Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 21

  • Le député Nupes Thomas Portes visé par un « signalement » pour des violences sexistes ou sexuelles. Il fût récemment porte-parole de Sandrine Rousseau, alors que d’autres alertes de jeunes femmes avaient déjà eu lieu lorsqu’il était membre du PCF (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2022

    Thomas Portes, Président de l’Observatoire contre l’extrême-droite et ancien porte-parole de l’écologiste Sandrine Rousseau (L’insoumission)


    Depuis novembre 2020, le CVSS a été saisi 27 fois pour sexisme ou violences sexuelles. Treize ont donné lieu à une décision du Comité de respect des principes habilité à prendre des sanctions, dont, énonce-t-elle, « 8 exclusions, 2 obligations de formation, 3 suspensions provisoires avant décision définitive », le tout dans une parfaite discrétion, sans doute parce que les « cas ciblés », comme elle dit, n’étaient pas des membres éminents du parti.

    Le Monde via fdesouche

  • Collage ce matin en Occitanie Haute-Garonne (31)

    Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2022

    002.jpg003.jpg004.jpg005.jpg

  • «Répartir les immigrés en zone rurale ne ferait que renforcer les difficultés de nos campagnes» : cela reviendrait à délocaliser les problématiques des banlieues à l’ensemble de nos régions.

    Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2022

    «Répartir les immigrés en zone rurale ne ferait que renforcer les difficultés de nos campagnes»

     

    ENTRETIEN – Lors d’une intervention devant les préfets à propos du futur projet de loi sur l’immigration, Emmanuel Macron a suggéré de répartir les immigrés autrement, notamment en zone rurale. Pour le géographe Laurent Chalard, cela reviendrait à délocaliser les problématiques des banlieues à l’ensemble de nos régions.

    www.lefigaro.fr via fdesouche

  • [Satire à vue] Périco Légasse enthousiasmé par un Grand Remplacement rural

    Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2022

    L'abus de produits du terroir est-il dangereux pour la santé ? Sur le plateau de RMC, le chroniqueur gastronomique Périco Légasse se lance dans une farouche défense du projet d'Emmanuel Macron visant à répartir les réfugiés dans les campagnes françaises. L'homme exulte. Formidable ! « Une grande idée ! » Lui-même avait déjà suggéré à Stéphane Le Foll pareille solution. Pourquoi secourir le monde rural alors qu'il suffit de le remplacer par des forces vives venues d'Afrique ? Pour parvenir à une telle réussite, l'ami Périco a puisé dans la bibliothèque rose un scénario délicieux : « On leur alloue un lopin de terre, on en fait des paysans. » À l'heure de l'angélus,  migrantes de se recueillir au son de la cloche de l'égl… de la mosquée toute proche. Le peintre saisit la scène. Emmanuel Macron tient celui qui saura romancer le Grand Remplacement.

    L'enthousiasme de l'invité d'Estelle Denis s'explique aisément. Quel Soudanais fasciné par le monde de la consommation et ses gadgets clinquants n'a jamais rêvé de se retrouver binette en main sur un terrain en friche au fin fond de la Haute-Marne ? « On donne de la terre à des gens, ils la cultivent, on a besoin de paysans en France, on a des millions d'hectares en friche. » La case de l'oncle Tom à la française prend naissance sous le lyrisme du gastronome en culotte large. Enchaînés ou non ? La question fait débat.

    Passer de fumeur de crack à cultivateur labourant sa terre nécessite toutefois un accompagnement budgétaire : le « quoi qu'il en croûte », cher au fervent défenseur du pâté du même nom. Le tour de passe-passe agricole réussira : « À condition que ce soit accompagné de mesures sociales, de mesures économiques », précise le narrateur. Quelques milliards, une assistante sociale par hectare… Le projet prend forme.

    Habitué à vanter les mérites du produit authentique, Périco Légasse se fait le chantre d'un apport de main-d'œuvre sans aucun lien avec la région concernée. La répartition dans les campagnes de pseudo-réfugiés sous-payés par les grands groupes de l'industrie agroalimentaire est la face cachée du projet. En toute naïveté, l'ardent défenseur de la  des saveurs milite pour la fin de la vraie paysannerie.

