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  • Rome (It.) : un migrant africain passé à tabac par la foule après avoir tenté de violer une fillette italienne de 11 ans

    Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2022

    “Noir de m…”, et ils l’ont battu à coups de pied et de poing dans la rue. Il s’agit du passage à tabac à motivation raciale subi à Centocelle samedi matin par un individu étranger qui, accusé publiquement de s’être déshabillé devant une fille, était entouré d’une dizaine de passants. Et battu avant l’arrivée des carabiniers de la station de Tor Sapienza, qui ont interpellé l’homme pour tentative de violences sexuelles sur mineur.

    (…) Repubblica


    Un jeune de 25 ans a été emmené à la caserne par les carabiniers : peu de temps avant, il avait été signalé par une fillette de 11 ans devant le restaurant tenu par sa mère. Les clients l’ont bloqué et l’ont couvert d’insultes racistes avant de lui donner des coups de pied. L’histoire sur Facebook

    Un homme de 25 ans a été conduit à la caserne par une patrouille de carabiniers, escorté par d’autres voitures qui sont intervenus via Collatina à midi pour sauver le jeune homme à la merci de certaines personnes qui lui donnaient des coups de pied alors qu’il était déjà au sol et essayer de mettre sa tête à l’abri.

    Il n’a pas été gravement blessé, mais – après une série d’enquêtes menées par les militaires de l’Arma – il a été menotté pour avoir agressé sexuellement une fillette de 11 ans, fille du barman du quartier, qui a tiré la sonnette d’alarme. Le jeune homme de 25 ans s’est ensuite enfui à pied mais a été immédiatement poursuivi et bloqué par des passants qui se sont fait justice eux-mêmes et pour cette raison ils sont désormais recherchés par les carabiniers. 

    “Noir de m….”, lui ont dit plus d’une personne, selon le témoignage d’un habitant du quartier, Giancarlo Castelli, qui a couru pour tenter de se mettre entre le jeune homme et les “bourreaux” et a ensuite posté son témoignage sur Facebook : “Sous ma maison, j’ai assisté à un demi-lynchage du genre de ceux qu’on lit dans les journaux : j’entends crier “Arrêtez-le !”. Arrêtez-le !”, je m’approche et un groupe de personnes avait bloqué un garçon noir. Un type lui donne un coup de poing et il se retrouve au sol. Il reçoit également quelques coups de pied de la part de certains clients qui se trouvaient là par hasard. L’un d’entre eux me dit : Occupe-toi de tes affaires. Ne vous mettez pas en travers de notre chemin ou nous serons en colère contre vous”.

    Selon Castelli, qui a pu être entendu par les carabiniers pour reconstituer l’histoire, le garçon a également reçu des coups de pied de la part de la mère de la fille violentée, qui a alors téléphoné au 112 et demandé l’intervention des carabiniers.

    (…) Corriere.it

  • “La France est à l’euro près”, prévient le ministre de l’Economie Bruno Le Maire avant d’annoncer que le gouvernement va créer 5.900 places d’hébergement dédiés aux réfugiés et aux demandeurs d’asile et leur allouer 2 milliards d’euros

    Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2022

    “La France est à l’euro près”, a affirmé ce lundi le ministre de l’Economie Bruno le Maire en présentant le projet de budget pour 2023 devant les journalistes.

    “Je veux tracer une ligne rouge”, a-t-il prévenu : “Aucune nouvelle dépense” ne pourra être introduite au cours du débat parlementaire si elle n’est pas “financée à l’euro près”, a mis en garde le ministre.

    Morandini

     


    5.900 places d’hébergement pour réfugiés et demandeurs d’asile

    Le gouvernement va créer 5.900 places d’hébergement dédiés aux réfugiés et aux demandeurs d’asile dans différents centres d’accueil et d’hébergement d’urgence, selon le projet de budget 2023 dévoilé lundi et qui prévoit une hausse de 6 % de l’enveloppe « immigration, asile et intégration ».

