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  • Béziers : Des policiers agressés une nouvelle fois dans le quartier de la Devèze, l’un d’entre eux blessé à l’œil. Ils ont été encerclés par une quarantaine de “jeunes menaçants”

    Publié par Guy Jovelin le 02 février 2022

    Un conducteur et sa sœur ont été placés en garde à vue à Béziers après l’agression d’un policier dans le quartier de la Devéze. Des fonctionnaires du groupe de sécurité publique ont été encerclés par une quarantaine d’individus excités.

    Les policiers de Béziers ont une nouvelle fois été pris à partie ce mardi vers 17h30 dans le quartier de la Devèze par une quarantaine de jeunes assez menaçants. Une équipe du GSP (groupe de sécurité de proximité) intervenait dans le cadre de contrôles de stupéfiants. 

    En s’approchant d’un groupe de jeunes, place de l’église, deux d’entre eux prennent alors la fuite avec une voiture et refusent de s’arrêter fonçant alors sur des policiers circulant à pied. Heureusement, leur élan est stoppé net par une voiture de fonctionnaires de police.

    Le conducteur ameute alors le quartier pour qu’on vienne le délivrer 

    Le passager se laisse interpeller. En revanche le conducteur âgé de 30 ans, complétement hystérique d’après nos informations, ameute le quartier en appelant à l’aide. C’est alors qu’une quarantaine de personnes excités encerclent les policiers.

    “Cette situation d’agression quotidienne ne peut plus durer. Ce n’est plus possible. Ce qu’on demande c’est que la justice condamne avec sévérité ces individus”.

    France Bleu via fdesouche

  • Grande-Bretagne et Covid : la tactique de la peur du gouvernement, modèle chinois, contraire à l’éthique

    Publié par Guy Jovelin le 02 février 2022

    Du moment que le narratif anxiogène sur le covid-19 commence à s’effriter, c’est tout l’édifice qui menace ruine. Et qui dévoile les arcanes psychologiques utilisés durant cette crise sanitaire globale pour manipuler les populations via les « nudge unit », ces unités « coup de pouce » visant à provoquer des changements comportementaux.

    Ainsi en Grande-Bretagne, des psychologues avertissent que « l’unité de coup de pouce » du gouvernement a utilisé des tactiques alarmistes « contraires à l’éthique ». Les 40 cosignataires d’une lettre adressés à la commission de l’administration publique et des affaires constitutionnelles du Parlement, ont averti que la stratégie globale et la manipulation des tactiques de peur étaient semblables à celles utilisées en Chine pour contraindre un public terrifié à suivre les règles strictes de Covid. Les images télévisées des patients des soins intensifs et l’accent mis sur les décès de Covid sont sous le feu de leurs critiques. L’affaire suscite un tel émoi que des députés s’apprêtent à enquêter sur la conduite des fonctionnaires derrière l’équipe d’analyse comportementale.

    Le Daily Mail rapporte que « les députés sont sur le point de lancer une enquête sur le comportement des fonctionnaires derrière ‘l’unité de coup de pouce’ n° 10, utilisée par Downing Street (résidence du premier ministre britannique à Londres, ndlr) pour influencer subtilement le comportement du public, avec la crainte qu’ils aient utilisé des tactiques ‘grossièrement contraires à l’éthique’ d’une manière similaire à celles observées dans les Etats autoritaires. »

    « Les 40 psychologues, continue le Daily mail, ont (…) mis en garde contre des publicités amorales qui utilisaient des slogans tels que : ‘Restez chez vous pour sauver des vies’ et ‘si vous sortez et que vous répandez le virus, des gens mourront’. L’utilisation d’images télévisées qui montraient ‘les personnes gravement malades dans les unités de soins intensifs’ et la ‘focalisation mono macabre sur le nombre de décès de Covid-19 sans mention de la mortalité due à d’autres causes’ ont également été critiquées par le groupe.

    Une note du gouvernement partagée en mars 2020 suggérant que ‘le niveau perçu de menace personnelle doit être augmenté parmi ceux qui sont complaisants’ a également été souligné dans les remarques des psychologues. »

    Les psychologues ont également souligné, qu’outre le harcèlement et la tactique du bouc-émissaire qui ont été encouragés, l’exacerbation de la peur aura entraîné « de manière significative aux plusieurs milliers de décès non liés au Covid qui se sont produits dans les maisons de retraite, les anxiétés stratégiquement accrues en décourageant beaucoup de demander de l’aide pour d’autres maladies. »

    « Les scientifiques du gouvernement qui déploient la peur, la honte et la recherche de boucs émissaires pour changer les mentalités, écrivent les 40 praticiens, ont usé d’une pratique éthiquement douteuse qui, à certains égards, ressemble aux tactiques utilisées par des régimes totalitaires tels que la Chine, où l’État inflige des souffrances à un sous-ensemble de sa population dans le but d’éliminer les croyances et comportements qu’ils perçoivent comme déviant. »