  • Union européenne : 4,6 milliards de doses et von der Leyen accusée

    Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2022

    par Covidémence.

    Les nombres ne sont guère contestables… car ils proviennent de la Cour des comptes de l’Union européenne.

    Son rapport publié le 12 septembre est disponible ici : https://www.eca.europa.eu/61899

    L’UE a signé des contrats d’« achat anticipé » pour un total de 4,6 milliards de doses de « vaccins » !

    Ce qui représentent un montant total de 71 milliards d’euros (soit 15 euros la dose).

    Rappelons que l’UE compte 447,7 millions d’habitants

    « Fin 2021, près de 952 millions de doses avaient été livrées aux États membres de l’UE (la majorité par Pfizer/BioNTech). Plus de 739 millions d’entre elles avaient été administrées, si bien que 80% de la population adulte de l’Union présentait un schéma vaccinal complet ».

    À part ces chiffres choc, la Cour critique les difficultés d’approvisionnement au début 2021… mais surtout lâche une grosse bombe, l’air de ne pas y toucher…

    « Nous n’avons reçu aucune information sur les négociations préliminaires pour le plus important contrat de l’UE »

    Ah bon ? Vraiment ? Et pourquoi ?

    Et quelle entreprise se cache derrière ce gros contrat ? Et qui a négocié au nom de l’UE ?

    Vous avez bien entendu deviné !

    « À la mi-mars 2021, le comité de pilotage a convenu d’organiser une réunion avec des conseillers scientifiques de l’Union et des États membres, consacrée aux aspects scientifiques de la stratégie concernant les vaccins pour 2022. Une telle réunion n’a jamais eu lieu. Au cours du mois de mars 2021, la présidente de la Commission a mené les négociations préliminaires ayant pour objet un contrat avec Pfizer/BioNTech. Il s’agit du seul contrat pour lequel l’équipe conjointe de négociation n’a pas participé à cette étape des négociations. »

    La présidente de la Commission c’est la fameuse Ursula, celle qui envoie des SMS à Albert Bourla, le patron de Pfizer, et qui refuse de les rendre publics.

    Elle a donc dealé, SEULE, avec Pfizer, pour le plus gros contrat…

    Allez Ursula, tu finiras en taule !

    La Cour reste « neutre » quant au scandale absolu des fameux contrats (confidentiel et libérant les fabricants de toute responsabilité).

    Ainsi, la Cour note dans une jolie litote :

    « Les dispositions des contrats conclus avec les fabricants de vaccins contre la COVID-19 s’éloignent de la pratique qui prévalait avant la pandémie, les États membres reprenant à leur compte une part des risques financiers que supportent habituellement les fabricants. »

    Et les responsabilités… concrètement, les fabricants N’EN ONT AUCUNE !

    « Un citoyen qui souffre d’effets indésirables induits par l’un des vaccins contre la COVID-19[…] peut réclamer la réparation du dommage auprès du fabricant du vaccin. […] c’est à l’État membre qui a géré l’administration du vaccin qu’il incombera d’indemniser la victime et de prendre à sa charge les frais de justice du fabricant de vaccins (indemnisation) ».

    La Cour donne la répartition par fabricant… Pfizer est bien « The Winner Takes It All » avec 52% de toutes les doses… Les autres (dont Moderna) ne faisant que de la figuration.

    Ce n’est pas un hasard. Depuis le début de ce scandale, il y a un tropisme évident en faveur de Pfizer… Enième conspiration dans la conspiration. Les agissements mafieux de la présidente de la Commission ne font que confirmer cela.

    Enfin, pour le côté farce (et tragique à la fois) on retiendra cette illustration présente dans le rapport :

    Eh oui… tous les produits contre le couillonavirus… ne sont absolument pas des vaccins standard (qui eux nécessitent entre 10 et 15 ans de développement et de tests).

    On mesure le niveau de trollage qu’une telle illustration représente dans un rapport officiel…

    La réalité – elle – demeure indépassable : les centaines de millions de personnes qui ont été injectées en Europe (et ailleurs) sont des cobayes.

    source : Covidémence