    Les crédits de cette mission progressent de 113 millions d’euros par rapport à 2022 pour atteindre 2,01 milliards d’euros et doivent notamment permettre l’ouverture de 2.500 places en centres d’accueil pour demandeurs d’asile, selon les documents budgétaires de Bercy. En 2022, 900 places d’hébergement supplémentaires avaient été créées.

    (…) 20minutes.fr

  • Giorgia Meloni l’emporte largement en Italie : cinq leçons d’une incroyable victoire

    Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2022

    26 Septembre 2022, 06:44am | Publié par Thomas Joly

    À l'heure où nous mettons sous presse (à 23 h 15 ce 25 septembre), la coalition de droite menée par Giorgia Meloni l'emporterait avec 41 % à 45 % des voix aux élections législatives italiennes, selon les sondages sortie des urnes. Le parti de Meloni Fratelli d'Italia arriverait en tête du scrutin. L’Italie franchit aujourd’hui un cap décisif. Pour la première fois, une femme pourrait accéder au pouvoir exécutif. Elle montrerait aux Italiens et à l’Europe entière que le centrisme mondialiste et européen peut être battu.

    Un par un, les peuples d’Europe secouent le joug du mondialisme. Il faut tenter de tirer les cinq leçons de ce séisme.

    1 – L’immigration est devenue insupportable aux peuples d'Europe

    Les Italiens ont longtemps suivi les sirènes de l’Europe mondialiste et de ses serviteurs. Les faits l’ont emporté. Comme en France, l’explosion des crimes et délits, les menaces culturelles, le coût délirant de l’immigration, ses effets délétères sur la culture et le mode de vie du pays ont retourné l’opinion. Un peuple peut donc se dresser et refuser le destin que d’autres ont écrit pour lui, même après des années d’immigration intensive.

    2 – La mainmise sur les médias de masse ne suffit plus

    La droite italienne l’emporte contre un système médiatique verrouillé depuis des décennies, notamment par les médias publics. Inlassablement décrite comme une fasciste mussolinienne incontrôlable et dangereuse, Giorgia Meloni a rendu coup pour coup et renvoyé les assaillants à leurs études. La propagande européenne, généreusement financée par les peuples, est impuissante face à la délinquance migratoire et aux échecs des gouvernements du système sur le plan sécuritaire. Le discours médiatique univoque en faveur du melting-pot a vécu, balayé et dénoncé par les réseaux sociaux et par quelques médias de droite qui ont réussi à émerger. Les temps s’annoncent difficiles pour les maîtres à penser du politiquement correct en Europe.

    3 – Le mondialisme et l’Europe fédérale ne sont pas des fatalités

    C’était, pour les bergers européo-mondialistes et leurs moutons, le sens de l’Histoire. Les nations appartenaient au passé, au temps où les Européens se faisaient la guerre, basculaient dans le racisme et fermaient leurs frontières. Avec la subtilité qu’on leur connaît, nos grands donneurs de leçons ont expliqué dans tous les pays que le passé, c’était le mal, quand l’avenir qu’ils dessinaient représentait le bien. Les peuples se débarrassent les uns après les autres de ce chloroforme idéologique.

    Aujourd’hui, l’Italie reprend en main les rênes de son destin. Hier, le Royaume-Uni boutait l’Europe supranationale hors de ses frontières. Quoi qu’ait pu dire et prédire notre presse bien-pensante, nos voisins anglais n’ont pas vu venir les effrayants cataclysmes qu’on leur annonçait. Et même le Parti travailliste n'envisage plus le retour en Europe.

    4 – Le lobby mondialiste et européen est plus faible que jamais

    La vague qui déferle sur l’Italie n’est qu’une énième réplique du tsunami de retour des nations qui touche l’Europe et au-delà.

