demande de financement pour un même lieu de culte ne pourra être présentée,
    • limite d’un million d’euros le plafond du soutien de la ville aux associations cultuelles et projets cultuels (sans qu’il ne représente “plus de 10 % de la dépense totale” de création ou extension d’un lieu de culte).

    Pour les nouveaux lieux de culte ou projets importants, il est proposé que le préfet “soit saisi pour avis concernant le projet”, notamment pour permettre “d’informer la municipalité sur les liens éventuels de l’association avec des puissances étrangères” ou sur “toute alerte relative à la sécurité nationale et/ou aux dérives intégristes ou sectaires”.

     

    Source : lesalonbeige

  • 1,1 milliard d’euros pour les étrangers clandestins

    Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2022

    1,1 milliard d’euros pour les étrangers clandestins1,1 milliard d’euros pour les étrangers clandestins

    Avec un budget à l’euro près, les trois quarts des crédits de la mission Santé sont dévolus à l’aide médicale de l’Etat de droit commun (AME), soit 1,1 milliard d’euros.

    L’AME est un dispositif permettant aux étrangers en situation irrégulière, qui résident en France depuis plus de trois mois, de bénéficier d’un accès aux soins.

     

    Source : lesalonbeige