    Le Daily Mail rappelle que « lancé par le gouvernement de David Cameron en 2010, ce ‘nudge unit’ était chargé d’influencer positivement les comportements avec de petits changements sans introduire de législation. Officiellement connue sous le nom d’‘équipe d’informations comportementales’, le mandat de l’unité a été élargi pour encourager le public à se conformer aux réglementations covid au début de la pandémie.  Ses succès précédents incluaient la promotion de la diversité dans les forces de police, l’aide au Job Center (le pôle emploi britannique) pour que davantage de personnes perdent leurs prestations et l’augmentation du nombre de donneurs d’organes. Mais l’‘unité de coup de pouce’ a fait l’objet de critiques importantes ces dernières semaines pour son rôle dans l’influence de l’opinion publique tout au long de la crise de Covid. »

    Cette « nudge unit » est accusé notamment d’avoir volontairement transmis au public un niveau de peur exagéré et les ministres ont été critiqués pour avoir accordé trop d’importance aux pires scénarios Covid à partir des modélisations réalisées par les conseillers du gouvernement. Face à la colère qui gronde, le gouvernement britannique se défend en arguant qu’il a « suivi les conseils de nos scientifiques et experts médicaux de renommée mondiale, en prenant les bonnes mesures au bon moment pour vaincre le coronavirus. »

    Pourtant « le gouvernement, écrit le Daily Mail, a utilisé ces projections de cas et de décès pour justifier des mesures restrictives auprès du public ou pour encourager les gens à changer leurs comportements. L’un des modèles les plus récents a mis en garde contre 6 000 décès quotidiens de Covid et 10 000 hospitalisations cet hiver dans un scénario pessimiste. Le modélisateur en chef de N°10 a précédemment déclaré que le comité n’envisageait pas de scénarios optimistes car ‘cela ne permet pas de prendre des décisions’. Bien qu’aucune nouvelle restriction n’ait été introduite en Angleterre, les gens ont été invités à annuler leurs fêtes de Noël et à ‘choisir des priorité’ parmi ceux qu’ils rencontraient. Des mesures plus restrictives ont été réintroduites en Écosse, au Pays de Galles et en Irlande du Nord. »

    Nul doute que le gouvernement français a usé des mêmes unités « coup de pouce » et tactiques pour manipuler l’opinion dans l’objectif de faire accepter les diverses mesures liberticides, prélude à un contrôle social des populations comme en Chine, le rêve inavoué des actuels « démocrates » bien-pensants au pouvoir.

    C’est la faillite des « élites », elles ont perdu mais certaines ne veulent pas l’admettre… Si Boris Johnson a compris qu’il ne fallait pas insister avec les Anglais sur le chemin de la coercition et a abandonné les restrictions covid, et ainsi a été fait dans bien des pays occidentaux, le petit Micron reste toujours décalé par rapport à la colère du peuple qui monte, qui monte, et maintient son totalitarisme hygiéniste. 

    Francesca de Villasmundo

    Source : medias-presse.info

  • Un prêtre appelle le clergé canadien à soutenir les routiers mobilisés contre la tyrannie sanitaire

    Publié par Guy Jovelin le 02 février 2022

    Auteur : 

    Prêtre canadien, Fr. Anthony Hannan a envoyé un message de soutien au Freedom Convoy, exhortant les prêtres catholiques près d’Ottawa à encourager et aider les routiers opposés aux restrictions sanitaires et disant que l’Église catholique « nous a laissé tomber » sur les mandats COVID.

    Le Père Hannan a diffusé un message personnel de soutien à « tous les camionneurs et à tous ceux qui sont impliqués dans les convois », disant « vous faites ce qu’il faut ».

    Le convoi de camionneurs devrait rester à Ottawa jusqu’à ce que le gouvernement libéral de Trudeau démissionne ou que les mesures liberticides sous prétexte de COVID soient levées, mais le père. Hannan a exhorté les Canadiens à ne pas attendre une telle éventualité. « Nous avons juste besoin que tout le monde cesse de se conformer pour les rendre inapplicables », a déclaré le Père Hannan.

    « Si tout le monde cesse de se conformer, ils ne pourront pas appliquer leurs mandats ridicules », a-t-il ajouté, encourageant les entreprises d’Ottawa à défier les règles Covid.

    Notant comment « tant d’évêques suivent le récit officiel », le Père Hannan a averti ceux qui entendraient son message de ne pas « retenir votre souffle en attendant que quelqu’un d’autre vous en sorte, en particulier votre curé ou vos évêques ».

    « Les évêques ont raté une occasion en or d’être des leaders et des défenseurs des libertés humaines fondamentales lorsque les excès du gouvernement ont commencé en ordonnant la fermeture d’écoles et d’entreprises et d’autres fermetures et divers mandats », a éaffirm le Père Hannan.

    Leur soutien continu aux « ordonnances gouvernementales injustes en cours » est « dévastateur » pour de nombreux catholiques, a-t-il déclaré.

    Le Père Hannan a exhorté les laïcs catholiques à « à s’engager dans la poursuite incessante de la vérité ».