    L’Italie suit en effet l’exemple de la Hongrie. Persécuté par l’Europe de Bruxelles, Viktor Orbán y occupe le pouvoir depuis 2010 sans discontinuer. Et il n’est pas près d’en partir puisque son parti, le Fidesz, a emporté 59 % des sièges au Parlement lors des législatives d’avril 2022. En Pologne, le parti conservateur Droit et Justice (PiS) est au pouvoir depuis 2015. En 2019, il a à nouveau raflé 51 % des sièges du Parlement polonais, la Diète. En Suède, la droite nationale des Démocrates de Suède vient de l’emporter, mi-septembre, là aussi dans une coalition, sur un programme d’arrêt de l’immigration. Au Danemark, le parti anti-immigration est à 20 % des sièges. En Autriche, le FPÖ représente 17 % des députés. La droite patriote monte en France, où le RN représente désormais 15 % des sièges de députés à l’Assemblée nationale, au même niveau que le parti patriote espagnol Vox. Aux États-Unis, les conservateurs, à la suite de Trump, tiennent un discours de plus en plus ferme vis-à-vis de l’immigration incontrôlée. De quoi inquiéter nos progressistes dépassés par la vague qui monte.

    5 – Vers un conflit dur entre mondialistes et patriotes

    Le scrutin italien va jeter la panique dans les couloirs de l’Europe supranationale. Pour les mondialistes européens (Emmanuel Macron en tête), les résultats italiens s’apparentent à une menace systémique. La peur va braquer les positions. Mais les sanctions jadis brandies contre le Royaume-Uni, aujourd’hui déployées contre la Hongrie de Orbán et la Pologne de Kaczyński, ont des limites. Impossible de sanctionner la moitié des pays européens. Le retour des vieilles nations met l’Europe bureaucratique et antidémocratique au pied du mur. Le vote italien restera dans l’Histoire comme une étape marquante dans la lutte des peuples contre l’idéologie mondialiste qui leur a fait tant de mal.

    Marc Baudriller

    Source : http://bvoltaire.fr

  • Occitanie ce matin : Puysségur, Cox (31 Haute-Garonne) Collage

    Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2022

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  • Depuis 2011, la police de Berlin devait indiquer dans leur système informatique l’origine ethnique des suspects de nationalité allemande de moins de 21 ans. Mais c’est fini ! Cette pratique étant jugée illégale

    Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2022

    Meurtre, homicide, viol, agression sexuelle ou délit de brutalité – depuis le printemps 2011, les policiers devaient indiquer dans le système informatique POLIKS si les suspects de nationalité allemande de moins de 21 ans étaient issus de l’immigration. Mais c’est fini !

    Auparavant, le système “Poliks” comportait une case à cocher qui permettait aux policiers d’indiquer si les suspects étaient issus de l’immigration.

    Dès la fin du mois de juillet, l’administration intérieure du Sénat a décrété que “la saisie de l’origine migratoire du suspect devait être arrêtée à la date la plus proche possible“. La fonction a été désactivée dès le 3 août.

    Mais pourquoi ces données étaient-elles été collectées ?

    L’idée de la direction de la police était de savoir si l’origine pouvait être l’un des nombreux aspects expliquant pourquoi les jeunes deviennent criminels. Il s’agissait “d’identifier les dysfonctionnements sociaux tels que la pauvreté, l’inégalité des chances en matière d’éducation ou la discrimination et de les contrecarrer par des mesures préventives”, comme l’indique la lettre de la direction de la police.

    La protection des données est claire à ce sujet : quiconque collecte et stocke des données personnelles doit prouver qu’il remplit une mission légale. Dans le cas contraire, c’est illégal !

    Le syndicat de la police (GdP) ne comprend néanmoins pas cette décision. Le porte-parole Benjamin Jendro : “Une tolérance aussi mal comprise est du vent au moulin de l’extrême droite et des théoriciens du complot”.

    Bz-berlin.de

    Le pourcentage de personnes issues de l’immigration étant globalement élevé à Berlin, la saisie de ce critère apparaissait comme obsolète.

    Rbb24.de