    « Bien que divers dirigeants ne respectent pas les enseignements de l’Église, veillez à ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain, comme le dit le proverbe. »

    « Nous avons besoin de prêtres représentés dans ce mouvement »

    Faisant référence à la conversion de saint Paul, le Père Hannan a suggéré que de nombreuses personnes avaient des « écailles sur les yeux », les empêchant de voir « la vérité que tant d’entre nous ont pu voir depuis si longtemps ».

    Il a encouragé les prêtres et les évêques à se joindre aux manifestations « si vous pouvez voir qu’on nous a menti et que vous ne voulez accepter aucune de ces obligations immorales ».

    De nombreux prêtres se sentent « pris entre le marteau et l’enclume » concernant les restrictions COVID, a déclaré le Père Hannan, ajoutant cependant que les prêtres ont « le devoir de désobéir » aux ordres « immoraux ».

    « S’il vous plaît, soyez à la hauteur », a-t-il exhorté ses confrères membres du clergé. « Si vous êtes dans la ville d’Ottawa, veuillez me contacter. Nous avons besoin de prêtres représentés sur la Colline du Parlement et dans ce mouvement ».

    Le Père Hannan a exhorté les prêtres non seulement à se joindre au convoi des camionneurs, mais aussi à « donner des mots d’encouragement » aux personnes présentes dans la capitale et à « bénir tous les camions ».

     

    Source : medias-presse.info

  • Noisiel (77) : libéré la veille d’un centre de rétention, Moussa, un clandestin faisant l’objet d’une OQTF, vandalise trois voitures de police

    Publié par Guy Jovelin le 01 février 2022

    Tout juste sorti du commissariat de Noisiel (Seine-et-Marne), un homme est allé sur le parking réservé aux voitures des policiers et en a dégradé trois avant d’être interpellé. En situation irrégulière sur le territoire français, il a été placé en garde à vue.

    C’est une patrouille de police qui, en revenant au commissariat vers 09h30 ce samedi, a pris en flagrant délit un homme en train de dégrader les voitures personnelles des fonctionnaires, sur le parking réservé. Il a été immédiatement interpellé avant d’être placé en garde à vue.

    Âgé de 32 ans, Moussa est en situation irrégulière en France et a fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) le 20 avril 2021. Il aurait été libéré la veille vers 15 heures du centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot. Avant de commettre ces dégradations, l’homme est entré au commissariat mais ne parlant pas le français, n’a pas réussi à se faire comprendre. Il est finalement ressorti.

    Il a dégradé trois véhicules au total, brisant une vitre et cassant un rétroviseur sur chacune des voitures. Une enquête a été ouverte et confiée au commissariat.

    Actu 17 via fdesouche

  • Marseille. Hector, 25 ans, réduit en esclavage par les trafiquants de drogue

    Publié par Guy Jovelin le 01 février 2022

    Le récit qu’Hector fait aux policiers, lorsqu’au bout d’un mois il parvient à s’échapper de la Paternelle, est glaçant. Installé à Marseille depuis plusieurs mois, en provenance d’une ville du centre de la France, Hector livre dans les cités de Marseille canettes, sandwichs et repas que son ami prépare dans son food truck. Parmi ses clients, il y a les dealeurs qui travaillent pour le réseau de la Paternelle. Hector y acquiert vite le surnom de « Canette ».

    Pendant les vacances de Noël 2020, il assiste à l’arrestation d’un vendeur par une patrouille de police, et donc à la saisie d’une sacoche contenant cannabis et argent. Les deux prévenus, petits gérants de terrain, lui reprochent de ne pas avoir poussé le fameux « arah », ce cri qui alerte sur la présence de policiers. Hector est aussitôt mis à l’amende. On lui réclame le remboursement d’une « dette » fixée à 800 euros et il doit travailler gratuitement pour s’en acquitter. Régulièrement, les deux petits gérants lui inventent une nouvelle dette.

    « J’vais me mettre une balle tout seul si sa continue, j’ai plus la force de tenir, j’en pleure tellement sa m’soule. » Le 29 janvier 2021, Hector – le prénom a été modifié – adresse ce SMS désespéré à l’un de ses amis. Voilà un mois que le jeune homme âgé de 25 ans est « gardé » par deux jeunes gérants de nuit du réseau de la Paternelle, une cité du 14e arrondissement de Marseille, un des principaux spots de revente de drogue. Un mois qu’il est contraint de travailler gratuitement comme « guetteur » ou « charbonneur » (vendeur), quasiment vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept, en remboursement d’une « dette » imaginaire.

    Hector a vécu une situation d’esclave, au point que ses deux tortionnaires, un mineur alors âgé de 17 ans et un autre âgé de 20 ans ont été renvoyés mi-janvier devant le tribunal pour enfants, pour le premier, et devant le tribunal correctionnel, pour le second, sous l’incrimination de « traite d’être humain », sans compter les autres infractions de « trafic de stupéfiants », « extorsion », « violences volontaires ». 

    Le Monde via fdesouche